Captain Harlock
Démocratie Participative
07 octobre 2021
Enfin, la troisième dose !
Depuis le temps qu’on la promet aux goyim, il était temps d’en voir la couleur fluo.
Après les personnes âgées d’au moins 65 ans et celles souffrant de comorbidités, au tour des soignants ? Probablement. La Haute autorité de santé préconise ce mercredi que les professionnels de santé, médico-sociaux, mais aussi l’entourage des personnes immunodéprimées soient invités à recevoir une dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 (le plus souvent une troisième dose), au moins six mois après la dernière injection. Au total, près de 3,7 millions d’habitants seront concernés.
Dans ce nouvel avis, la HAS rappelle que les vaccins perdent en efficacité au fil des mois, surtout contre l’infection. Or, les soignants sont « à la fois plus exposés et plus susceptibles de transmettre la maladie par leur contact direct avec les patients » et la dose de rappel permettra de « leur conférer la meilleure protection possible face au variant Delta ». Le vaccin Pfizer est le seul à disposer d’une extension d’autorisation de mise sur le marché européen pour de tels rappels, mais la HAS note que Moderna peut aussi être utilisé.
Moderna, c’est de la bonne.
Rien de tel qu’un cœur détruit à 30 ans pour obéir à Macron.
Vous n’êtes pas contre la SSIENSSE, si ?
« On ne revient pas sur les précédentes recommandations qui ont été faites (c’est-à-dire commencer par les personnes âgées ou fragiles) mais on n’a pas encore assez de données pour recommander une dose de rappel pour tous », souligne le Pr Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie clinique et maladies infectieuses et tropicales du CHU Henri Mondor (Créteil) et expert auprès de la HAS.
Celle-ci met aussi en avant la situation sanitaire actuelle très favorable ainsi que « les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez les adultes jeunes, sans comorbidités ». Mais elle précise aussitôt après que « l’administration d’une dose de rappel (pour toute la population) deviendra probablement nécessaire au cours des mois qui viennent ».
Concernant les éventuels effets secondaires, comme les péricardites, la HAS dit disposer de données « rassurantes ». « Il faudra être un peu patient pour avoir une idée précise de la réactogénicité des doses de rappel, mais il n’y a pas eu de signaux particuliers pour l’instant », nous indique Cyrille Cohen, immunologue à l’université Bar-Ilan (Tel-Aviv) et membre du conseil consultatif sur les essais cliniques des vaccins contre le Covid-19.
Ouf, tout va bien !
N’est-ce pas ?
Lire ou relire : Le rôle d’Israël dans la tyrannie vaccinale globale
Je pense que vous avez compris qu’après la troisième dose viendra la quatrième. Et puis une dose avec des tas d’autres trucs nouveaux dedans, si bien qu’à la fin vous n’aurez aucune idée de ce qui sera injecté dans les veines de la population.
Il reste encore 17 millions de goyim irréductibles qui refusent d’accéder à la SSIENSSE.
C’est le moment idéal pour un variant hivernal, histoire de forcer ces complotistes à lutter contre l’antisémitisme.
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