« Soutien à Freeze Corleone, nique l’Hypercasher ! » : le soutien de la planète rap au chanteur injustement persécuté par le gouvernement juif prend de l’ampleur

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 septembre 2020

 

La planète rap se mobilise pour Freeze Corleone.

Prime revient à Z.E.R.A. Muzik qui dans cette vidéo à la fois émouvante et audacieuse lance « Soutien à Freeze Corleone, nique l’Hypercasher ! ».

Je ne m’attendais pas à cette chute mais je respecte l’inspiration. L’effet est au rendez-vous.

Il n’est pas le seul, comme c’était prévisible l’agitation juive relayée par le ministère de la Police a l’effet inverse de celui escompté. Des dizaines de rappeurs afro-maghrébins sont sortis du bois pour apporter leur soutien à Freeze Corleone persécuté par les juifs et les flics de Darmanin.

La raison est évidente. Il y a d’abord la cohésion culturelle du bloc islamo-immigré que reflètent parfaitement les textes de Freeze Corleone visés par les juifs. Les rappeurs et par extension les banlieues immigrées partagent 100% du discours de Freeze Corleone.

De quoi découle ensuite le ralliement général des rappeurs autour de Corleone : s’il peut être attaqué impunément par les juifs et effacer, ils peuvent tous subir le même sort.

Ce qui signifie, pour tous les jeunes immigrés qui aspirent à devenir des stars du rap, une menace permanente de ruine sociale. Tous les ingrédients sont donc réunis pour faire de Freeze Corleone une véritable icône des banlieues, quelqu’un dans lequel les afro-maghrébins se reconnaissent en raison de sa position de victime. Surtout s’il est explicitement victime des juifs.

C’est ce qui est arrivé à Dieudonné mais la portée est potentiellement encore plus grande. Dieudonné ne venait pas de banlieue et n’avait pas les codes de la banlieue. Il avait en revanche le profil racial.

Corleone, lui, est l’archétype du banlieusard d’origine africaine qui parle comme un type de banlieue.

Aussi, traiter ces gens-là de « rats » qui sont « partout » est un exercice risqué quand on est à peine 450,000 dans un pays de 67 millions d’habitants comptant 15 millions d’allogènes dont 10 millions de musulmans.

Il fallait toute la stupidité de la race juive pour parvenir à un tel résultat. Mais l’hubris de cette race arrogante ne peut qu’entraîner sa perte, hier comme aujourd’hui.

Cette bataille culturelle est déjà arbitrée. En dépit des menaces que brandit la juiverie de plus en plus acculée, elle a perdu la guerre. Ce n’est plus qu’une lutte de retardement. Tout le régime le ressent et tremble.

Nous sommes arrivés à un stade où le slogan « R.A.F de la shoah » coalise derrière lui la diversité des « quartiers populaires ». Plus les juifs se débattent, plus ils s’enfoncent dans les sables mouvants des banlieues islamo-immigrées.

Cela me va. Comme on fait son lit, on se couche. Les juifs ont voulu et organisé l’immigration extra-européenne pour briser la race blanche, ils sont désormais dévorés par les allogènes.

Voir la victoire posthume de Robert Faurisson venir de là où les juifs s’y attendaient le moins me remplit d’aise. C’est la preuve qu’il y a une justice providentielle et que Jéhovah ne pourra jamais l’emporter, peu importe ce que cette race fait ou tente contre les nations qu’elle veut subjuguer. Pour chaque coup bas qu’elle inflige, la juiverie en reçoit toujours le décuple.

C’est aussi le signe que la religion du système qu’est le mythe de l’holocauste est identifiée comme fondamentale par toutes les périphéries en rébellion contre le centre. Il ne peut pas y avoir de renversement du statu quo sans mobilisation contre la religion de l’holocauste. Quand la génération des Boomers aura disparu, le basculement culturel aura lieu.

C’en sera fini de l’imposture de l’holocauste.

L’histoire n’est jamais écrite. Si j’ai un conseil à donner, c’est celui-ci : écartez-vous de la juiverie avant l’effondrement final. Après, il sera trop tard.

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