Captain Harlock
Démocratie Participative
18 mars 2019
Laissez-moi résumer la chose : nous avons gagné.
En dépit de la mobilisation des médias d’état tenus par les communistes et de la présence du vieux Hollande, c’est à peine si une grosse centaine de débris marxistes sont venus faire tourner les tables à Tulle, espérant que les cadavres de leurs aïeux terroristes se mettent à parler.
Mais les cadavres ne parlent pas. Ils restent muets pour toujours.
Aucune séance de spiritisme, même placée sous l’égide de Marx ou de cette république juive, ne changera cela.
Et cette ignoble charogne putréfiée de Viacroze est désormais en Enfer pour l’éternité.
Ce type est actuellement dans un bain bouillant de merde avec un rabbin quelconque
Tulle est une commune de 15,000 habitants. La communauté de communes du secteur en totalise 46,000.
Après 7 décennies de propagande communiste intense dans ce secteur, pourtant relayée par l’Etat, cette clique d’ahuris n’a réussi à rassembler qu’une centaine de pelés un samedi. La présence de cette outre de Hollande, ancien président, n’a pas même impacté la fréquentation.
Il n’y a personne. Personne.
Et ces gens, malgré leurs efforts pour donner le change, savent qu’il n’y a personne. La moyenne d’âge s’élève à 75 ans et les trois quarts de la bande sont des boomers séniles du PS ou PC.
Les jeunes ont préféré rester chez eux à jouer à Fortnite ou à Spyro The Dragon 3.
Cette séance d’animisme signale de la meilleure des façons la défaite finale de la vermine communiste.
Comme dans beaucoup d’autres endroits de France, les habitants de Tulle savent parfaitement ce qui s’est passé en 1944. Ils savent comment la pire lie de l’humanité recrutée par le Parti Communiste aux ordres de l’ogre Staline a mis la région en coupe réglée en imposant la terreur au petit peuple.
Ce petit peuple connaît la réalité des faits : les 99 brigands rouges pendus haut et court en 1944 l’ont mérité pour avoir terrorisé la population et l’avoir sciemment mis en danger pour les besoins de ses projets politico-terroristes d’après-guerre.
Car ces rouges, du Vietnam à l’Algérie en passant par Cuba ou la Chine, ont toujours agi de la même façon selon le principe « action, réaction ». Ce principe fondamental de la guerre révolutionnaire marxiste qui suit cet axiome : « On ne fait pas d’omelettes sans casser des oeufs ».
Voici la méthodologie de ces bandits : elle consiste à provoquer les troupes régulières pour les amener à livrer des opérations dans un secteur fortement peuplé de civils. Ces opérations se traduisent par des morts et des blessés au sein de la population. En parallèle, les agents infiltrés se livrent à un intense travail de propagande et de recrutement auprès des habitants, accusant les troupes régulières de tous leurs malheurs. Au même moment, les opposants sont soigneusement fichés avant d’être « jugés », en leur présence ou non, par des « tribunaux révolutionnaires » improvisés composés de commissaires politiques rouges. Ces « ennemis du peuple », qualifiés « d’ennemis de classe », sont en fait tous les gens non membres du Parti jouissant d’une influence dans une région donnée. Une fois la zone « libérée », c’est-à-dire aux mains des rouges, les tortures et les exécutions publiques commencent pour faire comprendre à la population qui sont les nouveaux maîtres.
Le peuple se découvre « libéré » par les amis du prolétariat et savent qu’au moindre de mot de travers, c’est la fosse commune qui les attend.
Du moins, c’est ce qui aurait dû se passer à Tulle, à l’été 1944, si les Waffen SS de la Division « Das Reich », solidement formés à la doctrine national-socialiste qui avait écrasé le bolchevisme en Allemagne en 1933, n’étaient pas intervenus pour rétablir l’ordre.
Un véritable soviet s’était établi dans la commune, livrant celle-ci aux premiers accès de fanatisme rouge.
La vermine terroriste communiste, contre toutes les règles d’engagement du soldat mais en conformité avec l’idéologie sémitique qu’est le marxisme, avait ainsi froidement exécuté des soldats allemands réguliers de la Wehrmacht qui s’étaient loyalement constitués prisonniers.
Une violation barbare des conventions de Genève.
Rappelons ici, qu’en 1944, deux millions de Français étaient prisonniers en Allemagne et bénéficiaient du statut de prisonniers de guerre avec le statut afférent.
Conformément aux lois de la guerre, l’armée allemande, après un tel carnage, était fondée à prendre des mesures exemplaires pour mettre un terme à la terreur rouge.
C’est ce qui a été fait de la plus belle des façons par les courageux soldats de la Waffen SS. Ce sont 99 chiens, partisans de la terreur stalinienne, qui ont payé leurs crimes en une journée.
Ici, nous saluons une nouvelle fois la justice SS de son efficacité, libérant la population de Tulle de 99 cadres bolcheviques sur le point de livrer la ville aux assassinats de masse afin d’y établir le pouvoir rouge.
C’est dans ce contexte qu’a agi l’ordure Viacroze, communiste non-repenti. Cette charogne a continué, pour le compte du Parti, à dérouler le fil permanent du mensonge, justifiant la terreur marxiste établie par la canaille rouge à Tulle et de sa région.
Pendant plus de 75 ans, les habitants n’ont rien dit, gardant en mémoire, pour les plus anciens, la terreur des années 1944 et 1945 où les djihadistes rouges avaient droit de vie ou de mort sur les habitants. Terreur encore renforcée par le soutien inconditionnel de l’Etat et des notables locaux constitués en potentats, capables des pires représailles contre ceux qui voudraient parler.
Mais ce temps-là est révolu.
La vérité, elle, non. Bien au contraire. Et la vermine communiste, crevée, sénile ou racialement dégénérée, est impotente.
Prenez le petits-fils de ce fils de putain clamsé de Viacroze : auriez-vous peur, vous, de ce gras cul à collier de barbe qui ferait honte au dernier punk à chien aviné de France ?
Soyons sérieux.
Ces gens ont été remplacés par leurs amis musulmans. Seuls les musulmans ont la force et l’envie de faire ce que cette fin de race faisait en son temps : égorger et violer des femmes et des vieillards au nom du monothéisme messianique rouge.
Ils sont finis.
Ils le savent.
Et nous n’avons pas encore commencé à nous occuper de saccager les bâtards desséchés qui leurs servent de saints.
La justice est un plat qui se mange froid.
Hormis des déchets camés perdus pour la société, qui de moins de 25 ans peut encore vouloir rejoindre l’EHPAD qu’est le Parti Communiste afin de torcher le cul de nègres clandestins ?
A contrario, Adolf Hitler est plus sexy que jamais pour la jeunesse révolutionnaire blanche.
Une figure de père spirituel autoritaire et bienveillante qui nous inspire depuis le Ciel.
Tous les jeunes hommes blancs qui veulent être des hommes le savent.
Et ils savent que tous ceux qui l’ont suivi sont devenus, à leur tour, des hommes blancs se tenant debout. A commencer par les camarades de la Das Reich.