Captain Harlock
Démocratie Participative
29 septembre 2018
La révolte contre l’invasion arabo-islamique a explosé dans un lycée de la Somme où la jeunesse française refuse catégoriquement de subir la propagande islamo-communiste au sujet de la Guerre d’Algérie.
Akli Tadjer, auteur du livre Le porteur de cartable, a posté sur sa page Facebook le mail d’une professeure de français d’un lycée de la Somme. Elle y expose le comportement et les réflexions racistes de ses élèves à propos de son livre : l’ouvrage traite des conséquences de la guerre d’Algérie.
« Il y a eu une levée de bouclier de certains élèves car l’auteur n’est pas Français », « l’histoire ne concerne pas la France », « un élève a refusé de lire pour ne pas prononcer le mot Messaoud »…
C’est épique.
La jeunesse de ce lycée se révolte face au torrent de propagande pro-crouille que déversent sur elle les femelles socialistes de l’Education Nationale.
Une révolte spontanée.
Ces phrases sont celles d’une professeure d’un lycée de la Somme. Dans le cadre de ce qu’on appelle un parcours de lecture, elle a choisi Le Porteur de cartable, un roman de l’auteur français Akli Tadjer. Un auteur avec lequel l’enseignante a organisé une rencontre : ses élèves doivent échanger avec lui sur son livre le 16 novembre prochain dans une librairie de Chaulnes.
Mais les réactions des adolescents sont pour le moins inattendues : des propos que l’on peut aisément qualifiés de racistes, un comportement de la part de certains qui ne l’est pas moins et une ignorance de l’histoire de France la plus élémentaire.
Ah oui, ces sales petits Français en sont encore à croire que Charles Martel a repoussé les mahométans à Poitiers.
Rien n’est plus faux.
Il suffit de demander à Aziz Ben Couscous.
Ces petits mécréants vont devoir rentrer dans le droit chemin de l’islam.
L’enseignante s’interroge dès lors sur l’opportunité de la prochaine entrevue de ses élèves avec Akli Tadjer. S’interroge et s’émeut : « j’espère que ça ne rebute pas de les rencontrer », conclut-elle.
Une publication qui a suscité près d’une centaine de commentaires indignés dont celui de l’écrivain David Foenkinos, qui a reçu le Prix Renaudot et le Goncourt des lycéens en 2014 :
« C’est salutaire, pas pour moi, j’ai déjà le cuir de ce côté là mais là franchement, je n’ai jamais vu ça de ma vie, explique Akli Tadjer contacté par téléphone. Et apparemment ce n’est qu’un résumé de ce qu’on lui a dit. C’est complètement consternant. Ca me donne encore plus envie de les rencontrer. Dans leur ville, il y a un mémorial dédié aux soldats de la guerre 14/18 et ils ne savent même pas que des soldats venus du Maghreb et d’ailleurs sont morts pendant cette guerre. Rien que pour ça, c’est une leçon à leur donner.«
Ah, la guerre de 14-18 grâce à laquelle l’Europe a été anéantie pour la gloire de la finance judéo-américaine, laquelle a pu enclencher le processus de destruction raciale de ses peuples.
Ce bougnoule va donc aller terroriser les élèves avec l’aide de la femelle gauchiste qui leur sert de prof.
Le Porteur de cartable est un roman paru en 2002. Il raconte l’histoire à Paris de deux enfants, Omar, petite main pour les indépendantistes algérien et Raphaël, rapatrié d’Algérie.
Akli Tadjer est un écrivain né à Paris en 1954. Il écrit son premier roman, Les A.N.I du Tassili, en 1984, déjà sur l’Algérie. Il a depuis fait paraître une quinzaine d’ouvrage dont plusieurs ont été adaptés pour la télévision.
Un livre à la gloire du FLN.
En attendant, on voit les ravages opérés par la propagande marxiste jusque dans la dernière école française. L’objectif de ces sales profs féministes est de briser toute forme de vitalité et de virilité chez les jeunes Blancs. Pour écarter grandes les cuisses au profit des arabes.
Pour ces bougnoules, la Guerre d’Algérie se poursuit comme elle se poursuit pour la vermine socialo-communiste qui l’appuie.
Il est grand temps de promouvoir la véritable histoire de cette guerre et de ses héros, pour que les jeunes Blancs sachent ce qui s’est passé comme ce qui va arriver. Et arrive déjà.
Ce sale crouille a sûrement besoin d’encouragement sur sa page Facebook.