Captain Harlock
Démocratie Participative
27 juin 2018
La solidarité islamique, dans le monde arabe, se subordonne strictement aux limites raciales des pays concernés. Les nègres mahométans n’y sont, au mieux, que tolérés en qualité d’esclaves.
L’agence américaine Associated Press a publié lundi 25 juin une enquête sur “le traitement” que l’Algérie réserve aux migrants subsahariens, dont “l’expulsion” et “l’abandon” en plein désert, donnant une visibilité mondiale à des cas rapportées par la presse locale depuis longtemps et mettant plus de pression sur les autorités.
Même si l’ONU a récemment demander à l’Algérie de cesser les expulsions, les autorités algériennes ont jusqu’ici relativement réussi à empêcher l’internationalisation de cette affaire. Mais ce lundi matin, la plupart des grandes publications ont repris les informations publiées par l’Associated Press notamment les expulsions estimées à plus de 13 000 cas sur les 14 derniers mois.
Témoignages, photos et vidéos à l’appui, l’enquête raconte “les souffrances” endurées par les migrants subsahariens arrêtées par les autorités algériennes et “abandonnés à la frontière avec le Niger dans leur majorité”. Des survivants interrogés par l’Agence américaine ont affirmé que beaucoup ont péri en essayant de traverser le no-man’s-land jusqu’à la petite ville d’Assamaka à 15 kilomètres de la frontière.
Kamara, une migrante libérienne, a donné un témoignage particulièrement bouleversant. Elle était enceinte durant la traversée et elle a donné naissance à un mort-né.
“J’ai perdu mon fils, mon enfant”, a-t-elle indiqué à AP.
Aliou Kande, un migrant sénégalais, a raconté comment lui et son groupe se sont perdus et ont erré pendant 11 heures dans le désert après avoir été expulsé.
Deux autres migrants ont affirmé que “des gendarmes ont ouvert le feu pour obliger des groupes à marcher”.
L’agence a aussi obtenu des vidéos filmées par les migrants pendant leur calvaire.
J’ai envie de dire : que fait Houria Bouteldja ?
Ces maghrébins qui ont semé la mort et la dévastation en France et en Europe depuis 50 ans. Ils s’apprêtent à devoir goûter du poison qu’ils ont si longtemps versé – et continuent de verser – dans notre coupe.
Le seul deal acceptable avec eux est le suivant : vous reprenez tous vos compatriotes de 1ère, 2ème, 3ème et 4ème générations et nous acceptons de vous aider face au torrent nègre.
Si ces algériens refusent, alors il faudra rapidement monter des associations de lutte contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples.