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Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mars 2021
Comme nous l’expliquons ici à Democratie Participative depuis un an, l’objectif des gouvernements davocratiques n’a jamais été de lutter contre une grosse grippe qui tue quasi exclusivement des vieillards déjà condamnés.
L’objectif est de garder le contrôle des populations malgré une baisse brutale du niveau de vie consécutive à l’effondrement financier des états occidentaux surendettés.
Le nouveau système économique basé sur le rationnement sera justifié médiatiquement par la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique. Pour y parvenir, tous les secteurs « non essentiels » sont euthanasiés à petit feu et la collectivisation verte dans les transports et l’énergie enclencée.
Les confinements continueront jusqu’à ce que l’économie soit suffisamment détruite pour la reconstruire selon les normes écolo-marxistes.
BFMTV :
L’ancien directeur général de la Santé William Dab s’inquiète de la saturation des hôpitaux et du profil des patients qui sont admis en réanimation, plus jeunes qu’auparavant.
Un an après, bis repetita pour un nouveau confinement strict? C’est ce que semble craindre le médecin et ancien directeur général de la Santé (DGS) entre 2003 et 2005, William Dab.
« La situation épidémique est mauvaise et il nous faut agir », a reconnu mercredi le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, en sortie de l’hebdomadaire Conseil des ministres.
Le lointain prédécesseur de Jérôme Salomon souligne particulièrement « deux choses inquiétantes »: l’âge des patients admis en réanimation, « 30% (…) ont moins de 60 ans », et « les durées de séjour plus longues, ce qui ne va pas arranger la disponibilité des lits, essentiellement parce que le variant britannique qui est dominant chez nous est plus grave que le précédent », analyse-t-il.
Pour le spécialiste de santé publique, les mesures de restriction annoncées la semaine dernière pour 16 départements ne sont en rien un confinement -« pour l’essentiel on a fermé des petits commerces, pas tous »- et « ne sont pas susceptibles de maîtriser la courbe » des contaminations.
« Si l’objectif est un objectif de santé publique, il n’y a guère d’autre solution qu’un confinement, et comme on a beaucoup attendu pour prendre cette décision, c’est un confinement qui va être dur et qui va sûrement être long« , ajoute William Dab.
« Le moindre jour de confinement qu’on peut éviter aux Français, il faut qu’on le prenne », prônait Gabriel Attal en janvier dernier. Pour William Dab, cette optique a permis de gagner « au plan économique, au plan pédagogique, et on a perdu au plan de la santé ».
« Tout le monde meurt, comme en mars 2020 ! »
En mars 2020, il ne se passait déjà rien.
Les hôpitaux étaient vides, comme à Montpellier.
Il se passe encore moins quelque chose qu’en mars 2020 et pourtant, il est question de la nécessité d’un troisième confinement sur le modèle du premier.
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