La rédaction
Démocratie Participative
26 février 2023
Parce que Bernard-Henri Lévy est juif, comme ceux qui contrôlent les médias en France, son film de propagande pro-Zelensky a bénéficié d’une outrancière promotion médiatique.
C’était suprêmement sémitique d’obscénité.
Voilà une ville libérée par l’#Ukraine; voilà dans quelle état l’a laissée la double stratégie russe de la terre brûlée et du charnier; voilà pa il ne faut pas négocier avec #Poutine mais le battre; la scène, avec meilleure image, est dans #SlavaUkraini, en salles après demain. pic.twitter.com/PVXKB7lrG0
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 20, 2023
« Poutine était pathétique, c’était un discours de vaincu » @BHL réagit sur @tv5monde au discours du président russe devant les parlementaires avant la sortie demain de son film « Slava Ukraini » un an après le début de la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine #BernardHenriLévy pic.twitter.com/GK9XRKpJma
— Patrick Simonin (@PatrickSimonin) February 21, 2023
Merci @LeaSalame pour ce fair-play et ces mots. Du passé faisons, en effet, et provisoirement, table rase. L’essentiel était, pour l’heure, de faire résonner la cause et la tragédie ukrainiennes. #QuelleEpoque #SlavaUkraini #StandWithUkraine #Zelensky #Ukraine #Bakhmut pic.twitter.com/6TpqaY97MM
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 19, 2023
Hier. Journal de 20h de TF1. Un an de travail et de tournage. Journal de bord et caméra stylo. L’#Ukraine doit vaincre, #Poutine capituler et je montre, en images, pourquoi. Le film sort mercredi. #SlavaUkraini #StandWithUkraine pic.twitter.com/buIiWC1Csv
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 16, 2023
⚫ »Slavia Ukraini » : la guerre dans les yeux de BHL
Bernard-Henri Lévy (@BHL), philosophe et co-réalisateur de « Slava Ukraini », sera l’invité ce soir de @AxeldeTarle dans #cdanslair.
📺 Rendez-vous à 17.30 sur @France5tv !#Ukraine pic.twitter.com/Aio7SCdEJH
— C dans l’air (@Cdanslair) February 21, 2023
D’ailleurs, il présente les choses en ces termes : c’est une guerre juive, totalement.
« La victoire de #Zelinsky c’est l’intérêt absolu. Car l’internationale des 5 ( Russie Iran,Chine,Turquie,islam radical sunnite) sont à l’offensive contre leurs Peuples, contre nous occidentaux,Français et accessoirement contre nous Juifs»: @BHL #LEDLR @RadioJFrance #SlavaUkraini pic.twitter.com/F5a5SxH41C
— Haziza Frédéric (@frhaz) February 19, 2023
Mais les goyim se fichent de ce que ce vieux fanatique juif dit ou fait.
Personne ne regarde sa sous-production belliciste parce qu’elle pue le juif.
On rappellera juste que France Télévisions a subventionné le dernier film de BHL à hauteur de 300 000 euros. Tout va très bien Madame la Marquise… Notre argent public est entre de bonnes mains ! #GuerreEnUkraine https://t.co/5H5yUPrNQK
— Eric Morillot (@EricMorillot) February 23, 2023
Le film de Bernard-Henri Lévy et du photographe de guerre Marc Roussel est un carnet de bord qui consigne les « petits et grands événements » du pays en guerre où le philosophe se met en scène.
Dire que le dernier film de Bernard-Henri Lévy « Slava Ukraini » (« Gloire à l’Ukraine »), sorti en salle mercredi 22 février n’est pas un succès commercial, est un euphémisme. Pour son premier jour d’exploitation, il ne se classe que 11e film sur 14 sorties dans les cinémas français.
Il n’enregistre même que 208 entrées pour le jour de sa sortie, ce qui fait très peu au regard des très nombreux entretiens réalisés dans la presse pour présenter son œuvre, coréalisée avec le photographe de guerre Marc Roussel. Loin, très loin des 64 923 entrées de « The Fabelmans », de Steven Spielberg ou des 38 491 entrées du film d’Eric Besnard « Les Choses simples ».
Le documentaire très engagé suit Bernard-Henri Lévy dans un périple auprès des militaires qui combattent sur les fronts est et sud et de la population ukrainienne. En casque et gilet pare-balles ou en chemise blanche au col ouvert, le philosophe obtient des témoignages poignants ou dresse des portraits plutôt bien ciselés. Mais pas au goût du public manifestement.
Les rares commentaires du film ne sont pas très encourageants. « Trop loin des lieux de combats », « une voix off lente, mal interprétée », « un documentaire ridicule », un « mauvais reportage sans nuance et partisan »…
Quelques juifs ont bien essayé de donner le change en commentaires, sans succès.
La plupart des critiques sont très sévères mais une poignée vient évoquer « un chef-d’œuvre », un « incroyable road-trip » ou encore un « film fort, poignant, qui déroule la tragédie vécue en Ukraine… »
Toute la guerre d’Ukraine peut se résumer à cette boursoufflure hyper médiatisée sans public.
C’est une production faite par des juifs, pour des juifs, avec l’argent des goyim.
Ces juifs n’ont plus de soutien dans les masses.
Ils ont les banques et les médias. Il suffit d’un accident industriel pour emporter leur empire financier global. Personne ne viendra à leur secours, bien au contraire.
Pour eux, la guerre en Ukraine, c’est quitte ou double.
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