Captain Harlock
Démocratie Participative
27 septembre 2019
Avant, La Traviata de Verdi c’était ça :
Mais cela sentait le renfermé. Il n’y avait que des Blancs.
Aussi, Shimon Stone a-t-il décidé de faire « basculer » cet opéra « dans le XXIème siècle » avec la collaboration de Benyamin Bernheim et d’une sud-africaine, Pretty Yende.
C’est composé de kebabs, de SMS et de négresses aux bras de juifs.
C’est le progrès juif au XXIème siècle.
Je pense que nous y gagnons.
Comme le dit « Euronews », cette mise en scène nous prouve « que La Traviata est intemporelle. »
Tout comme le juif.
Il ne change pas.
Magnifique couple judéo-nègre qui efface Jeanne d’Arc de la page du temps
Et c’est heureux que ce soit le Palais Garnier qui fasse rayonner l’esprit hébraïque.
D’autant plus qu’Adolf Hitler admirait tout particulièrement l’Opéra Garnier dont il fit la discrète visite en 1940.
Ce barbare nous aurait privé de cantatrices zouloues et de metteurs en scène juifs.
On a eu chaud !