Si vous ne comprenez pas le rôle des juifs dans le 11 septembre 2001, vous ne pouvez rien comprendre au 21ème siècle

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 avril 2021

L’état profond a fait traîner les choses autant que possible pour empêcher Trump d’honorer sa promesse d’organiser le retrait de l’armée américaine l’Afghanistan. Il voulait permettre à leur champion sénile Joe Biden d’en revendiquer la décision passer pour un ami de la paix.

C’est important médiatiquement dans la mesure où l’administration Biden prépare une guerre mondiale contre la Chine et la Russie.

Le Monde :

La plus longue guerre de l’histoire des Etats-Unis, en Afghanistan, s’achèvera le 11 septembre, vingt ans après les attentats qui l’avaient déclenchée. Le président Joe Biden devait le confirmer, mercredi 14 avril, au lendemain de l’annonce faite par un haut responsable de son administration. Ce jour-là, la quasi-totalité des forces américaines aura été retirée de ce théâtre d’opération. Il ne restera plus sur place qu’un contingent consacré à la sécurité de l’ambassade des Etats-Unis à Kaboul.

Joe Biden avait hérité à son arrivée à la Maison Blanche d’un engagement de son prédécesseur, Donald Trump, pour un retrait sous condition, au 1er mai, conformément à un premier accord historique avec les insurgés talibans conclu le 29 février 2020 à Doha, au Qatar. Le démocrate s’est donné le temps d’examiner la situation avant de trancher à propos du sort des 3 000 soldats encore déployés dans le pays.

Un rapport des agences de renseignement américaines, publié mardi, a confirmé le peu d’options pour mettre un terme à une intervention qui s’achève sur un échec, en dépit de l’accent mis par la Maison Blanche, le même jour, sur la disparition de la menace terroriste présente en 2001 sur le territoire afghan. Ce rapport se montre pessimiste à propos de l’éventualité d’un accord politique entre les insurgés et le gouvernement en place à Kaboul, tout comme sur la capacité de ce dernier à leur résister militairement.

Selon cette analyse, les Etats-Unis n’ont donc rien à gagner à jouer les prolongations, ce qu’avait suggéré au contraire un rapport indépendant de l’ancien chef d’état-major de l’armée américaine, Joseph Dunford. Ce dernier avait plaidé en février pour un maintien prolongé « afin de donner au processus de paix suffisamment de temps pour aboutir à un résultat acceptable ».

Comme l’a martelé la Maison Blanche mardi pour justifier le départ sans conditions fixé au 11 septembre, « nous sommes en 2021, pas en 2001 ». « Nous devons continuer à travailler sans relâche pour empêcher l’Afghanistan de redevenir une base à partir de laquelle les terroristes peuvent attaquer les Etats-Unis, en coordination avec nos partenaires afghans et avec d’autres alliés », « en conservant des moyens importants dans la région pour contrer la réémergence potentielle de la menace terroriste » en Afghanistan, « et pour obliger les talibans à respecter leur engagement » de s’opposer à la reconstitution d’un sanctuaire terroriste dans ce pays, a-t-elle indiqué.

Se retirer d’Afghanistan précisément le 11 septembre 2021 n’aura qu’un effet : offrir un énorme coup de boost à la propagande d’Al Qaeda en Asie Centrale.

Les djihadistes de ce groupe soutenus par l’Arabie Saoudite pourront en effet dire qu’ils ont déclaré la guerre aux Etats-Unis le 11 septembre 2001 et qu’après deux décennies de lutte, la première puissance militaire de la planète, vaincue par la « glorieuse résistance islamique », a capitulé un 11 septembre, terminant sur une défaite symbolique.

Vous imaginez bien que le gouvernement américain n’est pas généreux à ce point-là.

L’autre point, c’est que le gouvernement US téléphone la date aux talibans de sorte qu’ils peuvent d’ores et déjà lancer leur offensive finale pour la conquête de la capitale sans craindre de réaction américaine.

L’objectif est évident : les ashkénazes de la CIA, fidèles à 40 ans de coopération étroite avec les djihadistes en Afghanistan et ailleurs dans le monde, veulent établir un état djihadiste en Asie Centrale d’où ils espèrent déstabiliser la Chine où ils soutiennent déjà le séparatisme islamique.

C’est la poursuite de la doctrine Brzezinski, le conseiller à la sécurité nationale américaine qui a armé le djihadisme en Afghanistan lors de l’intervention soviétique dans ce pays entre 1979 et 1989.

Oussama Ben Laden, membre de la famille princière Ben Laden dont le clan Bush est proche, était présenté aux Occidentaux comme un héros anti-soviétique.

La Russie est tout sauf enthousiaste à l’annonce de ce retrait dont elle a parfaitement compris la nature offensive.

Les plus jeunes lecteurs venaient à peine de naître quand eut lieu le 11 septembre 2001 en live à la télévision. Il faut donc leur expliquer sa véritable signification.

Le 11 septembre 2001 : une opération juive

La version vendue aux goyim par les médias juifs est qu’une poignée de bédouins médiévaux cachés dans une grotte afghane ont défait la plus puissante défense aérienne de l’histoire avec une poignée d’arabes ayant suivi des cours de pilotage sur Flight Simulator.

La véritable version des faits est très différente. Les juifs de la CIA, aidés de leurs coreligionnaires du Mossad, sous-traitèrent à l’Arabie Saoudite l’utilisation d’arabes manipulés qui furent accueillis aux USA par les diplomates saoudiens. Suivis en permanence par les services israéliens parfaitement familiers du terrorisme islamique, ces arabes purent tranquillement monter dans des avions qui furent téléguidés dans les tours du World Trade Center.

Les médias affirmèrent qu’un troisième appareil s’écrasa sur le Pentagone – à l’horizontale -mais ce ne fut qu’un missile de croisière qui ne produisit que des dégâts limités.

Pendant de nombreuses années, le gouvernement américain refusa de diffuser le contenu de la vidéo surveillance. Et puis, sous la pression, il accepta de montrer une version tronquée de l’impact.

On voyait un petit objet blanc volant à deux mètres au dessus du sol, à l’horizontale, percuter la façade du bâtiment.

Rien de très compliqué pour l’US Air Force.

La partie du Pentagone touchée était officiellement « en travaux ». En temps normal, elle abritait 4,500 personnes sur 26,000 qu’accueille le bâtiment chaque jour. Ce jour-là, seulement 800 personnes étaient présentes dans l’aile du Pentagone visée dont 125 furent officiellement tuées.

Frapper le Pentagone avec un avion de la même façon que le World Trade Center était possible, mais cela aurait supposé d’exposer théoriquement la totalité du personnel militaire, du matériel informatique et des documents compte tenu de l’impossibilité de viser précisément une partie du bâtiment. Pour éviter de telles pertes, il aurait fallu évacuer des semaines à l’avance le bâtiment, ce qu’il aurait fallu justifier ensuite.

En décrétant une partie du bâtiment « en travaux », le problème était réglé : aucun personnel indispensable n’était susceptible d’être touché, aucun matériel sensible détruit. Il suffisait ensuite de profiter de ces « travaux » pour disséminer quelques petits éléments d’un Boeing dans les étages et de procéder à une frappe par un missile de croisière, seul engin à pouvoir voler à l’horizontale à deux mètres du sol pour toucher sa cible.

La façade du Pentagone ne portait d’ailleurs aucune trace d’impact d’ailes, contrairement au World Trade Center. Aucun débris de grande taille n’était présent sur place.

La construction du Pentagone a démarré le 11 septembre 1941. Il a été officiellement ciblé le 11 septembre 2001 pour justifier la grande campagne de conquête du Moyen-Orient qui s’achèvera officiellement le 11 septembre 2021. Ces gens aiment laisser leur signature.

Après le succès de l’opération à New York, des agents du Mossad furent surpris en train de danser en regardant les tours s’effondrer. Ce n’est pas une théorie complotiste, les agents concernés ont reconnu les faits.

Sans parler de l’écroulement de la fameuse tour n°7 du World Trade Center, propriété du milliardaire juif Larry Silverstein qui eut l’inexplicable intuition de modifier son contrat d’assurance pour y inclure les attaques terroristes peu de temps avant le 11 septembre 2001.

Le « Projet pour un nouveau siècle juif »

Ce plan de conquête s’appelait « Projet pour un Nouveau Siècle Américain » et il était pensé de A à Z par des juifs comme William Kristol ou Robert Kagan. Le projet prévoyait une fausse attaque pour partir en guerre.

Cela n’avait rien de nouveau. Après la victoire de Castro à Cuba, l’armée américaine mit au point un plan nommé « Opération  Northwoods » qui prévoyait de mener une fausse campagne terroriste contre des citoyens américains, notamment en détournant un avion. Après le refus de Kennedy de mettre le plan à exécution, Kennedy fut éliminé par l’armée américaine grâce à des bérets verts et des tueurs corses sous-traitant pour la mafia italienne.

Cette campagne de guerre globale n’était pas un secret. Le Général d’origine juive Wesley Clark en a parlé très publiquement.

L’objectif des juifs était de s’emparer des réserves de pétrole et de gaz du Moyen-Orient afin de contrôler le ravitaillement de la Chine dont ils anticipaient la montée en puissance.

Il s’agit aussi d’occuper durablement le ventre mou de l’Eurasie d’où l’empire judéo-américain pourrait lancer des assauts contre la Russie, le pont stratégique entre les économies européenne et chinoise.

Le plan a tourné court à cause du QI des bougnoules et de la non conquête de l’Iran qui est désormais allié à la Russie et à la Chine. Vous pouvez transformer l’Allemagne ou le Japon en démocraties dociles économiquement développées, mais vous ne pouvez pas faire la même chose avec des pays musulmans dont le QI moyen est de 75. C’est l’imprévu du programme stratégique des juifs.

C’est pour ça que 90 soldats français sont morts dans le trou à rats afghan sur ordre de Sarközy.

Fort heureusement, des milliers d’afghans ont fait le chemin inverse pour venir s’établir définitivement dans les lits de Françaises accueillantes d’où personne ne les chassera jamais au RPG.

Sur ce plan-là, les talibans nous surclassent. Plantez un seul étranger dans le lit d’une femme afghane et attendez de voir la réaction des hommes afghans.

Vous allez voir le nombre de « traducteurs » qui vont se présenter aux frontières sous les glapissements des Françaises en chaleur. « Régularisation ! » hurleront-elles.

Vous pourrez toujours leur demander le nom d’un seul Gaulois mort en Afghanistan, vous attendrez longtemps une réponse.

Tout n’est pas perdu pour tout le monde.

La France n’en a d’ailleurs pas fini de recevoir l’élite du stock génétique de l’Afghanistan. Une fois les talibans au pouvoir à Kaboul, ce sera une formidable ruée : les journalistes préparent déjà les gros titres sur « le devoir moral » d’accueillir ces migrants afghans sans compter à la dépense. Gare à ceux qui refusent : ils recevront des torrents d’insultes.

Bernard-Henri Lévy vous regardera droit dans les yeux sur LCI, vous traitant de salaud, du haut de votre SMIC, avec vos manières d’ingrat.

Le monothéisme démocratique et l’alliance judéo-islamique

Le Plan B consiste donc à revenir à la doctrine Brzezinski : armer à outrance les musulmans sunnites, les radicaliser par tous les moyens et les jeter à la gorge de tous ceux que les juifs veulent faire abattre par le balai d’Israël, c’est-à-dire l’islam.

L’alliance secrète du 11 septembre 2001 entre les Etats-Unis, Israël et l’Arabie Saoudite pour justifier les guerres d’agression au Moyen-Orient est désormais assumée.

L’Arabie Saoudite est alliée à Israël contre l’Iran.

L’activisme d’un Glucksmann en faveur du djihadisme ouïghour en Chine est la dernière expression de cette alliance sémitique entre juifs et mahométans pour abattre l’Eurasie productive et l’exploiter financièrement.

Les deux vidéos à voir absolument

Pour finir sur le 11 septembre 2001, vous devez voir deux vidéos définitives.

La première, c’est le démontage de la théorie officielle par le journaliste Eric Laurent. Chirac avait donné le feu vert aux médias français pour justifier le refus d’entrer en guerre contre l’Irak en 2003. Soudain, les infos se sont mises à pleuvoir sur le public.

Vous aurez du mal à croire que la télévision française a jamais pu diffusé un tel entretien à une heure de grande écoute.

Les juifs ne contrôlaient pas encore totalement les médias. Ce n’est qu’après la victoire de Sarközy en 2007 que la grande purge eut lieu.

La seconde, c’est « Missing Links » qui explique le rôle des juifs dans cette opération.

Sans comprendre l’origine du 11 septembre 2001 et l’utilisation du « terrorisme » par les juifs pour mettre en coupe réglée la planète entière, vous ne pouvez rien comprendre de la géopolitique au 21ème siècle.

C’est pour ça que vous devez regarder ces deux vidéos.

Désormais, l’alliance djihado-US sous direction juive est totale et ira en s’amplifiant pour imposer par la terreur la (((démocratie))) bien comprise.

Moloch a faim et les juifs vont lui offrir de très nombreux enfants.

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