Si vous êtes blanc et que vous ne voulez pas être grand-remplacé, vous êtes Nazi, que ça vous plaise ou non

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 septembre 2020

Il est temps d’accepter votre destin

Des personnes se plaignent que nous, à Democratie Participative, soyons peu « constructifs ». En soi, ce reproche est absurde mais il exprime assez bien la différence complète de perception de la réalité qui existe entre ces gens-là et nous. Ces personnes croient fondamentalement dans l’invulnérabilité du système et geignent à propos de ceux qui, comme nous, empêchent les gens raisonnables, comme eux, de faire « bouger les choses » à l’intérieur du système. Leur postulat repose sur l’idée que, moyennant concessions, il sera possible de participer et d’influencer le système.

Dans un système structurellement antifasciste comme l’est la démocratie occidentale depuis 1945, il n’y a pas de place pour les fascistes, réels ou supposés. C’est le paradigme fondamental. Si le système vient à manquer de fascistes, il risque de perdre l’ennemi à désigner dont il a besoin pour justifier le maintien de l’ordre établi avec tout ce que cela suppose de rentes et de dynasties. Il fabriquera donc toujours des « fascistes » pour structurer la guerre intérieure qu’il mène en permanence.

Ceux qui se lamentent sur notre radicalité, comme sur la radicalité en général, veulent en réalité échapper à cet affrontement avec le système en levant le drapeau blanc du modérantisme. Ce sont des capitulards. Ils veulent des aménagements au sein du pouvoir en place et ces aménagements sont censés survenir à la faveur d’élections.

Depuis maintenant 47 ans, le Front National s’essaie à l’exercice et il n’a pas l’expulsion d’un seul maghrébin à son actif. Suivant cette logique de domestication, il est devenu le fusible consentant du système moyennant finances et rentes. C’est la fonction des modérantistes dans ce système : être un épouvantail inoffensif.

Il faut revenir au paradigme indépassable du système : si vous êtes blanc et que vous développez une conscience raciale qui vous pousse à défendre vos intérêts en tant que groupe, vous serez désigné comme l’ennemi politique et combattu. La rhétorique suivant les mêmes règles que celles qui régissent la guerre, l’escalade aux extrêmes est inévitable. Ce que l’on appelle le Point Godwin. Le système et ceux qui partagent les valeurs du système vous excommunieront sur le modèle de ce que faisait jadis l’Eglise Catholique en vous qualifiant de « raciste » et de « Nazi ». Que cela vous plaise ou non, que cela soit vrai ou pas.

Notre approche consiste à intégrer ce paradigme irréductible plutôt que de chercher à l’esquiver car, encore une fois, si vous estimez qu’il est de votre intérêt d’éviter d’être traité de « Nazi », ce n’est pas le cas de vos ennemis raciaux ou politiques qui n’hésiteront pas à trancher la question pour vous.

Jusqu’au ridicule, d’ailleurs.

D’une certaine façon, les démocraties juives ont procédé à la clarification hégélienne dont nous avions tous besoin. Je ne vais pas revenir sur la Seconde Guerre Mondiale ici. Il suffit de dire que, pour des causes diverses mais convergentes, Adolf Hitler est devenu sans l’avoir recherché le héros archétypal du monde blanc et qu’à travers sa diabolisation, ce sont tous les hommes blancs qui veulent vivre qui sont mis au banc des accusés. Vous êtes vous aussi cité à comparaître au Tribunal de Nuremberg comme le seront vos enfants et vos petits-enfants tant que la démocratie juive sera en place en Europe.

La seule porte de sortie que vous offre le système est de consentir à votre disparition biologique. Les modérés minaudent mais c’est ce qu’ils exigent que nous fassions : nous rallier et nous soumettre moralement à la juiverie et à son bras séculier démocratique dans l’espoir d’un répit. Leur utilité pour le système est celle de rabatteurs plus efficaces que des propagandistes ennemis car ils prétendent parler aux jeunes Blancs avec sincérité au nom du « bon sens ».

Ces idiots utiles ne comprennent même pas pourquoi, précisément, le système cherche si désespérément à pacifier les radicaux en se servant des modérantistes. Le seul fait que le système cherche en permanence à pacifier les radicaux démontre le danger réel qu’ils représentent, et, partant, leur force. Nous ne devons jamais sombrer dans le compromis, le consensus ou, pire, la tolérance. L’intolérance est la vertu des conquérants. Les foules n’ont pas de respect pour la tolérance qu’elles perçoivent comme de la faiblesse.

La seule fonction des modérés est de stabiliser le système en crise, or nous voulons le renverser. Nous sommes des révolutionnaires, pas des réformistes. Notre but n’est pas d’intégrer le système post-1945 mais de le désintégrer en exacerbant ses contradictions internes à la moindre occasion pour que notre paradigme, celui du déterminisme ethno-racial, supplante le mythe juif de l’égalité. La haine raciale et religieuse est à cet égard une puissante arme entre nos mains en ce qu’elle hâte la formation de bloc sur base raciale, paralysant la démocratie : en nous en privant délibérément, nous donnerions la preuve de notre stupidité.

Quand dans la France libanisée du XXIe siècle, des millions de Français de souche auront restructuré leurs cerveaux pour penser en tant que Blancs, c’est-à-dire en tant que partie d’un tout uni par le sang dans la lutte pour la survie face aux races hostiles qui les affrontent, notre révolution culturelle aura atteint son but. Ce processus devra passer par l’effacement de 1789 et de 1945, les deux grandes dates fondatrices de la religion juive de l’égalité. Nous sommes au début de quelque chose de bien plus grande ampleur qu’une simple action politique. Nous sommes au début d’un grand mouvement de réveil spirituel aryen et nous pourrons mesurer ce réveil à la réhabilitation d’Adolf Hitler qui va progressivement devenir la figure mythique d’une communauté de combat européenne.

Ce n’est pas de la nostalgie incapacitante, mais bien une lutte pour la domination des archétypes qui gouvernent l’inconscient de la race blanche.

Cela ne veut pas dire pour autant que vous allez vous tondre le crâne en agitant un drapeau à croix gammée en hurlant « mort aux nègres » ou que nous allons fonder un parti ultra-raciste qui serait dissout dans les 15 jours par l’Etat. IRL, la subtilité dans la forme est la meilleure arme de la radicalité sur le fond. C’est même un théorème : plus vous êtes radical, plus vous devez avoir l’air normal. C’est ainsi que les gens s’identifient à vous, perdent leur appréhension et sous l’action de votre argumentation, voient leurs idées reçues s’évaporer. Quand ils se disent, « il est comme nous ! », c’est gagné.

Bref, être Nazi et sympa pour dédramatiser ce qui, sans la propagande juive, n’aurait rien de dramatique.

Mais aussi, être Nazi et futuriste. Il est important de rêver et de se projeter dans le futur, d’activer les éléments de l’imaginaire blanc plutôt que de patauger dans le souvenir stérile de la réalité figée d’hier.

C’est à ce grand mouvement séparatiste blanc qu’il faut travailler.

Mais d’abord, vous devez admettre avec la sérénité de l’homme apaisé que vous avez basculé du côté de l’Empire. Il vous suffit d’ouvrir votre coeur à Adolf Hitler.

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