Capitaine Harlock
Démocratie Participative
28 avril 2017
La matrice du freudo-marxisme ambiant se situe à la racine même du régime républicain : l’éducation « nationale ». Par un travail patient, marqué dès l’origine par une volonté d’anéantissement de la société chrétienne traditionnelle, les loges parvenues à la tête de l’état lors de la proclamation de la Troisième République entreprirent de faire des masses de la jeunesse une bouillie informe dont l’âme leur serait dévouée.
Le résultat, le voici.
Si vous voulez saisir ce qui s’est joué et se joue encore, rappelons ceci.
« Je veux que les jeunes filles cèdent franchement à l’instinct, qu’elles aillent au bout de leurs désirs, qu’elles se donnent quand il leur en vient l’envie, mais je hais (….) que la crainte tienne lieu de chasteté. »
« Je n’ai jamais discerné ce que l’inceste a de proprement repoussant, et sans rechercher pour quelles raisons l’inceste, toléré ou prescrit dans certaines sociétés, est tenu pour un crime dans la nôtre, je note simplement qu’il est naturel et fréquent d’aimer d’amour son frère ou sa sœur. Mais, si cela est naturel, je conviens que ce n’est point nécessaire. »
Le juif Léon Blum, figure de proue du socialisme sémitique, dans Du Mariage (1907).
« La révolution n’arrivera pas par les armes, elle arrivera progressivement, année après année, génération après génération. Nous infiltrerons graduellement leurs institutions éducatives, leurs institutions politiques, les transformant lentement en entités marxistes à mesure que nous avancerons vers l’égalitarisme universel. »
Le juif Max Horkheimer.