Captain Harlock
Démocratie Participative
25 octobre 2020
Pour ceux qui fantasment encore sur l’armée française, cette relique démocratique définitivement soumise par les juifs et la maçonnerie depuis l’Affaire Dreyfus, voilà de quoi leur arracher les dernières écailles des yeux.
Un officier supérieur s’essaie à un exercice tragi-comique d’enseignement du « patriotisme » avec un ramassis de sous-hommes sélectionnés pour le « service militaire » revu et corrigé de 2020. Regardez bien les faciès et appréciez l’atmosphère.
Avec 150 ans de démocratie sur les reins, la France, comme nation, est finie. Elle s’enlise dans ses rêves de négraille brûlante de ferveur patriotique, aiguillonnée par son fanatisme égalitariste séculaire et inspirée par le parasite sémite qui la dévore de l’intérieur. Les cervelles françaises sont si totalement salopées par deux siècles de républicanisme et de marxisme juif qu’il est humainement impossible pour un Français lambda de voir, encore moins de comprendre, le mur matériel de la race. C’est un refus obsessionnel, dogmatique, de principe.
Cela n’a pas toujours été le cas. Contrairement à ce qu’affirment les esprits sémitisés qui répètent encore et toujours que domestiquer des nègres et des arabes fait partie « des valeurs de la France », le racisme a été pensé théoriquement pour la première fois en France. Tout d’abord au XIXe siècle par Arthur de Gobineau, puis Georges Vacher de Lapouge. Ils ont été rejoints par les penseurs anglo-saxons Stewart Chamberlain puis l’Américain Madison Grant.
Au XXe siècle, le théoricien allemand Hans F. K. Günther offrira une approche opérative de la question raciale aux nationaux-socialistes allemands. Des chercheurs comme Carleton Coon, Claude Nancy ou le Prix Nobel James Watson, parmi d’autres, offriront des apports scientifiques précieux pour la compréhension du plus grand tabou de l’Occident judéo-démocratique : la question raciale et de l’inégalité des races.
Quand Adolf Hitler était interrogé sur le racisme, il répondait qu’en la matière, Gobineau et Chamberlain avaient dit l’essentiel. Dans Mein Kampf, il résume la trame raciste fondamentale de l’histoire humaine déjà exposée par ces deux penseurs :
Des peuples aryens – dont l’effectif est d’une faiblesse vraiment ridicule – soumettent des peuples étrangers et, sollicités par les conditions de vie que leur présente la nouvelle contrée (fertilité, nature du climat, etc.) ou profitant aussi de l’abondance de la main-d’œuvre que leur fournissent des hommes de race inférieure, ils développent alors les facultés intellectuelles et organisatrices qui sommeillaient en eux. En quelques millénaires, ou même quelques siècles, ils mettent sur pied des civilisations qui, primitivement, portent des traits répondant complètement à leur façon d’être et adaptés aux propriétés particulières du sol indiquées plus haut et à l’esprit des hommes qu’ils ont soumis. Mais enfin les conquérants deviennent infidèles au principe, d’abord observé, en vertu duquel ils conservaient la pureté de leur sang ; ils commencent à s’unir aux indigènes leurs sujets et mettent fin ainsi à leur propre existence ; car le péché originel commis dans le Paradis a toujours pour conséquence l’expulsion des coupables.
Au bout de mille ans et plus, la dernière trace visible de l’ancien peuple de maîtres se trouve souvent dans le teint plus clair que son sang a laissé à la race soumise, et dans une civilisation pétrifiée qu’il avait jadis fondée. Car de même que le sang du conquérant effectif et spirituel s’est perdu dans le sang des peuples dominés, de même s’est perdue la matière combustible dont était faite la torche qui éclairait la marche en avant de la civilisation humaine ! De même que le sang des anciens maîtres a laissé dans le teint des descendants une nuance légère qui prolonge son souvenir, de même la nuit qui étouffe la vie culturelle est rendue moins obscure par les douces lueurs que répandent les créations encore viables de ceux qui apportèrent jadis la lumière. Leur rayonnement brille à travers la barbarie revenue et fait croire trop souvent à l’observateur superficiel qu’il a devant lui l’image du peuple actuel, tandis qu’il ne l’aperçoit que dans le miroir du passé.
Adolf Hitler expose l’unique principe de toute politique d’état au troisième millénaire à la lumière du déterminisme racial de l’histoire humaine :
Par suite, le but suprême de l’Etat raciste doit être de veiller à la conservation des représentants de la race primitive, dispensateurs de la civilisation, qui font la beauté et la valeur morale d’une humanité supérieure. Nous, en tant qu’Aryens, ne pouvons nous représenter un Etat que comme l’organisme vivant que constitue un peuple, organisme qui non seulement assure l’existence de ce peuple, mais encore, développant ses facultés morales et intellectuelles, la fait parvenir au plus haut degré de liberté.
Ce qu’on cherche aujourd’hui à nous imposer comme Etat est le produit monstrueux de l’erreur humaine la plus profonde, suivie d’un cortège d’indicibles souffrances.
Nous autres nationaux-socialistes savons que le monde actuel considérera cette conception comme révolutionnaire et qu’elle nous flétrira de ce nom. Mais nos opinions et nos actes ne doivent pas résulter de l’approbation ou de la désapprobation de notre époque, mais de l’obligation impérieuse de servir la vérité dont nous avons conscience. Nous pouvons être convaincus que l’intelligence plus ouverte de la postérité non seulement comprendra les raisons de notre entreprise, mais encore en reconnaîtra l’utilité et lui rendra hommage.
Ce qui précède nous donne, à nous nationaux-socialistes, la mesure de la valeur d’un Etat. Cette valeur n’est que relative, jugée du point de vue particulier de chaque nation ; elle sera absolue si l’on s’élève au point de vue de l’humanité en soi. Autrement dit : On ne peut pas apprécier l’utilité d’un Etat en prenant pour critère le niveau de civilisation auquel il est parvenu, ou l’importance que lui donne sa puissance dans le monde; on peut le faire exclusivement d’après l’utilité que peut avoir cet organisme pour chaque peuple considéré.
Un Etat peut être tenu pour idéal, si non seulement il répond aux conditions d’existence du peuple qu’il doit représenter, mais encore si son existence assure en pratique celle de ce peuple, quelque importance culturelle que puisse du reste avoir dans le monde la forme de cet Etat. Car la tâche de l’Etat n’est pas de créer, mais de frayer la route aux forces en puissance. Un Etat peut donc être qualifié de mauvais si, tout en ayant atteint le degré le plus élevé de civilisation, il voue à la haine l’homogénéité raciale des représentants de cette civilisation.
Car alors il ne respecte pas en pratique la condition préalable de l’existence d’une culture, qui n’est pas de son fait mais le produit d’un peuple civilisateur affermi par la vivante synthèse de l’Etat. L’Etat ne représente pas une substance, mais une forme. Le degré de civilisation auquel est parvenu un peuple donné ne permet donc pas de doser l’utilité de l’Etat dans lequel il vit. On conçoit facilement qu’un peuple, hautement doué pour la civilisation, offre un aspect préférable à celui d’une tribu nègre ; pourtant l’organisme créé par le premier sous la forme d’Etat peut être, par la façon dont il remplit son but, pire que celui du nègre. Bien que l’Etat le meilleur et la meilleure constitution politique soient incapables de tirer d’un peuple des facultés qui lui manquent actuellement et qu’il n’a jamais eues, une forme mauvaise d’Etat amènera fatalement, dans la suite des temps, en permettant ou même en occasionnant la disparition des représentants de la race civilisatrice, la perte des facultés que celle-ci possédait primitivement en puissance.
Par suite, le jugement qu’on portera sur la valeur d’un Etat sera tout d’abord déterminé par l’utilité qu’il peut avoir pour un peuple donné, et nullement par l’importance propre de son rôle dans l’histoire du monde.
On ne peut pas faire de véritable politique ni fonder d’état sans retenir la vérité fondamentale de la science raciale.
La République Française, d’esprit fondamentalement juif, est un état ennemi, de nature parasitaire, qui pour se survivre à lui-même crée les conditions de l’anéantissement des populations blanches qui sont sous son contrôle et dont il exploite à outrance le potentiel de travail et de création. A l’instar de cet officier, la bureaucratie blanche sémitisée obéit mécaniquement aux ordres de la puissance hébraïque, offrant son concours à l’occupation et au génocide du peuple aryen qui a fondé la France.
Il n’y a pas que des cons à l’armée mais ils y sont tous
Les flots de sang de races inférieures qui se répandent dans l’antique Gaule forment sous nos yeux, au fil des ans, des divisions entières d’ennemis raciaux seulement capables de détruire. Le juif pensait avoir là une réserve inépuisable de supplétifs dont il entendait se servir pour contrôler les masses blanches de France et progressivement les exterminer. Ces supplétifs que sont ces arabes cruels et envieux renforcés de millions de nègres hébétés et rigolards chez qui le juif sait exciter l’appétit sexuel primitif par tout son art médiatique.
Mais le juif, pour reprendre la formule d’Adolf Hitler, est un « singe qui scie la branche sur laquelle il est assis ». Dans son insondable stupidité, le juif a posé les jalons de sa propre chute. Nous assistons ainsi à la confrontation naissante entre deux sémitismes : le sémitisme juif qui contrôle l’Etat « Français » et le sémitisme arabo-mahométan qui contrôle les rues des anciennes villes françaises et qui aspire à la domination totale grâce à sa démographie constamment renforcée par l’immigrationnisme d’état.
Pour survivre, l’Etat juif doit désormais empêcher « sur sa droite » une révolution menée par les éléments blancs de la race aryenne civilisatrice originelle menacée de submersion démographique tout en contrant « sur sa gauche » la révolution islamo-sémitique renforcée de la masse des nègres.
Grâce à sa maîtrise de l’art du mensonge et du mimétisme, le juif continue de diriger la politique française, sous tous ses aspects et d’abord au plan racial, c’est-à-dire migratoire et politico-judiciaire. C’est pourquoi, du point de vue aryen, le régime d’occupation juif qu’est cette république doit être prioritairement détruit. Pour sauver la race blanche en France, il faut d’abord libérer celle-ci de l’occupation mentale juive qu’elle subit sous la forme du démocratisme humanitaire. Tant que cette machine à détruire l’âme raciale des Blancs qu’est la République sera en mesure d’agir, elle continuera de tout faire pour exterminer la population blanche en France.
Le juif, en singeant les codes culturels et sociaux des Blancs, a pu subvertir la société française avant de s’emparer l’Etat pour finalement lancer la révolution génocidaire à laquelle il aspire depuis l’Antiquité, confiant en ceci d’agir conformément aux promesses de Yahvé inscrites dans l’Ancien Testament.
En raison même de cette infiltration, le juif est l’ennemi le plus dangereux car le plus destructeur. Aussi nuisible quotidiennement que soit l’arabe ou le nègre stupide, il demeure étranger. Par là-même, il est circonscrit, contrairement au juif qui se meut avec facilité au sein des élites de la société qu’il a façonné en deux siècles.
Il n’y aura aucune amélioration de la situation en France tant que le juif n’aura pas été extirpé de toutes les strates de l’Etat, de tous les médias, de toutes les professions puis expulsé, d’une façon ou d’une autre. Une fois expulsé, la question juive restera intacte mondialement : dans des dizaines d’états occidentaux, le bacille du génocide blanc continuera son action subversive. D’autant plus que la puissance juive mondiale craint désormais d’être abattue par l’empire chinois autoritaire et veut, pour conjurer sa défaite, utiliser les derniers restes de vitalité aryenne pour son propre compte en poussant le monde blanc dans une guerre totale contre la Chine et ses alliés russe et iranien.
Mais, et c’est l’heureuse nouvelle, la purge du dernier bastion de la juiverie en Europe qu’est la France sonnera le glas historique du sémitisme. Une fois sarclé de France, le juif deviendra sans force pour mener la lutte sur le continent. Ne lui restera que Londres comme base de repli où, sous l’effet de l’invasion islamique, le juif verra la base de son pouvoir se lézarder à son tour. Sans l’Europe, le juif ne peut espérer entraîner le monde blanc dans sa guerre contre le monde jaune. L’Amérique du Nord n’y suffira pas.
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