Capitaine Harlock
Démocratie Participative
9 mars 2017
L’implosion ethno-raciale de la Seine Saint-Denis progresse rapidement. A présent, des centaines de nègres et autres peaux sombres prennent d’assaut les lycées dans ce qui doit probablement être une lutte inter tribale locale.
Cinquante-cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue mardi 7 mars pour « attroupement armé et jets de projectiles » devant le lycée Suger de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), a confirmé la préfecture de police de Paris à franceinfo.
Frappés par la misère et les discriminations, les insurgés ont tenté d’incendier le lycée sans succès :
Les faits se sont produits vers 10 heures ce matin, au moment de la récréation. Professeurs et élèves ont entendu une grosse explosion dans le hall du lycée, selon le témoignage d’un enseignant du lycée Suger recueilli par France Bleu Paris. L’air est devenu irrespirable, à cause de la fumée. Les élèves ont donc été conduits dans la cour de l’établissement.
Ils ont ensuite attaqué la police française à « l’explosif » et au cocktail Molotov :
Au même moment, un groupe de jeunes s’est introduit dans le lycée et a tenté d’allumer un incendie dans trois endroits distincts de l’établissement. Ils sont ensuite entrés dans l’un des bâtiments et y ont répandu de l’essence. Les départs de feu ont été rapidement maîtrisés. Après l’évacuation des élèves, des fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs individus armés de pierres, de mortier, d’explosifs et de cocktails Molotov.
En même temps, il n’y a rien d’illégitime à vouloir brûler vifs des violeurs.
La conclusion logique de cette flambée de violences raciales est assez facile à anticiper : de l’argent, des subventions. Et une généreuse louche de réunionite gauchiste.