Le Libre Panzer
Démocratie Participative
13 février 2019
Couper du bois mobilise désormais l’appareil d’état français.
Il s’agit de poursuivre devant la Cour Pénale Internationale de La haye les bûcherons de l’antisémitisme.
Scier les arbres qui disent que nous n’oublierons jamais le martyre d’Ilan Halimi. Jusqu’à quelle abjection ira la haine véhiculée par l’antisémitisme ? Pensées et solidarité avec nos compatriotes de confession juive.
— Bernard Cazeneuve (@BCazeneuve) 12 février 2019
Les salauds: la profanation des arbres plantés à la mémoire d’Ilan Halimi est particulièrement dégueulasse. Le climat qui s’installe en France donne envie de gerber.
— Namias Robert (@NamiasRobert) 11 février 2019
Croix gammées inscrites sur le portrait de Simone Veil, « juden » taggé sur un magasin Balgelstein, les arbres plantés en mémoires d’Ilan Halimi, sciés. Cette déferlante antisémite est à vomir. Elle appelle la plus grande sévérité des pouvoirs publics.
— Benoît Hamon (@benoithamon) 12 février 2019
« Ici on plantera des arbres encore plus grands, encore plus beaux ».
À Sainte-Geneviève-des-Bois, en mémoire d’Ilan Halimi. pic.twitter.com/Jy1J2mwpg1— Christophe Castaner (@CCastaner) 11 février 2019
Les arbres plantés en hommage à Ilan Halimi ont été retrouvés sectionnés et profanés à Saint Geneviève des Bois ce matin. 2 jours avant les commémorations des 13 ans de son assassinat. L’antisémitisme n’est jamais un fait divers. Nous devons tous nous mobiliser et ne pas oublier
— Sacha Ghozlan (@SachaGhozlan) 11 février 2019
J’ai appris avec effarement la profanation des arbres plantés à la mémoire d’Ilan Halimi à Sainte-Geneviève des Bois. 13 ans après son assassinat, cet acte ignominieux ne doit pas rester impuni: la @DILCRAH a signalé ces faits au procureur de la République.
— Frédéric Potier (@FPotier_Dilcrah) 11 février 2019
Indigné par la profanation des arbres plantés en souvenir d’Ilan Halimi.
Face aux vents mauvais de l’antisémitisme, la République fera bloc. C’est son honneur, c’est son devoir.— Laurent Nunez (@NunezLaurent) 11 février 2019
Juden tagué sur la vitrine d’un restaurant de Paris. Ilan Halimi privé de son mémorial. Simone Veil bafouée dans son effigie solaire. Le dégoût, bien sûr. Mais aussi l’effroi à face à ces trois passages à l’acte #antisémites unis dans une conjonction diabolique.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 11 février 2019
Sa mère avait souhaité qu’Ilan Halimi soit enterré en Israël par peur que « ses bourreaux viennent cracher sur sa tombe ».
Hier sa stèle était abîmée, aujourd’hui on coupe des arbres. Vous pourrez tout essayer, votre haine ne gagnera pas. Nous ferons front.— Aurore Bergé (@auroreberge) 11 février 2019
Montée de l’#antisémitisme:
En moins de 24h:un tag «Juden», croix gamée sur un portrait de Simone Veil,profanation de l’arbre dédiée à Ilan Halimi. Ds les rues,les médias ou sur les réseaux sociaux,il y a une libération d’une haine décomplexée.Elle doit être condamnée fermement. pic.twitter.com/4gqO0c3S6Y— Laetitia Avia (@LaetitiaAvia) 11 février 2019
Les chambres à gaz ne sont plus les éléments exclusifs de la commission du génocide.
Il faut désormais y ajouter ça :
Et ça :
La scie et le marqueur de l’Imprescriptible.
Je n’ai rien contre les arbres.
Mais cette idée de crime contre l’humanité forestier me paraît être un concept bizarre.
Au Prix Ilan Halimi créé et décerné par l’excrémentielle République judéo-maçonnique, on préférera le Prix international Robert Faurisson récompensant d’héroïques combattants comme la nonagénaire Ursula Haverbeck, cette grande dame allemande, droite et debout face à l’imposture.
— Rivarol (@rivarolhebdo) 13 février 2019