Captain Harlock
Démocratie Participative
15 mai 2019
Lors de la cérémonie des Molières, hier, les ventriloques juifs qui tiennent le monde du spectacle ont fait parler une de leurs marionnettes marrons pour annoncer la couleur à la bourgeoisie blanche présente.
Le message est assez simple : « Vous, les Blancs, on va vous remplacer ».
N’allez pas imaginer que ce nègre se soit hissé seul sur cette scène pour disserter sur le thème de l’anéantissement de la race blanche en France. Personne, dans ce pays, n’apparaît à la télévision sans en avoir été explicitement autorisé par les juifs. Personne.
Ce nègre s’adresse, officiellement, à l’audience du monde du show-biz. Mais pas seulement. La cérémonie étant télévisée, le message qu’envoient ces juifs s’adresse à tous les Français de race blanche. Soit 52 millions de personnes.
Il est possible que ce nègre retire une certaine satisfaction à l’idée de cracher sur les Blancs qui le nourrissent et lui permettent de faire carrière dans le show-biz.
S’il était resté au Cap Vert, ses opportunités professionnelles auraient très sévèrement réduites.
Je n’avais pas souvenir que la France avait colonisé le Cap Vert ni persécuté ses habitants. Rien qui puisse servir de prétexte, en 2019, à ce genre d’appels explicites au nettoyage ethnique.
Car oui, appeler à faire disparaître des gens sur la base de leur appartenance raciale, dans leur pays, est du nettoyage ethnique. Mais il y a une nuance de taille : c’est le bon nettoyage ethnique.
Ce Fary, au seul plan moral, est donc à l’image de tous ces parasites ingrats qui prospèrent sur la naïveté du Français lobomotisé par la propagande cosmopolite juive : une ordure. Rien de neuf.
Ceci dit, je suis assez content de voir un nègre dire franchement à tous ces dégénérés encocaïnés du show-business qu’ils ne seront pas épargnés par le remplacement de population. Tous ces culs en or ont fait carrière en vendant le bolchevisme culturel à la plèbe. Ils ont systématiquement crucifié le prolétaire blanc coupable de tous les maux, de tous les crimes, porteurs de tous les vices.
Le monde vu par cette fin de race :
Le monde réel :
Je dois dire que c’est probablement le seul secteur que j’aimerais voir intégralement génocidé par les afro-maghrébins : le show-biz avec ses fiottes, ses tarés, ses camés, ses hypocrites.
Et surtout, ses juifs.
Mais le juif n’escompte aller nulle part. Il veut simplement noyer les arts de ses déjections et de celles de métèques qui lui devront tout face aux Blancs. Ainsi est détruite la culture d’une nation qui pèche par l’enjuivement et la déchéance raciale.
C’est d’autant plus évocateur que cette cérémonie porte le nom de Molière dont l’oeuvre a été réalisée à une époque où la France approchait de son zénith civilisationnel.
On peine à établir le lien entre la France afro-sémitisée du 21ème siècle et celle du passé, même pas si lointain.
Attendons encore 20 ans et cette cérémonie des Molières sera rebaptisée du nom d’un nègre anticolonialiste célèbre pour avoir décapité trois Français en récitant une prière vaudoue.
Personnellement, je n’en veux pas à ce nègre Fary de se comporter en nègre. De la même façon que je n’en voudrais pas à un macaque d’essayer de me voler une pomme.
En revanche, j’en veux à tous ces pauvres Français avachis, roulant dans leurs fanges, qui restent sans réagir devant l’équarrissage qu’on nous promet. Parce qu’à cause de leur avachissement, vous, comme moi, allons également y avoir droit. Et je n’ai pas d’appétence pour le suicide.
Tout ce soi-disant « art » n’a rien de français ni d’européen, d’aryen. Cela ne provient pas de nous, ce n’est pas notre âme qui parle. Ce sont des gens qui se sont emparés de l’Etat pour parler à notre place.
Il n’y aura pas d’art français sans que l’Etat n’ait été intégralement purgé racialement. Il n’y aura pas d’Etat purifié racialement tant que le juif n’aura pas été extirpé de nos rangs. C’est aussi simple que ça. Tant que cet empoisonneur sera laissé libre d’agir, les choses n’iront qu’en s’aggravant, jusqu’à sombrer dans la barbarie la plus complète.
Je ne plaisante pas.
Et puisque nous parlons des Molières, je joindrai l’utile à l’agréable en faisant lire Hélie de Saint Marc par Jean Piat. Simplement pour montrer ce qui est possible au delà du marais puant du judéo-bolchevisme culturel.
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