Capitaine Harlock
Démocratie Participative
31 août 2017
Quelle sale gueule.
Quelle sale gueule d’arabe.
Un exemple de ce que Macron a fait rentrer dans le système. Même avec des lunettes et un costard, un bougnoule reste un bougnoule.
Marianne :
Le député macroniste M’Jid El Guerrab a porté de violents coups de casque contre Boris Faure, responsable de fédération socialiste, ce mercredi 30 août, dans le cinquième arrondissement de Paris. Il a expliqué à la police avoir été lui-même agressé et insulté par son adversaire, avec qui il entretient un contentieux politique.
Tout commence lorsque le parlementaire passe en scooter devant un restaurant de la rue Broca, près de laquelle il réside, et aperçoit Boris Faure. Les deux hommes entretiennent un violent contentieux politique depuis que le député a quitté le PS pour rejoindre les rangs macronistes, fin 2016. Lors des élections législatives, le socialiste a pour sa part été le directeur de campagne de Didier Le Bret, concurrent de M’Jid El Guerrab dans la circonscription des Français d’Afrique du Nord. A ce poste, il n’a pas hésité à tancer les choix politiques de son adversaire, en publiant par exemple un article assassin à son égard sur l’espace blog de Mediapart. Le titre du papier ? « M’Jid El Guerrab, portrait d’un opportuniste ordinaire ».
Toujours est-il que rue Broca, ces ex-camarades du PS se reconnaissent et engagent la conversation. Les retrouvailles virent rapidement au règlement de comptes. Un témoin raconte : « Ils commencent à discuter et au bout de quelques minutes, le député lui assène un coup de casque très violent puis un deuxième. L’autre tombe par terre, en sang« . Selon cette source, l’élu était particulièrement remonté : « Si les agents de sécurité ne les avaient pas séparés, il se serait acharné. Il avait de la haine dans les yeux ». Boris Faure est quant à lui touché au niveau de la tempe.
Les agents de sécurité de Paris Habitat, dont les locaux sont situés en face du restaurant, ont dû empêcher l’élu d’aller plus loin. Philippe, un de ces vigiles, estime que l’élu était hors de lui : « Si on ne l’avait pas arrêté, il aurait continué à le tabasser« . Le macroniste s’est immédiatement plaint d’avoir été agressé par son interlocuteur. Contacté par Marianne, un proche de M’Jid El Guerrab considère que le député s’est simplement « défendu » : « Boris Faure l’a empoigné par le bras, l’a traité d’imposteur, de communautariste de merde, de sale arabe. M’Jid s’est défendu avec son casque, c’est tout. C’est une réaction instinctive. » Ce proche suggère encore que Boris Faure ne se serait pas trouvé dans cette rue par hasard mais aurait attendu le député aux abords de son domicile afin de provoquer un règlement de comptes.
Ha !
« Si pas moa, si lautre, i li vinu magresser, i li raciss »
De nombreux témoins rejettent la thèse d’une agression de Boris Faure. « L’autre l’a touché, il a touché son bras. Mais ça ne s’appelle pas une agression », considère Philippe, qui assure avoir tout vu. Le socialiste aurait en revanche bien insulté le député. Un témoin explique : « Il a dit ‘sale arabe’, tout le monde a entendu ».
Faure est un sous homme qui courtisait les crouilles d’Afrique du Nord et qui a donc été évincé par un crouille d’Afrique du Nord.
Face à toutes ces déceptions et à la sauvagerie arabe, Faure a finalement accepté de redevenir, pour un bref instant, un être humain et a laissé échapper un « sale arabe » avant de s’effondrer, terrassé.
L’avenir d’un politicien socialiste qui est pris en flagrant délit de bougnoulophobie étant environ équivalente à 0%, Faure ne peut même plus rejoindre le FN qui lui-même est dirigé par des sales arabes.
C’est d’ailleurs probablement le cousin de M’jid.
Non, Boris Faure n’a plus qu’une alternative crédible : le racisme.