Démocratie Participative Le site le plus censuré d'Europe
La rédaction
Démocratie Participative
18 avril 2024
Alain Soral a été condamné à 40 jours de prison par le régime homosexuel suisse après avoir factuellement décrit une grosse lesbienne comme telle : grosse et lesbienne.
Le clergé médiatique local exulte de joie.
Les propos d’Alain Soral tenus contre une journaliste de la «Tribune de Genève» et «24 heures» étaient bien homophobes. Le Tribunal fédéral vient de confirmer la condamnation du polémiste d’extrême droite franco-suisse. Le coupable doit purger une peine de 40 jours de prison pour discrimination et incitation à la haine. S’ajoute une peine pécuniaire de 1500 francs pour diffamation. Il doit également payer une partie des frais de justice (2500 francs).
Ce jugement est historique. C’est la première fois que la Haute Cour de justice valide un jugement pour une discrimination basée sur l’orientation sexuelle. En clair, les propos homophobes n’ont pas leur place dans le pays, tout comme ceux dirigés contre une race, une ethnie ou une religion. Ce verdict va dans le sens voulu par le peuple qui avait décidé dans les urnes de protéger la communauté homo et bisexuelle en renforçant l’article 261bis en 2020.
Tiens, quand on parle du fléau démocratique, en voici le dernier exemple.
Ce n’est pas parce que 51% des gens disent quelque chose que c’est vrai, ou juste.
C’est même pire. Une fois la masse suffisamment embrigadée par les médias – qui, eux, appartiennent à une petite clique -, on peut se retrouver avec une foule de fanatiques prêts à lyncher tout ce qui bouge pour le compte du pouvoir établi et ce pouvoir peut redoubler de terreur sur cette base.
L’arrêt du Tribunal fédéral souligne l’importance de la liberté d’expression dans le pays.
Et j’imagine qu’en Suisse les maquereaux soulignent l’importance de la fidélité dans le mariage avant d’aller encaisser les bénéfices de leurs gagneuses ?
Dorénavant, il n’y a plus un procès en sorcellerie qui débute par un rappel de la liberté de pratiquer la sorcellerie.
Ce principe ne doit pas toutefois être un prétexte pour troubler la paix publique, autre valeur sacro-sainte helvétique. Alain Soral avait donc le droit de dire, en 2021, qu’il n’appréciait pas un article de notre consœur. Mais il devait le faire dans le respect et la dignité d’autrui et pas, notamment, en la traitant de «grosse lesbienne» et de «militante queer».
Quelle hypocrisie.
Et quel pays de sodomites.
C’est un coup dur pour l’écrivain franco-suisse. Il avait déclaré s’être exilé à Lausanne en 2019 pour échapper à la prison en France, où ses propos ont déjà été condamnés plus de 20 fois pour diffamation, injure, provocation à la haine ou encore antisémitisme. En Suisse, il n’a plus de possibilité d’appel. Ne lui reste qu’un recours éventuel à la Cour européenne des droits de l’homme.
Bon, en soi, c’est une farce.
Les taules suisses sont des hôtels.
Soral ne sera absolument pas démonté par ce truc, il est même probable qu’il remette le couvert.
Ce qui est frustrant, c’est de voir de tels roquets insignifiants utiliser le pouvoir d’état pour régler des comptes qu’eux-mêmes ne peuvent pas régler personnellement.
Ceci dit, il est évident que ce sont les juifs qui sont à la manoeuvre et qu’ils se servent de cette gouine obèse comme de prétexte pour harceler Soral. La Suisse est connue pour être l’un des endroits où les juifs entreposent une partie de l’or qu’ils volent partout dans le monde. Ils ont de facto la main mise sur ce pays.
— Licra (@_LICRA_) April 18, 2024
Et puis il y a le caractère suisse. Ce pays est d’ordinaire présenté comme une grande montagne où on fabrique des montres, du chocolat et du fromage, mais c’est oublier que c’était un repaire de protestants fondamentalistes au 16e siècle. Leur conformisme social actuel et leur volonté de castrer en public quiconque défie l’ordre judéo-LGBT en place s’inscrivent dans cette longue tradition de contrôle social extrême.
Ceci dit, cela reste un pouvoir bourgeois. Les élites suisses n’ont aucune goutte de sang révolutionnaire et déchanteraient vite face à une opposition déterminée.
Soral devrait créer un parti révolutionnaire dans ce pays avec pour objectif l’expulsion des juifs de toute la Suisse.
Si vous souhaitez insulter le journaliste qui a écrit ce truc, Dominique Botti, son compte Twitter est ici.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.
