Saint-Martin : Macron veut « désarmer » les Blancs rapidement

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 septembre 2017

 

Course contre la montre : les secteurs privé et public sont mobilisés pour stabiliser vite et reconstruire mieux. pic.twitter.com/sndeX1oZ4R

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 13 septembre 2017

Après que Saint-Martin se soit transformée en l’espace d’une nuit en Somalie bis, Emmanuel Macron vient de proposer une idée particulièrement audacieuse pour juguler les problèmes : désarmer les Blancs.

Europe 1 :

Lors d’un point presse donné sur l’île de Saint-Martin, où il est arrivé mardi, Emmanuel Macron a estimé que le nombre d’armes sur l’île constituait un problème « endémique ».

Le président Emmanuel Macron a estimé mardi qu’il n’était « pas normal » qu’il y ait « autant d’armes en circulation » sur Saint-Martin, souhaitant « désarmer » l’île antillaise ravagée par l’ouragan Irma.

« Pas normal » qu’il y ait autant d’armes en circulation. « Il y a un problème endémique dans l’île, qui préexiste à la crise, ce sont les armes », a affirmé le chef de l’État lors d’un point presse à Marigot. « Je souhaite qu’au bénéfice de cette crise, on puisse désarmer l’île. Il n’est pas normal que dans une île comme celle-ci, il y ait autant d’armes en circulation », a-t-il ajouté.

Le seul problème endémique qui préexiste à la crise, ce sont les nègres. Et ces nègres passeront à l’action, que ce soit avec des armes automatiques volées aux gendarmes ou avec des coupe-coupe ou des hachettes.

Macron ne s’est pas limité à cette décision, il a exigé des Blancs qui n’organisent pas leur propre défense :

Macron invite à « ne pas procéder à de l’autodéfense ». Il a enjoint les habitants inquiets pour leur sécurité, à la suite notamment de nombreux pillages, « en aucun cas à ne procéder à de l’autodéfense ».

Ce type est fou. Ou criminel.

C’est la figure même du bureaucrate inculte parisien qui n’a aucune expérience pratique du terrain mais qui entend bien que chaque contribuable rampe devant l’état soviétique français, quitte à laisser sa famille se faire égorger par des nègres de Jamaïque ou de Saint-Domingue totalement défoncés au crack.

Parce que naturellement, les nègres clandestins ne rendront jamais leurs armes. Elles sont déjà planquées.