Wolf
Démocratie Participative
13 septembre 2017
L’agitateur nègre des îles Elie Domota a une explication sur les raisons du chaos ayant régné sur Saint-Martin.
Oui, bien sûr, c’est à cause des Blancs.
Ce cataclysme fait en effet ressortir les disparités sociales graves qui existent à Saint-Martin. La population de cette île franco-hollandaise voisine de la Guadeloupe est très diverse. Mais si on veut résumer, sur le plan social, vous avez une grande partie de la communauté noire qui vit dans la pauvreté, dans l’exclusion, et une communauté blanche, principalement composée d’Européens et de Français, qui eux vivent plutôt bien. La situation qu’on retrouve à Saint-Martin est une situation coloniale du même type que celle qu’on retrouve en Guyane, par exemple. Sauf qu’à Saint-Martin, ces inégalités sociales sont démultipliées : le chômage des jeunes est plus fort, la misère plus répandue. Voilà la réalité de Saint-Martin.
Les nègres vivent dans la pauvreté parce qu’ils ont non pas un poil dans la main, mais une queue d’éléphant. Mais si le nègre est fainéant et jaloux, c’est naturellement en raison du racisme.
Quant à la « situation coloniale », ce mulâtre oublie que cette île ne lui appartient pas plus qu’aux Blancs, puisque ses ancêtres viennent d’Afrique. Et c’est grâce au torrent d’argent blanc que ce cafre ne vit pas dans un paradis de type haïtien.
La réalité coloniale de Saint-Martin se prolonge dans la façon dont les médias nationaux traitent cette information. Les télés nous montrent une communauté blanche apaisée, raisonnable, et de l’autre des Noirs qui dévalisent les magasins. Des pillages, il y en a. Ce sont des choses qui arrivent dans ces circonstances où les gens n’ont plus rien et sont abandonnés à leur sort depuis une semaine. Mais ça n’arrive pas qu’à Saint-Martin. A la Nouvelle-Orléans, les supermarchés ont été pillés, pareil à Houston au Texas il y a peu. Dans la partie néerlandaise de Saint-Martin, il y en a eu aussi. Le phénomène est sans doute amplifié par le fait que les secours ont mis du temps à arriver. Si on avait prépositionné des vivres et de l’eau en Guadeloupe, je pense que les gens auraient pu être ravitaillés plus rapidement et seraient sans doute moins exaspérés.
Nouvelle-Orléans, Texas ? Ah mais en effet, il y a un point commun : des nègres.
Par le passé, lors des « grèves des Antilles » en 2009 – les nègres faisant grève, c’est déjà mirobolant à écrire -, Domota avait rejeté avec horreur l’idée de l’indépendance de son caillou alors que la polémique enflait sérieusement en France et que les sondages donnaient une forte demande de rupture avec ce tonneau des Danaïdes africain. Commençant à sentir la fin du racket, ce nègre arrogant était soudainement devenu d’une docilité stupéfiante.
Ce sale kaffir de Domota aurait depuis longtemps du recevoir le traitement qu’il mérite : le rapatriement vers l’Afrique ou Haïti, s’il le souhaite. Et avec lui toute la crasse nègre qui pollue depuis trop longtemps ces îles.