Saint-Lô : L’extrême-gauche implante une colonie de pouilleux du tiers-monde dans un bâtiment public

Wolf
Démocratie Participative
16 octobre 2017

Toujours les mêmes méthodes. Toujours les mêmes activistes.

La Manche Libre :

Une quarantaine de migrants, aidés par un collectif nouvellement créé, le « Collectif tous à l’abri » occupe depuis ce samedi 14 octobre 2017 un bâtiment public abandonné à Saint-Lô (Manche).

Les immigrés qui campaient promenade des ports à Saint-Lô (Manche) ont investi un bâtiment à Saint-Lô (Manche), ce samedi 14 octobre 2017. Ils étaient aidés d’un collectif nouveau, le Collectif tous à l’abri.

Le bâtiment est l’ancien local de la section locale interministérielle de la mutuelle fonction publique (SLI MFP). Une quarantaine de personnes y ont pris place, y compris des enfants. « Des personnes étaient déjà venues sur place mardi, mais depuis ce matin, toutes les familles s’y sont installées », explique une femme, membre du collectif.

« Ce sont des bâtiments qui étaient vides et ouverts » insiste un membre du collectif. Sur place, on s’active pour nettoyer les lieux. L’aspirateur est passé, les carreaux sont frottés et le repas est en cours de préparation. En attendant, certains jouent au Molkky. « C’est insupportable de voir des gens dehors. Les conditions météo vont vite se dégrader, cela ne pouvait pas continuer. Il y a toujours un risque de voir la police débarquer mais si ces gens n’étaient pas dehors, ce risque n’existerait pas. »

Et encore moins si ces boucaques étaient renvoyés dans leur bled.

Pour l’heure, tout le monde s’installe, mais les membres du collectif attendent des réponses de la municipalité. « On espère que la mairie va offrir un logement pour tout le monde et pas un logement de deux semaines. » Une vingtaine de personnes aident les migrants à s’installer. « C’est plus chez eux que chez nous ici, il y a des enfants qui jouent partout. On ne fait pas de distinction entre les gens. Et depuis aujourd’hui, il y a beaucoup de sourires aux lèvres.« 

Présent sur place pour constater les faits, le maire François Brière s’est refusé à tout commentaire en fin d’après-midi. Il était accompagné de personnes de la police municipale et nationale.