Leutnant
Démocratie Participative
27 février 2023
L’éco-quartier de Crêt-de-Roc à Saint-Étienne
Il faut se méfier des Arabes en trottinette électrique.
Actu.fr :
Le dimanche 12 février 2023, vers minuit, une femme âgée de 40 ans a été victime d’un viol.
Elle a été agressée lors du trajet entre son travail à son domicile dans le bas du quartier du Crêt-de-Roc à Saint-Etienne, indique David Charmatz, procureur de la République de Saint-Etienne.
Violemment agressée, avec des blessures qui ont entraîné des saignements, la victime a perdu connaissance. Elle a toutefois pu trouver de l’aide auprès d’une voisine après le départ de son agresseur.
Hospitalisée puis entendue par les policiers, elle n’a gardé que quelques vagues souvenirs de son agression. Elle a précisé aux enquêteurs que son agresseur l’a suivie en trottinette électrique.
Des prélèvements génétiques ont été effectués pour rechercher des traces éventuellement laissées par le violeur. Mais le profil génétique masculin mis en lumière par le laboratoire est inconnu et n’est pas répertorié au fichier national des empreintes génétiques.
L’enquête, confiée à la sûreté départementale, a alors été prolongée par le parquet de Saint-Etienne qui a ouvert le 21 février une information judiciaire du chef de viol, précise le procureur.
Les policiers ont repéré, grâce aux enregistrements de vidéosurveillance, un individu pouvant correspondre au profil de l’agresseur, demeurant non loin des faits, dans le centre-ville de Saint-Etienne.
Une perquisition menée à son domicile a permis au service de police technique et scientifique de retrouver des vêtements lui appartenant ainsi qu’une trottinette avec des traces de sang de la victime.
Le suspect, un étranger de nationalité tunisienne, âgé de 21 ans, n’est pas connu des services judiciaires. Il vit en France depuis près de 2 mois, accueilli par ses 3 frères.
Après prolongation de sa garde à vue, le juge d’instruction a déféré cet individu. L’homme a été mis en examen et placé, sur réquisitions conformes du parquet, en détention provisoire criminelle par le juge des libertés, samedi 25 février.
L’homme soupçonné du viol a fourni plusieurs explications farfelues lors de sa garde à vue, niant tout d’abord les faits avant d’expliquer qu’il s’agissait d’un complot.
Il a ensuite exercé son droit de garder le silence devant le juge d’instruction puis a déclaré ne plus se souvenir des faits au juge des libertés et de la détention. Il a été incarcéré à la prison de La Talaudière, dans l’attente de son jugement.
Sur une note plus positive, si le violeur est expulsé vers la Tunisie, ses trois frères resteront en France pour voter Mélenchon.
Les valeurs de la république sont sauves.