Leutnant
Démocratie Participative
30 Décembre 2020
Diversité positive.
L’homme écroué après le meurtre à coups de couteau de son épouse dimanche à Saint-Étienne devant leur enfant de deux ans explique que la victime l’avait «envoûté», a-t-on appris mercredi 30 décembre de source judiciaire.
Cet agent d’entretien de 33 ans a été mis en examen pour meurtre aggravé et écroué dans la nuit de mardi à mercredi. L’autopsie de la victime, ancienne étudiante en architecture en Algérie, a révélé qu’un des coups de couteau a sectionné l’artère aorte et qu’elle est décédée d’une hémorragie interne. Le meurtrier présumé, décrit comme calme et discret par son voisinage, a expliqué souffrir d’un «stress intense», accru par les demandes de sa femme qui, selon lui, «l’envoûtait», a indiqué le parquet de Saint-Étienne. Après avoir porté les coups mortels à son épouse âgée de 32 ans, l’homme s’était infligé des blessures superficielles avec un second couteau puis avait appelé les pompiers.
Le couple originaire d’Algérie s’y était marié en 2017. Le trentenaire affirme avoir été longuement suivi dans ce pays par un psychiatre et souffrir de dépression chronique, précise-t-on de même source. Leur fils, présent sur les lieux du drame et maculé de sang à l’arrivée des secours, a été confié à une sœur de la victime dans l’attente d’une décision du juge des tutelles.
En 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, 25 de plus que l’année précédente, selon les derniers chiffres officiels.
Moralité : il va falloir que les Blancs payent pour l’éducation du jeune Kader.