Sadisme hébraïque : extradition filmée d’un centenaire mourant accusé d’avoir transformé en savon 6 millions de juifs

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
22 août 2018

Aucun être humain ne peut admettre une telle débauche de cruauté.

Le Monde :

A peine atterri à Düsseldorf, il a immédiatement été admis en maison de retraite. A 95 ans, Jakiv Palij, un ancien garde de camp nazi, a été expulsé des Etats-Unis vers l’Allemagne, mardi 21 août. Des images de la télévision américaine l’ont montré extrait de son domicile du Queens, à New York, en lit médicalisé, criant de douleur. Cette expulsion de celui qui figurait en dixième place sur la liste des criminels nazis établie par le Centre Wiesenthal, en 2016, marque le dénouement d’un différend germano-américain qui durait depuis des années.

La défense des droits de (((l’homme))) mise en pratique.

Jakiv Palij n’a jamais eu la nationalité allemande. Mais, depuis 2005, les autorités américaines cherchaient à expulser l’homme, devenu apatride à la suite d’une condamnation d’un tribunal en 2003, lui retirant la nationalité américaine, vers un pays où il puisse être jugé. Né en Pologne, il avait été entraîné par les SS au camp de travail forcé de Trawniki en 1941. Une partie des hommes formés dans ce camp ont été directement impliqués dans les camps d’extermination de Belzec, Sobibor et Treblinka. Le plus célèbre de ces recrues de Trawniki était John Demjanjuk, expulsé des Etats-Unis vers l’Allemagne en 2009, condamné par le tribunal de Munich pour complicité de meurtre de plus de 28 000 personnes et mort en 2012.

Peu de chances, en revanche, que Jakiv Palij comparaisse un jour devant la justice allemande, ce qui explique aussi les réticences des autorités outre-Rhin. Contrairement au cas Demjanjuk, il n’existe aucun document qui prouve que M. Palij a bien participé à la Shoah. Lui-même a toujours insisté sur le fait qu’il avait été forcé par les SS à prendre du service à Trawniki et qu’il n’avait jamais été employé dans un camp d’extermination mais uniquement dans des patrouilles de surveillance. Les autorités américaines, elles, étaient convaincues que Palij était un maillon de l’organisation d’extermination nationale-socialiste en Pologne et en Ukraine.

Palij a en effet probablement planifié la transformation en savon de 11 millions de juifs.

Je veux dire, ouais, bien sûr.

Evidemment.

Le dossier est extrêmement solide et n’a donc pas besoin de documents.

Le témoignage du beau-frère d’un déporté suffira.

En fait, il suffit qu’un juif parle et cela suffit.

Mais ni la Pologne, ni l’Ukraine, ni l’Allemagne n’avaient jusqu’ici accepté de le prendre. Berlin a finalement revu sa position. « Nous endossons la responsabilité morale vis-à-vis des victimes du national-socialisme », a déclaré mardi le ministre allemand des affaires étrangères, Heiko Maas, dans une interview à la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Selon la presse outre-Rhin, le cas Palij, très médiatisé outre-Atlantique, a été mentionné à chaque rencontre entre Berlin et Washington depuis le début de l’administration Trump.

Hélas, c’est là le triste résultat de l’enjuivement notoire de la famille proche de Donald Trump. Ce qui causera sa perte en temps et en heure, comme toujours avec ces pourvoyeurs de malheur.

Par ailleurs, ce Heiko Maas est un serviteur des juifs revendiqué. En visite dans la colonie juive de Palestine, Maas avait réitéré le serment d’allégeance à cette race criminelle, assurant que « la sécurité d’Israël et la lutte contre l’antisémitisme faisaient partie de l’identité nationale de l’Allemagne ». Autrement dit, que l’identité de l’ancienne patrie de Goethe, Schopenhauer et Wagner était désormais de servir la pouillerie sémitique.

Selon le ministère américain de la justice, cité par le New York Times, sur onze anciens criminels nazis condamnés à l’expulsion depuis 2005, neuf sont morts aux Etats-Unis. Un seul, John Demjanjuk, est mort en Allemagne, un an après avoir été condamné pour le meurtre de 28 000 personnes à Sobibor, en Pologne.

Pour ceux qui ont encore des doutes sur le fanatisme criminel des juifs, voilà de quoi leur donner à méditer.

Ces défenseurs de l’humanité en sont réduits à faire extrader sur leur lit de mort un centenaire grabataire, incapable de se nourrir ou même de se rendre aux toilettes, pour le livrer au sanhédrin de l’Allemagne occupée devant les caméras.

Ce spectacle résume à lui seul ce qu’est cette race puante devant l’humanité.

Cela n’a rien à voir avec le national-socialisme, le Troisième Reich ni même avec ce pauvre vieillard ignoblement persécuté. Il s’agit en réalité d’un message à l’adresse de tous ceux qui voudraient défier la base du pouvoir juif : la juiverie, avec son effronterie coutumière, prétend pouvoir disposer du droit de vie ou de mort sur n’importe quel opposant, partout, pour l’éternité.

Il s’agit là d’une déclaration formelle de la part du pouvoir juif de ce qu’il s’estime fondé à réduire en esclavage chaque être humain de cette terre.

Cela n’a rien à voir avec une quelconque notion de justice, mais avec la soif de domination sadique d’une race dont l’arrogance tient lieu de religion. Toute opposition vaut blasphème face au juif frénétiquement occupé à se diviniser.

Le fait que ces juifs vont très prochainement ne plus avoir de pseudo-criminels nazis à exhiber aux masses pour les terroriser les rend de plus en plus nerveux. C’est ce qui explique cette débauche de haine hébraïque se mettant en scène de manière aussi obscène.

C’est aussi le signe que la tyrannie juive fondée sur le mythe de l’holocauste s’essouffle rapidement.

Que cela plaise ou non, tant que 1945 ne sera pas effacé, le juif continuera de mener l’humanité à sa perte.

Mais on peut dire avec certitude que le juif a fini d’étendre son règne criminel sur la terre. Ses agissements sont connus de tous à mesure que les mois passent.

Les hommes sortiront de ce cauchemar aussi rapidement qu’ils y sont entrés.