Captain Harlock
Démocratie Participative
08 septembre 2021
C’est tout de même autre chose que le Dalaï Lama et Richard Gere
Bonne nouvelle depuis la Birmanie.
La Croix :
Le procès a eu lieu en vidéoconférence lundi 6 septembre à Rangoun. Il n’a duré que quelques minutes, les charges ont été abandonnées et le moine Ashin Wirathu, 53 ans, a recouvré la liberté le soir même. Aucun autre détail n’a été donné par la junte militaire, qui a annoncé la libération de ce moine bouddhiste ultra-nationaliste ayant diffusé des discours de haine contre les musulmans rohingyas depuis des années. Il était incarcéré dans la prison de Insein depuis novembre dernier après avoir été en cavale pendant des mois.
Le 29 mai 2019, un mandat d’arrêt « pour incitation à la haine » avait été émis contre lui par les autorités birmanes encore sous la direction d’Aung San Suu Kyi. Il aurait alors quitté son monastère de Mandalay pour se rendre à Rangoun et se livrer aux autorités mais il a brutalement disparu de la circulation pour ne réapparaître et se rendre à la police qu’en novembre 2020. Il est resté en prison depuis, même au lendemain du coup d’État mené par les militaires birmans le 1er février 2021, en attendant son procès.
Selon le site d’informations Irrawady toujours très bien informé, le moine aurait diffusé le mois dernier une vidéo dans laquelle il se plaignait de sa détention et accusait la junte de vouloir le briser moralement. « La Ligue nationale pour la démocratie (LND d’Aung San Suu Kyi) a incarcéré et persécuté un moine, a-t-il déclaré dans cette vidéo, et la junte fait la même chose en rendant un moine complètement fou ». Mais ce moine bouddhiste de 53 ans n’en est pas à son premier séjour en prison.
Il avait déjà été condamné en 2003 à 25 ans de prison pour avoir prêché l’extrémisme et distribué des livres interdits. Il avait été libéré en 2012 aux côtés de plusieurs milliers de prisonniers politiques, profitant de l’ouverture politique du pays après la dissolution de la junte un an plus tôt. En 2013 toutefois, bien avant la reprise des exactions de l’armée entre la minorité musulmane Rohingyas, le magazine américain Time l’avait présenté en Une comme le « visage de la terreur bouddhiste ».
Il a ensuite été placé sur la liste noire de Facebook qui en 2018 a fermé son compte jusque-là très suivi en Birmanie. Tout juste un an après les massacres perpétrés par l’armée contre cette minorité. Près de 800 000 Rohingyas ont fui au Bangladesh voisin depuis août 2017, précisément au moment où les plus hautes autorités bouddhistes de Birmanie avaient décidé d’interdire ses prêches pour un an.
Mais à l’issue de cette période il avait à nouveau fréquenté les meetings nationalistes pro-militaires dénonçant la corruption du gouvernement d’Aung San Suu Kyi, jusqu’au coup d’État qui a eu raison d’elle. À 76 ans, elle est aujourd’hui assignée à résidence dans la capitale Naypyidaw et risque, elle, de longues années de prison.
Je considère Ashin Wirathu comme un héros national birman et bien au delà, comme un héros de la lutte internationale contre le sémitisme. Que ce soit dans sa forme judéo-démocratique ou mahométane.
Sans lui, la vermine musulmane aurait déjà transformé la province d’Arakan en émirat djihadiste sous contrôle de la CIA.
Les médias juifs internationaux haïssent cet homme pour cette raison.
Le reportage suivant est assez représentatif de la diabolisation de toute résistance à l’islam conquérant par les démocraties juives.
Peu importe ce qu’ils disent à présent, les rats musulmans ont été déportés au Bangladesh et la Birmanie est désormais libre de tout risque terroriste. Ceci, grâce à la lutte du noble Ashin Wirathu qui a su réveiller la conscience des masses birmanes.
Aujourd’hui, seuls les asiatiques ont démontré une volonté de régler le problème causé par la peste islamique instrumentalisée par les juifs de Washington. Les Chinois et les Birmans ont utilisé une poigne de fer avec ces bêtes sauvages, le seul langage qu’ils comprennent.
La voie de la paix passe par le nettoyage ethnique intégral, c’est une vérité de sagesse. Il suffit d’écouter sa voie intérieure.
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