Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Juillet 2020
Bonne nouvelle, la démocratie est en recul en Russie.
La Russie a adopté la vaste révision constitutionnelle autorisant Vladimir Poutine à se maintenir au Kremlin jusqu’en 2036, un référendum dénoncé par l’opposition qui y voit une manœuvre pour perpétuer sa mainmise sur le pays.
Les Russes ont validé à 74,1 % ce bloc d’amendements qui, outre la question des mandats du président en exercice, introduisent aussi ses principes conservateurs dans la Constitution, selon des résultats portant sur près de 30 % des bureaux de vote répartis sur l’immense territoire russe et diffusés mercredi par la Commission électorale centrale. La participation tournait, quant à elle, autour de 65 %.
Le doute n’a jamais pesé quant à l’issue du scrutin : la réforme a été approuvée par le législateur en début d’année et le nouveau texte de la Constitution est déjà en vente dans les librairies.
Vladimir Poutine avait, pour sa part, demandé mardi aux Russes de garantir « la stabilité, la sécurité et la prospérité » de la Russie, qu’il se targue d’avoir sortie du chaos post-soviétique. Le scrutin, prévu à l’origine pour avril, a été repoussé à cause de la pandémie de Covid-19. Pour éviter une trop forte affluence dans les bureaux de vote, il s’est déroulé sur une semaine et les électeurs devaient se munir de masques de protection et de gants.
Amendement le plus controversé : celui accordant à Vladimir Poutine l’option de deux mandats supplémentaires à l’issue de l’actuel en 2024. Une nécessité selon lui, car la classe politique ne doit pas se perdre dans « une quête de successeurs potentiels ».
Ce changement lui permettrait de rester au Kremlin jusqu’en 2036, l’année de ses 84 ans. D’autres amendements renforcent certaines prérogatives présidentielles.
La révision introduit aussi dans la Constitution des principes conservateurs chers au président – foi en Dieu, mariage réservé aux hétérosexuels, enseignement patriotique -, ainsi que des garanties sociales, comme l’indexation des retraites.
C’est probablement le dernier point – la lutte au plus haut niveau contre le Sida pédo-LGBT – qui fait le plus enrager la presse juive occidentale. Ces médias juifs sont peuplés de fiottes à un niveau que vous ne soupçonnez même pas.
Rien que pour ce seul point, cette constitution est une excellente constitution.
Vladimir Poutine n’est pas stupide, il sait d’expérience que les juifs avaient l’intention d’exploiter la fin de son mandat actuel pour semer l’anarchie dans le pays en faisant miroiter la lune à tous les opportunistes assez idiots pour leur faire confiance. Désormais, Poutine peut désigner quand il veut son successeur et ce sera sûrement par surprise, pour devancer ses ennemis. Ce sera aussi, sans aucun doute, un homme formé par le FSB.
La Russie est un pays qui a été dirigé de tous temps par ses services secrets, qu’il s’agisse de l’Okhrana sous le Tsar, de la Tchéka/GPU/NKVD/KGB sous l’ère soviétique ou le FSB sous Poutine. Et c’est très bien ainsi.
La pire forme de gouvernement imaginable est une démocratie divisée en cliques, factions et partis qui épuisent le pays jusqu’à la guerre civile. C’est-à-dire ce que nous avons actuellement en Europe. Un état autoritaire encadré par des officiers politiques est bien préférable.
Hélas, Poutine n’a pas voulu purger la juiverie de Russie et ses décisions récentes, notamment en matière d’immigration, sont très mauvaises. Beaucoup reste donc à accomplir dans ce pays. Mon instinct me dit que le prochain homme à poigne en Russie ne sera pas aussi bienveillant à l’égard de ces juifs.
Mais encore une fois, le plus important est d’enterrer la démocratie. Peu importe comment.
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