Captain Harlock
Démocratie Participative
14 décembre 2019
Coloniser la Russie reste un projet d’avenir
Les Natacha ne font pas d’enfants.
Nouveau déclin naturel record de la population de la Russie pour la 11ème année consécutive alors que la crise démographique du pays ne montre aucun signe de relâchement, selon le site Web d’information de RBC, vendredi.
La population totale de la Russie s’élevait à 146,7 millions d’habitants en janvier-septembre 2019, selon un rapport publié la semaine dernière par le Service national des statistiques, M. Rosstat. Alors que les flux migratoires avaient compensé le déclin naturel de la population au cours des années précédentes, en 2018, la population totale de la Russie a chuté pour la première fois en dix ans alors que le nombre de migrants atteignait des niveaux records.
Depuis 2014, une partie des flux étaient composés d’Ukrainiens russophones fuyant l’Ukraine.
Au cours des 10 premiers mois de cette année, le nombre de décès a dépassé celui des naissances vivantes de 259 600, RBC a cité les données de Rosstat. Il s’agit du plus fort déclin naturel de la population depuis 2008, alors que le nombre de décès dépassait celui des naissances de 362 000.
« Rien ne changera avant la fin de l’année,[et] la population de la Russie diminuera« , RBC a cité Olga Chudinovskykh, professeure au département d’économie de l’Université d’État de Moscou, qui a déclaré.
Les Nations Unies ont prédit que la population de la Russie pourrait diminuer de moitié pour atteindre moins de 84 millions de personnes d’ici 2100.
Entre-temps, les autorités russes ont déclaré qu’elles s’attendaient à ce que la population russe reprenne sa croissance naturelle en 2023-2024.
L’an dernier, le président Vladimir Poutine s’est engagé à allouer 8,6 milliards de dollars à des programmes, notamment des subventions hypothécaires et des versements aux familles pour encourager les Russes à avoir plus d’enfants. Son gouvernement envisage également d’attirer des migrants des pays russophones au cours des prochaines années pour compenser le déclin démographique du pays.
« Ce trou démographique dont le président lui-même et d’autres dirigeants du secteur social ont parlé à maintes reprises est à son apogée « , a déclaré vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitry Peskov.
« Migrants de pays russophones » semble davantage faire allusion aux culs noirs du Caucase ou de l’Asie Centrale qu’aux diasporas russes des ex-républiques soviétiques.
Un autre phénomène, trop sous-estimé dans nos milieux, est la progression effrayante du nombre de mahométans en Russie.
Environ 30 % de la population russe pratiquera l’islam au cours des 15 prochaines années, a prédit le grand mufti russe en citant les tendances démographiques.
Les régions à majorité musulmane de Russie, y compris les républiques du Caucase du Nord et la république du Tatarstan, sont connues pour avoir les taux de natalité les plus élevés du pays, reflétant des tendances similaires dans le monde. Selon diverses estimations, la population musulmane actuelle en Russie se situerait entre 14 et 20 millions de personnes, soit entre 10 et 14 % de la population totale de la Russie, qui s’élève à 146,8 millions en 2018.
« Selon les experts, la population[musulmane] russe atteindra 30 % en une décennie et demie « , a déclaré Ravil Gainutdin, président du Conseil des Muftis, un groupe religieux représentant la communauté musulmane russe.
L’évolution démographique signifie que des « douzaines » de nouvelles mosquées devront être construites dans les plus grandes villes de Russie, a déclaré M. Gainutdin lors d’un forum organisé par la Douma d’Etat ce lundi.
L’archiprêtre Dmitri Smirnov, un fonctionnaire de l’Église orthodoxe russe, était d’accord avec les prévisions de Gainutdin et prédisait « qu’il n’y aurait plus de Russes en 2050 ».
« Il est trop tard », a-t-il déclaré à la station de radio Govorit Moskva lorsqu’on lui a demandé si la tendance démographique pouvait être inversée.
Vladimir a l’air assez à l’aise avec l’idée.
D’ailleurs, les prières de rue parisiennes font bien pâle figure à côté de celles qui ont lieu à Moscou.
Aussi surprenant que ça paraisse, notre république laïcarde est plus à droite que la Russie poutinienne sur le sujet. Officiellement en tout cas.
En Russie, rien n’est trop beau pour la secte du Bédouin.
Je crois que si les autorités russes le pouvaient, elles mettraient des cuvettes en or massif dans les chiottes du dernier adorateur d’Allah du pays.
Sans être atteinte du SIDA dans les mêmes proportions que nos (((démocraties))), la Russie est très avancée sur le chemin de la mort raciale et le cosmopolitisme « traditionnaliste » poutinien revient à donner de l’aspirine à un séropositif à l’agonie.
Les Russes ont leur excuse, tout comme nos politiciens, pour expliquer que chez eux, tout est différent et que leurs bougnoules sont des bougnoules de première classe, « qui consomment de l’alcool et tout ».
Il suffit qu’un imam d’importance donne les consignes pour que ces citoyens exemplaires se transforment en égorgeurs fanatisés.
En tout cas, peu importe le pays, les états blancs sont en pleine déroute démographique.
Et si on parlait de dénatalité non-blanche
Booster la démographie blanche est une chose mais cela ne sert à rien tant qu’on ne s’occupe pas de faire baisser la natalité non-blanche.
Ce chantier-là est crucial et personne n’en parle.
En l’état actuel, une Prix Nobel de la paix d’un obscur pays asiatique est plus en phase avec nos propres conceptions sur le sujet qu’aucun dirigeant du monde blanc.
Je veux parler de la bouddhiste radicale Aung San Suu Kyi qui fait passer Poutine pour un sous-Sarközy islamolâtre.
Sa politique me convient.
Le nettoyage par le vide.