Royaume-Uni : une militante Black Lives Matter qui voulait organiser la ségrégation territoriale des Blancs en Angleterre reçoit une balle en pleine tête

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2021

Confortablement installée dans un pays blanc, Sasha Johnson appelait à une violente insurrection raciale après la mort accidentelle du dealer et acteur porno George Floyd.

Bonne nuit, princesse.

BBC :

Sasha Johnson, éminente militante de Black Lives Matter, est dans un état critique après avoir été blessée par balle, selon son parti politique.

Le parti Taking the Initiative a déclaré qu’elle était traitée en soins intensifs après avoir reçu une balle dans la tête aux premières heures du dimanche matin.

La BBC croit savoir que l’incident s’est produit dans le sud de Londres.

La police métropolitaine a déclaré qu’une femme de 27 ans avait été abattue peu avant 03h00 lors d’un rassemblement à Southwark.

La police n’a pas confirmé l’identité de la femme.

Les officiers ont déclaré que la femme a été emmenée dans un hôpital du sud de Londres avec des blessures potentiellement mortelles et ont lancé un appel à témoins. Sa famille a été informée.

La police a déclaré qu’à ce stade, rien ne permettait de penser qu’il s’agissait d’un tir ciblé ou que la femme avait reçu des menaces crédibles à son encontre avant l’incident.

Les détectives du Met’s Specialist Crime Command ont mené des enquêtes sur la scène de crime à Consort Road et dans les environs, et poursuivent un certain nombre de pistes.

On pense que la fusillade a eu lieu près d’une maison où se déroulait une fête et qu’un certain nombre de personnes se trouvaient dans le secteur, selon un communiqué de la police métropolitaine.

C’est une embrouille qui a dégénéré lors d’une soirée.

Rien d’extraordinaire : des nègres, des flingues et de l’alcool, le résultat est inévitable.

Cette femme noire détaillait toute une série de mesures raciales à adopter pour permettre à la race noire de vivre du labeur des Blancs qu’elle voulait réduire en esclavage.

Elle voulait par exemple mettre sur une liste publique tous les hommes blancs du Royaume-Uni qui étaient jugés politiquement hostiles à l’avènement de la suprématie noire et ce, sur une simple accusation.

The Sun :

Johnson, 26 ans, travailleuse pour la jeunesse et propriétaire d’un café, a attiré l’attention au cours de l’été en tant que figure de proue d’un certain nombre de manifestations BLM, et a depuis contribué à la fondation du parti Taking the Initiative (TTIP).

Elle fait maintenant partie du comité exécutif du parti en tant que membre chargé de l’activisme.

S’exprimant au MailOnline sur les propositions du parti, Mme Johnson a déclaré qu’une liste des infractions raciales aurait pour but de protéger les groupes minoritaires contre les abus racistes et autres comportements discriminatoires.

« C’est similaire au registre des délinquants sexuels », a-t-elle déclaré.

« Si vous deviez être abusif sur le plan racial envers quelqu’un, [le registre] remettrait en question le fait que quelqu’un soit suffisamment apte à occuper un emploi particulier où ses préjugés pourraient influencer la vie d’une autre personne. »

Le manifeste du TTIP ne fournit pas une liste complète des infractions qui entraîneraient l’inscription d’une personne sur le registre, mais il indique que toute personne accusée ou même inculpée de « tout crime lié à la race » serait ajoutée.

Johnson a déclaré que le fait de commettre une micro-agression, définie comme un « cas de discrimination indirecte, subtile ou involontaire » à l’encontre d’un membre d’un groupe minoritaire, suffirait à faire inscrire une personne sur le registre.

« Beaucoup de racisme se produit au travail et dans les lieux d’enseignement de manière micro-agressive », a-t-elle déclaré.

Cette suprémaciste noire voulait aussi que les Blancs soient interdits de résidence sur des pans entiers du territoire britannique.

Selon elle, le fait d’être inscrit sur la liste empêcherait les gens de travailler dans « certains domaines » ou même de vivre dans certaines régions.

« Si vous vivez dans un quartier à majorité de couleur, vous ne devriez pas y résider car vous représentez un risque pour ces personnes« , a-t-elle déclaré.

« Tout comme si un délinquant sexuel vivait à côté d’une école, il serait un risque pour ces enfants ».

Elle voulait également que les noirs vivent dans une sorte de paradis fiscal indexé sur leur appartenance raciale, expliquant qu’il s’agissait de « réparations » dues par les Britanniques aux noirs, même si historiquement les noirs n’ont jamais vécu au Royaume-Uni.

Elle a ensuite demandé que des réparations soient accordées aux Noirs de Grande-Bretagne par le biais d’allègements fiscaux, et s’est également déclarée favorable au démantèlement des services de police, bien que le TTIP ait exclu ce dernier point.

Ouest-France résume aujourd’hui le parcours de cette noire comme ceci :

Membre du TTIP, décrit comme « le premier parti politique britannique dirigé par des Noirs », Sasha Johnson s’est faite connaître au Royaume-Uni, en 2020, lors des manifestations de BLM. Organisatrice active de marches, elle a été remarquée pour sa façon de s’adresser aux foules. La jeune femme est décrite par ses pairs comme quelqu’un possédant « une immense passion pour la mise en œuvre du changement et de la justice et soutient activement l’éradication des injustices dans la société en participant et en menant des manifestations. »

L’éradication des « injustices » est une autre formule pour parler de l’éradication des Blancs.

Mais à la place de cette chasse au Blanc, cette suprémaciste noire a reçu une décharge de plomb dans la tête qui lui a broyé la cervelle.

Sa carrière s’arrête donc là.

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