Captain Harlock
Démocratie Participative
27 juin 2021
Les masques ne sont pas à la veille d’être enlevés au Royaume-Uni.
Reuters :
Le Royaume-Uni a enregistré samedi 18 270 nouvelles infections à coronavirus, soit la plus forte hausse quotidienne depuis le 5 février, et 23 décès, selon les données officielles.
Le nombre de cas positifs quotidiens augmente en Grande-Bretagne depuis un mois, mais un programme de vaccination rapide semble avoir largement rompu le lien entre les infections et les décès, le nombre de décès quotidiens restant autour de 20 ou moins.
Vendredi, 15 810 nouveaux cas ont été signalés.
Les données ont également montré que 83,7 % des adultes avaient reçu une première dose du vaccin et 61,2 % en avaient reçu deux.
Le problème n’est pas la létalité du virus : il n’a jamais été qu’une grosse grippe qui tue des octogénaires déjà malades.
Le problème, c’est que ce faux vaccin n’empêche pas les souches virales les plus dangereuses de circuler contrairement à ce qui se serait passer si l’on avait laissé la nature opérer son cycle.
J’en ai parlé cette semaine, les conditions pour la réédition du scénario de la maladie de Marek sont réunies intentionnellement par Big Pharma et Davos.
Toutefois, comme la vaccination n’empêche pas l’infection par le virus, la maladie de Marek reste transmissible des élevages vaccinés à d’autres oiseaux, y compris la population d’oiseaux sauvages. Le premier vaccin contre la maladie de Marek a été introduit en 1970. La maladie provoquerait une légère paralysie, les seules lésions identifiables se situant dans le tissu neural. La mortalité des poulets infectés par la maladie de Marek était assez faible. Des décennies après l’introduction du premier vaccin, les souches actuelles du virus Marek provoquent la formation de lymphomes sur tout le corps du poulet et les taux de mortalité ont atteint 100 % chez les poulets non vaccinés.
Le vaccin contre la maladie de Marek est un vaccin à fuite, ce qui signifie que seuls les symptômes de la maladie sont prévenus. L’infection de l’hôte et la transmission du virus ne sont pas inhibées par le vaccin. Cela contraste avec la plupart des autres vaccins, qui empêchent l’infection de l’hôte. Dans des conditions normales, les souches hautement virulentes du virus ne sont pas sélectionnées. Une souche très virulente tuerait l’hôte avant que le virus ait la possibilité de se transmettre à d’autres hôtes potentiels et de se répliquer. Ainsi, des souches moins virulentes sont sélectionnées. Ces souches sont suffisamment virulentes pour induire des symptômes mais pas assez pour tuer l’hôte, permettant ainsi une transmission ultérieure.
Cependant, la fuite du vaccin modifie cette pression évolutive et permet l’évolution de souches hautement virulentes. L’incapacité du vaccin à empêcher l’infection et la transmission permet la propagation de souches hautement virulentes parmi les poulets vaccinés. L’aptitude des souches les plus virulentes est accrue par le vaccin.
C’est ce vers quoi nous allons.
Si le processus va à son terme, les non-vaccinés seront en permanence menacés par un virus à très forte létalité. Il faudra un ou deux rappels tous les ans pour échapper à la mort. Si le système le veut bien.
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