La Rédaction
Démocratie Participative
26 août 2024
Les Blancs ne sont pas très populaires au Royaume-Uni.
Le Telegraph révèle que les enseignants apprendront à remettre en question la « blanchité » dans leurs cours.
Des directives ont été élaborées pour les cours de formation des enseignants, afin de s’assurer que les futurs éducateurs sont « antiracistes » et préparés à mettre en œuvre cette démarche dans les classes.
« Antiraciste » est un nom de code pour « antiblanc ».
Les enseignants recevront des instructions sur la manière de « remettre en cause la centralité de la blanchité » dans les écoles, selon un document sur les meilleures pratiques.
Dans la théorie critique de la race, le terme « blanchité » fait référence aux attitudes sociales considérées comme normales par les Blancs, et les orientations suggèrent que des concepts tels que la « méritocratie », l’« objectivité » et l’« individualisme » devraient être remis en question.
Les masses marron étant un ramassis grégaire de fainéants à 80 points de QI, il est assez logique que le mérite, l’objectivité et les libertés personnelles soient considérées par elles comme une agression raciste.
Ce qui est moins logique, c’est que l’État britannique décide d’entrer en guerre contre sa population indigène pour leur faire plaisir.
Les documents précisent que les enseignants en formation – s’ils sont blancs – doivent également être aidés à développer et à projeter une « identité raciale blanche positive ».
Ça sonne beaucoup mieux à l’oreille que ce dont il s’agit réellement.
Dans un système qui se donne pour but de faire disparaître les Blancs de leur propre pays, il n’y a pas de place pour une « identité raciale blanche » qui soit « positive ».
Tout repose sur la désignation de l’homme blanc comme l’ennemi.
Une « identité raciale blanche positive » n’est rien d’autre qu’une identité d’esclave consentant.
Des orientations distinctes ont été élaborées pour l’Écosse et l’Angleterre, et les deux documents ont été approuvés par les universités proposant une formation aux enseignants, notamment Edinburgh, Glasgow et Newcastle, ainsi que par le syndicat de l’éducation nationale.
Les documents affirment que le fait d’encourager une formation « antiraciste » des enseignants contribuera à maintenir la diversité du personnel enseignant et à combler l’écart de niveau entre les élèves blancs et non blancs.
Ça va marcher.
Le « cadre antiraciste » écossais, élaboré par le Conseil écossais des doyens de l’éducation et approuvé par dix universités, affirme que les changements apportés à la manière dont les enseignants sont formés « remettront en cause la centralité de la blancheur et permettront d’autres façons de voir, de penser et d’agir ».
Ce processus peut impliquer davantage de références au colonialisme et au racisme dans les cours et une compréhension de « l’impact de la blanchité ».
Cela aidera les enseignants à projeter une « identité raciale blanche fondée sur la réalité et le principe d’alliance » dans la classe, sans « fausses notions de supériorité ».
Les personnes qui forment les enseignants ont été invitées à lutter pour la justice raciale « par le biais de l’activisme » et des syndicats d’enseignants, selon le document d’orientation.
Un guide antiraciste parallèle pour la formation des enseignants, commandé par le syndicat de l’éducation nationale en 2023 et financé par l’université de Newcastle, a été élaboré pour l’Angleterre.
Il stipule que « les enseignants travaillant avec tous les groupes d’âge » sont « essentiels au travail de lutte contre le racisme » et renvoie les tuteurs à la littérature académique sur la manière de traiter la « blancheur ».
Le terme « blanc » est mentionné près de 400 fois dans le guide, tandis que le terme « blanchité » apparaît 121 fois.
Un porte-parole de l’université de Newcastle a déclaré : « Comme nous l’avons vu lors des récents troubles au Royaume-Uni, le racisme est omniprésent dans notre société. La façon dont nous formons les enseignants actuels et futurs jouera un rôle important pour briser ce cycle et le cadre a été développé pour fournir des conseils pratiques à cet égard.
Le racisme antiblanc est littéralement le seul racisme systémique en Europe.
Qu’est-ce que ces démocraties multiculturelles feront lorsqu’elles n’auront plus de Blancs pour remplir les aides sociales dont dépendent ces métèques du tiers-monde pour vivre ?
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