Captain Harlock
Démocratie Participative
17 août 2018
Depuis des mois, la juiverie est engagée dans une véritable entreprise d’extorsion contre la gauche britannique. Corbyn, allié à divers groupes musulmans antisionistes internationaux, avait excité la haine de ces hébreux à un niveau rarement atteint.
I24 News :
Le leader du parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn, devrait adopter l’ensemble des termes de la définition de l’antisémitisme élaborée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), après avoir refusé d’en admettre certains éléments, ont rapporté jeudi les médias britanniques.
Le Parlement européen a adopté l’année dernière une résolution visant à définir les cadres de la lutte contre l’antisémitisme, prenant appui sur une définition proposée par l’IHRA, incluant onze exemples contemporains d’antisémitisme dans la vie publique, les médias, les écoles, les lieux de travail et dans la sphère religieuse.
Le volte-face du Labour, qui devrait aboutir à une annonce officielle lors de sa convention annuelle le mois prochain, constituerait un changement majeur pour le parti, en dispute avec la communauté juive notamment après avoir rejeté quatre exemples d’antisémitisme énoncés par l’IHRA.
Selon le Labour, l’un d’eux, qui évoque « la négation du peuple juif à son droit à l’autodétermination, par exemple en affirmant que l’Etat d’Israël est un état raciste« , met en péril le droit aux critiques envers Israël.
L’adoption de cette clause, selon les membres du Parti controversée, sera subordonnée à des mesures assurant la protection de la liberté d’expression.
D’après les médias, les trois autres exemples d’antisémitisme rapporté par l’IHRA ont pour leur part finalement été agréés par le Labour, notamment le fait d' »accuser les citoyens juifs d’être plus loyaux envers Israël, ou aux priorités présumées des Juifs dans le monde entier sur les intérêts de leurs nations propres« , ainsi que celui visant à « comparer, par dessins, la politique israélienne contemporaine aux actes nazis ».
Mardi, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et Jeremy Corbyn se sont affrontés par tweets interposés sur la présence de ce dernier à une cérémonie supposée rendre hommage au commando palestinien « Septembre noir ».
M. Netanyahou a estimé que Jeremy Corbyn méritait une « condamnation sans équivoque » pour avoir déposé une couronne près d’une plaque dédiée aux membres du commando qui a tué 11 athlètes israéliens aux Jeux Olympiques de Munich en 1972.
Le Premier ministre israélien s’exprimait après la publication samedi par le tabloïd Daily Mail de photos montrant Jeremy Corbyn tenant une couronne de fleurs lors d’une cérémonie à Tunis en 2014.
Le leader de la principale formation d’opposition britannique a répliqué sur le réseau social, dénonçant de « fausses » accusations.
M. Corbyn affirme avoir participé alors, à une cérémonie en l’honneur des 47 personnes tuées lors d’un raid isréalien sur les bureaux de l’OLP à Tunis en 1985.
Cependant, ce dernier a récemment reconnu que son parti avait « un vrai problème » avec l’antisémitisme, un sujet qui fait polémique depuis des mois.
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Quand une nation tolère les juifs en son sein, elle finit par être dévorée par eux.
Les juifs ont organisé le siège du Parti Travailliste britannique et mené une campagne mondiale de harcèlement jusqu’à la capitulation complète.
C’est précisément cette campagne et ses modalités qui rendent les exigences de la juiverie encore plus outrancières.
Combattu par le réseau juif mondial, Corbyn se voit intimer l’ordre de nier l’existence de ce réseau par ce même réseau. Fondé sur le racisme juif le plus agressif, Corbyn se voit sommer par ce réseau de nier l’existence même du racisme juif. La juiverie va enfin jusqu’à exiger et obtenir de Corbyn qu’il nie l’existence d’une cinquième colonne juive agissant au profit d’Israël au moment même où Bibi lance de féroces attaques depuis Tel Aviv contre lui.
Le culot de ces juifs est vraiment sans limite.
Il va sans dire que l’opposition de Corbyn aux juifs ne s’explique que par l’influence grandissante des franges radicales de la population musulmane qui infiltrent progressivement le Labour. Du moins, dès lors que le sujet des droits de propriété en Palestine est posé sur la table.
Sur le reste, à savoir l’invasion du pays par les masses du tiers-monde, juifs et musulmans sont sur la même position.
Finasser avec les juifs : mauvaise idée
Ce qu’il faut retenir de cet épisode, c’est que l’antisionisme rouge, de par son antiracisme et son antifascisme intrinsèques, est neutralisé dès le départ par le fait qu’il paraphe cette histoire de juifs transformés en savon de Marseille.
Avec cette histoire, les juifs peuvent extorquer n’importe quoi à n’importe qui d’assez idiot pour y accorder la moindre importance. Cette martingale est la clef de la tyrannie juive internationale. Les juifs entendent bien continuer de toucher les dividendes de la guerre criminelle que ces assassins ont mené entre 1939 et 1945 en Europe, contre l’Europe.
C’est d’ailleurs le point de départ de cette confrontation : « l’alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste », un machin dévoué à la religion de l’indicible, qui exige de Corbyn qu’il satisfasse toutes ses exigences.
Ce n’est pas demain la veille qu’un gauchiste blanc pourra faire culpabiliser un juif au nom de l’antiracisme. Dans ce domaine, l’élève marxiste ne dépassera jamais le maître juif.
« Et là, ces gauchistes m’ont déclaré que l’antiracisme n’était pas une marque déposée »
Il est inutile de finasser avec les juifs, de tenter de les déborder par la gauche. Si vous essayez, vous terminez comme Corbyn a déclaré que seuls les juifs sont incapables d’être racistes quand, en pratique, ils sont les seuls à l’être aussi férocement. Et si le lundi vous êtiez « pour la paix en Palestine », le vendredi vous signez devant les caméras le droit des juifs à annexer ce qu’ils veulent et à écraser autant d’arabes qu’il le faut pour y parvenir.
Le lundi suivant, vous êtes finalement autorisé à reprendre vos activités, c’est-à-dire dégueuler sur le racisme blanc dans les rues de Londres.
Pour vaincre le juif, il faut détruire sa politique et sa politique se résume à un seul axe : la triangulation grâce à la balkanisation raciale des sociétés blanches. Pour mettre en oeuvre cette balkanisation, il détruit l’instinct de conservation blanc par l’arme psychologique de la culpabilisation que diffuse sa presse. La clef de voûte de cette culpabilisation est le gazage de 19 millions de juifs entre 1923 et 1967 par les Nazis.
Ce gauchisme antisioniste n’est donc qu’une perte de temps. Pire, un prolongement de l’esprit anti-aryen sémitique.
Il est temps d’arrêter de tourner autour du pot.