Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 septembre 2017
Ces discussions au sujet de « déséquilibré » et de « radicalisé » reviennent à tenter de résoudre l’équation de l’oeuf et de la poule.
Poussée sur les voies du RER à Rosny-sous-Bois près de Paris, elle avait été rattrapée in extremis par une amie : le procès de son agresseur présumé, souffrant de troubles psychiatriques et radicalisé en prison, s’est ouvert mardi devant les assises de Seine-Saint-Denis.
Jugé sur deux jours d’audience pour tentative d’homicide en récidive, l’accusé de 39 ans, au crâne dégarni et à la barbe fournie, est apparu éteint, dans le box vitré de la cour d’assises où il est gardé par trois policiers et trois infirmiers psychiatriques en blouse blanche.
En détention provisoire depuis février 2015, l’homme, qui a de lourds antécédents psychiatriques mais a été jugé accessible à une sanction pénale, est actuellement détenu à « l’unité des malades difficiles de l’hôpital de Villejuif » (Val-de-Marne), a précisé la présidente de la cour.
C’est d’une voix pâteuse que ce Français d’origine tunisienne, manifestement assommé par les médicaments, a décliné son identité. Est-il en proie à une crise de folie quand, le 2 février 2015 au matin, il a poussé sur les voies une voyageuse qui attendait le RER pour se rendre à son travail à Paris?
Sans l’intervention d’une amie, qui l’a empêchée de basculer complètement à la renverse, la victime serait passée sous le train, qui entrait alors en gare à une vitesse d’environ 65 km/h. Cette amie et le conducteur du RER, témoins clés de la scène, seront entendus dans l’après-midi.
Identifié par des témoins, Mahmoude Zaier avait été interpellé trois jours plus tard à Rosny-sous-Bois, où il résidait. En garde à vue, il avait expliqué avoir voulu pousser la femme – et non pas la tuer – parce qu’il avait l’impression qu’elle se moquait de lui.
Cette histoire de « troubles psychiatriques » n’a jamais tenu la route au sens où nous, Européens, l’entendons. Bien sûr, tous ces activistes djihadistes sont des cas psychiatriques au regard des standards occidentaux. Mais cela ne permet pas de comprendre le phénomène.
Les maghrébins et les arabes en général sont tous des tarés, essentiellement en raison de la consanguinité massive dans laquelle ils se complaisent. Près de 40% des algériens couchent avec leurs cousines et font des enfants avec. C’est plus de 50% au Pakistan ou en Afghanistan. Une pratique sacralisée depuis plus de 13 siècles, si ce n’est davantage.
Les conséquences, en termes d’hygiène raciale, sont catastrophiques. Chercher à distinguer l’islamisme du champ psychiatrique est une stupidité qui trouve son origine dans l’idée absurde que nos standards peuvent s’appliquer à des bougnoules sortis de l’Atlas ou des Aurès. L’islam n’est autre que la superstructure de cette réalité anthropologique.
Le seul intérêt pratique d’un tel déni, c’est bien sûr de dédouaner cette vermine de ses responsabilités. Ce que recherche évidemment la propagande communiste.