Robert Hébras, le dernier menteur antifa d’Oradour, est finalement mort

La rédaction
Démocratie Participative
12 février 2023

 

Le vieux menteur Hébras est mort.

C’était le dernier fantoche qu’agitait le régime juif autour du mythe d’Oradour, généralement associé à l’autre, bien plus énorme, des chambres à gaz.

Les réactions des apparatchiks suffisent à mesurer à quel point l’affaire d’Oradour a été utilisée par les gaullo-communistes pour légitimer leur pouvoir, avec ce qui a suivi – l’invasion du tiers-monde, la destruction de la famille et de toutes les structures sociales.

La photo de Macron présente Hébras entouré de jeunes Noirs, Arabes et même Asiatiques déambulant dans Oradour, finalement libérée des Blancs.

Oradour est un mensonge de la propagande de guerre communiste repris ensuite par l’ensemble du régime en 1945.

La région d’Oradour était contrôlée par le Parti communiste et Oradour était une base logistique des partisans rouges, ce qui a été longtemps nié par les communistes pour faire croire que les Allemands avaient agi gratuitement contre des civils désarmés.

Les mensonges de la propagande rouge étaient la règle. Le Parti communiste osait affirmer que les Allemands avaient fusillé « 75,000 » d’entre eux, un bobard presque aussi énorme que les 6 millions.

On ne peut pas comprendre l’action des Waffen SS sans étudier le contexte général de l’été 1944. Les bandes armées communistes aux ordres de Moscou préparaient activement le coup d’état révolutionnaire qui devait suivre le départ des troupes allemandes de France. Les actions armées des partisans communistes contre les Allemands en retraite devaient servir de signal aux commissaires politiques de Staline pour mettre en coupe réglée tous les territoires subitement privés d’autorité constituée.

Ce schéma a été appliqué partout en Europe de l’Est après le départ des troupes allemandes, que ce soit en Pologne, en Roumanie, en Hongrie, etc..

À Oradour, comme ailleurs, les égorgeurs rouges préparaient le grand soir révolutionnaire qui devait accoucher de la future république soviétique de France. La tension montait progressivement dans l’attente du coup de force général qui devait amener à la constitution d’un pouvoir bolchevique révolutionnaire sur le modèle de la révolution d’Octobre 1918 en Russie. L’impatience des marxistes approchait de son point d’ébullition.

En capturant des soldats allemands qui remontaient vers la Normandie, les rouges locaux ont déclenché contre eux une opération de ratissage allemande visant à la récupération des prisonniers. Aujourd’hui, on parlerait « d’exfiltration ».

Les Allemands ont procédé comme toutes les armées régulières, comme le fera d’ailleurs l’armée française en Algérie : encercler le village suspecté d’héberger des bandes armées irrégulières, séparer les hommes en âge de combattre du reste de la population, rechercher des armes et des indices sur la localisation des soldats allemands capturés. Au moindre signe d’une attaque organisée, les soldats allemands doivent passer les hommes parqués ensemble par les armes pour les empêcher de rejoindre les assaillants. Les partisans rouges ne portant pas d’uniforme, un civil d’allure inoffensive peut en une minute s’avérer être un membre de l’insurrection communiste.

Ce procédé de contre-insurrection est dur, mais classique.

Ce qui a été instrumentalisé par les communistes, c’est la mort des femmes et des enfants dans l’église. Officiellement, les « barbares nazis » les y ont brûlé vifs dans une sorte de fièvre sauvage nationale-socialiste.

La découverte de Vincent Reynouard, c’est que l’église servait de cache d’explosifs pour les maquis rouges de la région. Pour une raison inexpliquée à ce jour, cette cache a sauté durant l’opération des Waffen SS alors que les femmes et les enfants étaient retenus dans l’église.

L’explosion, énorme, a fait croire aux soldats allemands déployés dans le village qu’une attaque générale des maquisards rouges était lancée contre eux. Conformément à la méthode en usage contre la guérilla marxiste, ils ont immédiatement procédé à l’exécution des hommes parmi lesquels le jeune Hebras se trouvait.

Vincent Reynouard est devenu un ennemi du régime le jour où il a révélé ce secret d’état en démontrant les impossibilités physiques de la version officielle sur laquelle le régime gaullo-communiste a été construit en 1945.

Il a récemment publié une édition augmentée de son livre sur les mensonges de l’affaire d’Oradour-sur-Glane.

Vous pouvez le commander ici.

Il est assez remarquable de relever que le vieux menteur Hébras est mort alors qu’une audition de Vincent se déroulait la veille en Écosse et qu’elle n’a pas pris le chemin qu’en espère le régime macroniste.

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