Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Juin 2020
« Sitôt qu’on portait le scalpel dans un abcès de cette sorte, on découvrait, comme un ver dans un corps en putréfaction, un petit youtre tout ébloui par cette lumière subite. »
Adolf Hitler, Mein Kampf
Lorsque des ferments d’anarchie et de déchéance sociale se manifestent, il ne faut jamais chercher très longtemps pour dénicher le juif.
L’insurrection raciale antiblanche menée par Assa Traoré avec l’appui des médias juifs vient de trouver son explication.
Causeur :
L’histoire est désormais connue de la France entière. Le 19 juillet 2016, un jeune homme nommé Adama Traoré décède à la gendarmerie de Persan, Val d’Oise, à la suite d’un contrôle d’identité mouvementé, le jour de son vingt-quatrième anniversaire. Figure de proue du comité Vérité pour Adama, sa demi-sœur Assa Traoré se bat depuis bientôt quatre ans pour que les gendarmes ayant procédé à son interpellation soient mis en examen, ce que les juges d’instruction n’ont pas considéré comme justifié.
Assa Traoré répète souvent qu’elle a appris le décès d’Adama alors qu’elle se trouvait en Croatie pour « déplacement professionnel ». C’est exact, mais à préciser. En tant qu’éducatrice spécialisée, elle encadrait avec une collègue un groupe de sept adolescents en voyage à Rabac, une station balnéaire de la côte Adriatique. Une semaine de vacances offerte à des jeunes défavorisés, ce qui cadre mal, bien sûr, avec le discours martelé par le comité Adama sur les populations racisées-abandonnées-persécutées des cités.
Le nom de l’employeur d’Assa Traoré cadre encore plus mal avec ce discours. Il s’agit d’une fondation issue d’un réseau qui venait en aide sous l’occupation à des jeunes ayant de réelles raisons de courir pour échapper aux contrôles d’identité :l’Oeuvre de protection des enfants juifs (Opej). Créée en 1945, l’Opej est désormais un acteur du social avec délégation de service public. Elle s’occupe de tous les enfants en difficulté, sans distinction de confession. Son nom complet est Opej-Baron Edmond de Rothschild, car il bénéficie du soutien généreux de la fondation Rothschild.
Assa Traoré a publié au Seuil en mars 2017 un livre-témoignage écrit avec Elsa Vigoureux, du Nouvel Observateur. À aucun moment elle n’évoque ces détails. Elle « remercie la fondation Opej pour sa compréhension et son soutien », en dernière page, sans développer le sigle. Selon nos informations, ce soutien n’était pas seulement moral. Assa Traoré n’est pas retournée travailler après le décès de son demi-frère. Elle s’est mise en arrêt maladie. Un arrêt qui s’est prolongé, nous a-t-elle précisé, jusqu’en août 2017. Elle est restée salariée de l’Opej, sans solde assure-t-elle, jusqu’en décembre 2019.
La nature exacte de sa maladie ne regarde qu’elle, mais n’importe qui peut facilement vérifier qu’elle a fait preuve durant ces douze mois d’un allant formidable, enchaînant les meetings, les déplacements et les interviews. Elle reçoit Libération pour un portrait publié en septembre 2016. Le 13 octobre suivant, elle répond à Jeune Afrique. Le 5 novembre, porte-voix en main, elle anime un petit cortège place de la République, à Paris. Le 17 novembre, elle se manifeste au conseil municipal de Beaumont-sur-Oise, pour réclamer la vérité. Le 31 décembre, elle met en ligne ses vœux en vidéo sur Médiapart, à l’invitation du site. En janvier 2017, elle tient la vedette dans l’émission La Clique, de Mouloud Achour. En 2018, même énergie : elle parle à Bastamag et Reporterre, elle se déplace en banlieue. Elle fait un entretien croisé avec Angela Davis, publié par la revue Ballast, en janvier 2019. Elle est en Une des Inrocks en avril 2019 et annonce qu’elle relance sa ligne de vêtements, dans la rubrique « Où est le cool ? ». En avril 2019, elle publie un second livre chez Stock, avec l’universitaire Geoffroy de Lagasnerie. Elle termine l’année 2019 comme vedette d’une soirée de soutien réunissant l’écrivain Edouard Louis, l’économiste Thomas Porcher, l’ex-footballeur Vikash Dhorasoo, la chanteuse Camélia Jordana, la militante Rokhaya Diallo, etc.
Tout ceci est-il bien conforme avec le repos que suppose un arrêt-maladie ? La question semble embarrasser au plus haut point l’Opej. « Oui, elle travaillait chez nous, mais nous avons reçu des directives du siège et nous ne devons pas en parler », nous a répondu l’Opej de Sarcelles. Au siège, le directeur général Johan Zittoun, répond que « les salariés sont soumis au secret professionnel le plus strict, ce qui les empêche de divulguer la moindre information concernant [le] personnel ». Il invoque « l’impérieuse nécessité de préserver les travailleurs sociaux afin qu’ils restent concentrés sur leur mission quotidienne ».
Zittoun veut rester discret.
Mais il lui serait tout de même difficile de dissimuler son affreux faciès de vampire juif.
Mission ? Assa Traoré n’aurait-elle pas plutôt bénéficié d’un arrêt de travail complaisamment prolongé ? Les sommes en jeu ne sont pas de celles qui bouleversent les grands équilibres de l’assurance-maladie. Un salarié arrêté n’est pas indemnisé à 100% très longtemps, et une éducatrice spécialisée ne gagne pas des fortunes. Sur le plan juridique, néanmoins, il y a un hiatus. Un salarié arrêté est censé rester chez lui et se reposer. En septembre 2016, la cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation d’un salarié de la RATP qui avait fait campagne pour les municipales à la Courneuve pendant un arrêt maladie.
Sur le plan symbolique, enfin, ce passage de la biographie d’Assa Traoré détonne. Le comité Vérité pour Adama regorge de militants antisionistes dénonçant le racisme structurel de l’État français. Ils affectionnent les raccourcis-chocs, en voici un: leur égérie a bénéficié de la générosité de l’État en question pendant des années, avec le concours des Rothschild. Ils sont partout.
Assa Traoré est littéralement salariée par la banque juive pour recruter des mercenaires nègres en vue de l’insurrection raciale antiblanche qu’elle planifie dans l’ombre.
Cet article paru dans le site « Causeur » de la juive Elisabeth Lévy n’est rien d’autre qu’un rappel à l’ordre formel adressé à l’activiste Assa Traoré suite aux slogans antisémites scandés par ses soutiens lors de la manifestation de samedi dernier, Place de la République.
« Sales juifs », crient des manifestants antiracistes ulcérés par une banderole de #GénérationIdentitaire pour les victimes de racisme antiblancs.
#racismenantiblancs #immigration #remigration #adamatraore #affairetraore #justicepouradama pic.twitter.com/zO4OGJeVtU
— Valeurs actuelles ن (@Valeurs) June 13, 2020
Les juifs entendent se servir de ces nègres comme arme biologique contre le prolétariat blanc sous la bannière de « l’antiracisme ». Mais l’incident de la semaine dernière a corroboré une tendance de fond : ce mouvement est largement influencé par l’antisionisme arabo-musulman.
Une ligne rouge pour les suprémacistes juifs qui financent Traoré.
Certains n’étaient pas venus pour manifester contre le racisme. Ils étaient venus manifester leur antisémitisme. C’est hallucinant de voir encore et toujours ces activistes prendre le chemin obsessionnel de la haine des juifs. Tout ceci est proprement effrayant ! pic.twitter.com/YVL6cXvS5l
— Licra (@_LICRA_) June 13, 2020
Le deal est donc le suivant : soit Traoré rentre dans le rang, prêche la lutte contre l’antisémitisme tout en appelant à la guerre raciale contre les Blancs, soit sa nouvelle vie de diva de banlieue cessera du jour au lendemain.
Cette négresse ne devrait pas mettre longtemps à s’exécuter.
Tout cela n’est qu’un jeu de dupes orchestré par les juifs. Ils financent l’insurrection nègre d’une part et prennent le contrôle de l’opposition au même moment.
?? Ce vendredi à midi, l’@ISSEP_Lyon organisera une conférence à distance. @MarionMarechal échangera avec @GWGoldnadel sur le thème suivant : « Après SOS racisme, le nouveau racisme anti-français ? ».
Nous vous attendons nombreux sur notre page Facebook > https://t.co/Wl8lTuUUSV pic.twitter.com/1E3u9vWBT1— ISSEP (@ISSEP_Lyon) June 18, 2020
Tout ceci évidemment rendu possible grâce à une femme blanche pathologiquement obsédée par l’envie de montrer sa chatte. L’anti-racialiste Marion Auque.
Nous sommes entrés dans une spirale folle et dangereuse. Ne croyez pas que les universités et grandes écoles françaises seront épargnées par ces délires. Depuis longtemps déjà, ces idéologies racialistes ont contaminé l’enseignement supérieur. ➡️ https://t.co/igyYW3qJ2A
— Marion Maréchal (@MarionMarechal) June 13, 2020
Il faudrait être aveugle pour ne pas voir le juif à l’oeuvre.
Je peux vous dire une chose : vous êtes peut-être antisémite mais c’est encore très en deçà du niveau d’antisémitisme nécessaire.