La Rédaction
Démocratie Participative
17 octobre 2024
Le centriste sans ambition Retailleau est un vilain militant des droits de l’homme qui fait barrage au Projet Guyane de Democratie Participative
Retailleau est occupé à se faire une réputation de faux dur auprès des naïfs, hélas très nombreux dans ce pays.
Et ça marche. La gauche fait sa publicité en hurlant à la mort tandis que rien de décisif ne se passe en pratique.
La question migratoire sera au centre du Conseil européen, jeudi à Bruxelles. Outre le pacte Asile et migrations, les Vingt-Sept se pencheront sur « la coopération de l’UE avec les pays tiers de transit et d’origine à travers l’utilisation de tous les leviers européens » selon l’Elysée.
Au fil de ses discours et interventions médiatiques en rafales depuis son arrivée place Beauvau, la stratégie de Bruno Retailleau sur l’immigration est limpide. Il entend imposer un double message et un avertissement : la France doit « reprendre le contrôle » et ne doit « pas être plus attractive que les autres pays européens ». Sa mise en garde ? Les Français ne comprendraient pas qu’on tergiverse encore sur ce tour de vis qu’ils réclament depuis des années. A fortiori depuis que le viol et le meurtre de Philippine, dont est soupçonné un Marocain déjà condamné pour viol et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), ont à nouveau illustré les imbroglios administrativo-judiciaires qui signent, du point de vue du ministre de l’Intérieur, notre impuissance en matière migratoire.
Le ministre de l’Intérieur négocie des accords avec des pays tels que l’Irak, le Kazakhstan ou l’Egypte. L’objectif ? Y renvoyer des étrangers impossibles à expulser dans leur pays d’origine.
C’est tellement absurde.
Depuis des mois maintenant, sinon plus, ici, à Democratie Participative, nous avons fait une proposition de bon sens, la seule possible en fait, dont l’efficacité serait de 100%. Elle ne nécessite aucun « accord » avec des états du tiers-monde, accords qui sont toujours accompagnés de pots-de-vin exorbitants pour quelques centaines de métèques effectivement déportés.
Cette solution s’appelle la Guyane.
Un territoire plus grand que la Nouvelle Aquitaine recouvert d’une dense forêt tropicale peuplée par des centaines de milliers d’insectes dont la plus grande part est aujourd’hui encore inconnue des scientifiques.
Ce territoire compte moins de 300,000 habitants et disposent de tout l’espace nécessaire au grand projet de remigration des migrants clandestins (pour commencer) auquel nous aspirons tous.
Nous n’avons besoin d’aucun « accord » avec des états tiers pour placer les clandestins hors d’état de nuire. La Guyane peut les recevoir dans des baraquements disposés au coeur de cette jungle extraordinairement hostile.
Nous aurions à peine besoin de murs et de barbelés. Le plus efficace des murs est la jungle elle-même avec ses scorpions, mygales, serpents, guêpes, maladies, en particulier le paludisme ou la dengue, l’absence de nourriture, pas même de filets pour pêcher quelques piranhas, ni de feu pour les faire cuire, l’humidité extrême. Les candidats à l’évasion mourraient pour la plupart en quelques jours.
Sans oublier les tueurs que l’on pourrait lancer aux trousses des fuyards pour les liquider le plus légalement du monde. On trouverait tout ce qu’il faut de soldats, voire de chasseurs de prime, pour pratiquer cette chasse à l’hominidé.
Et en prime les satellites ne pourraient pas repérer les charniers sous cette épaisse végétation
Écoutez, c’est simple. Nous avons ces territoires d’Outre-Mer qui nous coûtent une fortune et qui, à part être peuplés de nègres, ne nous servent jamais à rien. Cette proposition donne à l’un d’entre eux, la Guyane donc, une réelle valeur ajoutée, tant et si bien que nous devrions l’étendre aux prisonniers de droit commun actuellement détenus en France.
Vous n’avez pas idée à quel point ce grand projet de Democratie Participative est la clef de nombreux problèmes de sécurité, d’indiscipline et de mauvaise génétique dont nous sommes affligés à cause de la submersion migratoire.
En un temps relativement court, un archipel du goulag vert serait mis en place pour des centaines de milliers d’éléments biologiques menaçants. Leur seule chance d’en sortir : retourner dans leur pays d’origine.
Mais encore faut-il une réelle volonté au lieu d’un plan com’ prévu pour échouer.
Vous, chers lecteurs, n’en faites pas assez pour populariser notre proposition de bon sens qui peut sauver des vies. Le projet Guyane doit devenir votre projet, étape préparatoire à la remigration finale. Faites-le connaître autour de vous, sur les réseaux sociaux, partout. Petit à petit, l’idée avancera dans les esprits, ravivant l’heureux souvenir du bagne républicain dans les mémoires, terrifiant par anticipation les allogènes et leurs comparses.
Pourquoi s’enfermer dans des débats inutiles sur des négociations impossibles avec les pays d’origine de ces nuisibles alors que l’Amérique du Sud nous tend les bras ?
Faites vôtre ce projet, embrassez-le complètement, faites-en l’agressive proposition et laissons-le prospérer dans les coeurs jusqu’à ce qu’il devienne politique d’état sous l’influence des sentiments de l’opinion.
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