Répondant aux ordres des juifs, le gouvernement ordonne l’effacement digital pur et simple de la star montante du rap Freeze Corleone

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 septembre 2020

Après avoir été décrété coupable de blasphème par la synagogue pour ses lyrics, le rappeur Freeze Corleone a été livré au bras séculier républicain avec la rapidité de l’éclair.

Rien moins que le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé toutes affaires cessantes que Freeze Corleone allait être éradiqué de l’internet.

Effet immédiat, Freeze Corleone a propulsé #Adolf en tendance sur Twitter FR.

Nous sommes plongés dans une réalité parallèle où les juifs peuvent proclamer que leurs médias ont toute liberté pour dire ce qu’ils veulent à tout propos, comme Charlie Hebdo, et simultanément effacer un artiste en quelques heures pour avoir froissé la susceptibilité de la race juive.

Ce n’est plus un phénomène d’opportunité mais la règle dans cette république juive de droit divin : les juifs ont le droit de s’en prendre, avec l’appui de l’Etat, à quoi et à qui bon leur semble.

Le droit de la juiverie à souiller la culture des non-juifs est défini comme « le droit au blasphème » par cette république.

Inversement, à la minute où les goyim critiquent les dogmes juifs, ils sont immédiatement réduits au silence.

Le numéro de pilpoul auquel se livrent les juifs pour justifier cette liberté d’expression à géométrie variable rend tout cela encore plus puant de juifisme.

Cette manœuvre puante tentant de faire une distinction entre « l’incitation à la haine contre les personnes » et « la critique de la religion » ne pouvait être pensée que par des taldmudistes.

L’Holocauste n’est pas une personne, c’est un concept.

Et c’est un concept religieux.

Ces gens utilisent d’ailleurs le champ lexical du religieux pour parler de l’Holocauste.

La shoah est « sacrée », disent-ils.

Mais critiquer la version officielle de la shoah ne relève pas de la critique du sacré.

C’est un « délit ».

Il suffisait d’y penser. Avec ces gens-là, pile ils gagnent, face vous perdez. Tout le temps, partout. Ces juifs menteurs et hypocrites se paient la tête du monde en permanence. Ils s’arrogent publiquement des privilèges raciaux exorbitants tout en feignant de ne pas comprendre de quoi on leur parle quand on évoque ces mêmes privilèges qu’ils exhibent sous notre nez.

Ce fameux « droit de blasphémer » est un privilège racial que s’arrogent les juifs et qui leur permet d’insulter et de traîner dans boue tout ce que tiennent pour sacré les goyim.

Puisqu’il est question d’Adolf Hitler, je rappellerai ce passage lumineux de Mein Kampf :

En ce qui concerne la civilisation, il [le juif] contamine l’art, la littérature, dupe les sentiments naturels, renverse tous les concepts de beauté et de noblesse, de dignité et de bien et entraîne en échange les hommes dans le domaine de la vile nature qui est la sienne.

La religion est ridiculisée ; la morale et les mœurs sont données pour des choses mortes et désuètes jusqu’à ce que les derniers appuis qui permettent à un peuple de lutter pour son existence en ce monde, soient tombés.

Maintenant commence la grande et dernière révolution. Au moment où le Juif conquiert la puissance politique, il rejette les derniers voiles qui le cachaient encore. Le Juif démocrate et ami du peuple donne naissance au Juif sanguinaire et tyran des peuples. Il cherche, au bout de peu d’années, à exterminer les représentants de l’intelligence et, en ravissant aux peuples ceux qui étaient par nature leurs guides spirituels, il les rend mûrs pour le rôle d’esclave mis pour toujours sous le joug.

Un exemple effroyable de cet esclavage est fourni par la Russie où le Juif a, avec un fanatisme vraiment sauvage, fait périr au milieu de tortures féroces ou condamné à mourir de faim près de trente millions d’hommes, pour assurer à une bande d’écrivains juifs et de bandits de la Bourse la domination sur un grand peuple. Mais le dénouement n’est pas seulement la mort de la liberté des peuples opprimés par les Juifs, elle est aussi la perte de ces parasites des peuples. La mort de sa victime entraîne tôt ou tard celle du vampire.

Si le juif entend exercer sans partage le droit de souiller toutes les religions, toutes les grandes idées et tous les nobles sentiments humains, c’est parce qu’ils offrent aux peuples qu’il veut enchaîner une base de résistance à son oppression. Un peuple fier est un peuple qui refuse de se laisser rabaisser et dominer. Or c’est précisément ce que recherche le juif : la domination sur toutes les nations de cette planète. C’est écrit en toutes lettres dans leur torah, le livre que les Chrétiens tiennent pour sacré. Et on ne peut pas dire que la torah ait été écrite par des antisémites.

Là où les choses deviennent intéressantes, c’est que les juifs cherchent à culpabiliser les afro-maghrébins de banlieue de la même façon qu’ils ont inculqué la haine de soi aux Blancs. Ils pensent pouvoir leur faire baisser les yeux en insultant leurs sentiments religieux.

Les Catholiques réformés menés par Bergoglio ont pleinement intégré la prétention à la suprématie morale de la race juive et acceptent désormais comme un article de foi de se laisser faire insulter et traîner dans le caniveau par les médias juifs.

Avec son art du mensonge, le sophiste juif exploite la culture du doute propre à l’intelligence aryenne pour semer la confusion dans l’esprit des Blancs afin de remplacer dans leurs têtes leurs catégories fondées sur la recherche de la vérité par des catégories juives, par nature mensongères, dont l’unique fonction est d’asseoir dans les cervelles blanches la légitimité de la domination du juif.

Il n’en va pas de même pour les noirs ou les musulmans. Principalement parce que les afro-maghrébins ne sont pas des platoniciens qui distinguent leurs conceptions religieuses d’eux-mêmes. C’est l’avantage qu’ont sur nous ces populations face aux juifs : leur faible quotient intellectuel couplé à leur extrême agressivité les empêche de discerner l’individu du groupe et le groupe de ses croyances ancestrales, c’est-à-dire du groupe par delà le temps. C’est ce qui prive le menteur juif de toute prise sur ces gens-là. Les juifs, en raison de leur vieux fond sémitique, perçoivent d’ailleurs le mythe de l’Holocauste de la même façon que les arabes perçoivent l’islam : ils sont incapables de distinguer le mythe de l’Holocauste d’eux-mêmes et réagissent comme les musulmans lorsque l’on se moque de leur prophète, Mahomet.

Si bien que l’argument juif sur la distinction entre la critique « des dogmes » et « des personnes » ne produit aucun effet sur les arabes ou les noirs qui sont trop bridés cognitivement et trop grégaires pour se représenter une telle opération mentale. Pour les afro-maghrébins, s’en prendre aux propos d’un noir ou d’un arabe, c’est s’en prendre au groupe donc à leurs dogmes ancestraux et vice-versa. Jamais les juifs ne pourront saucissonner ces populations-là sur une base intellectuelle. C’est l’un des rares avantages pratiques de cette immigration à bas QI.

En essayant de la digérer, la juiverie avec son arme qu’est la laïcité exclusivement réservée aux goyim se cassera les dents sur cette masse de 15 millions d’allogènes aussi sûrement que deux et deux font quatre.

En voulant détruire la carrière de Freeze Corleone par le biais du ministère de la police, les juifs ont commis une grave erreur psychologique. La totalité des banlieues françaises va prendre fait et cause pour le rappeur persécuté par le juif Darmanin et ses flics. Encore une fois, on peut marcher avec la confiance du somnambule dès lors qu’il faut compter sur la stupidité du juif pour se perdre lui-même.

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