La Rédaction
Démocratie Participative
11 juin 2024
Les hipsters gauchistes des métropoles françaises turbo-remplacées sont mobilisés.
Ils veulent stopper le fascisme !
Paris: des véhicules de police pris pour cible en marge du rassemblement des partis de gauche pic.twitter.com/Is4dhv1qOK
— BFMTV (@BFMTV) June 10, 2024
A #Bordeaux, premier face à face rue Sainte-Catherine entre les forces de l’ordre et les manifestants qui protestent contre le résultat du Rassemblement national aux #ElectionsEuropéennes2024 pic.twitter.com/5mNAg6zZH0
— Rue89 Bordeaux (@Rue89Bordeaux) June 10, 2024
La mobilisation contre l’extrême droite dégénère à Angers. Le cortège qui a essayé de s’approcher des Halles Biltoki s’en prend au bar « Le Bazar » rue Parcheminerie.
Pour les manifestants il s’agit d’un bar d’extrême droite.#Angers #manifestation pic.twitter.com/w3A0DP7SBD
— Angers Villactu (@AngersVillactu) June 10, 2024
#DissolutionAssemblée : à Rennes, les forces de l’ordre entrent place Sainte-Anne, les manifestants reculent pic.twitter.com/JPfuT6sSSm
— Actu Rennes (@Rennes24) June 10, 2024
Ces villes ne font plus vraiment partie de la France. Par la géographie, oui, par la langue, vaguement, pour le reste c’est une autre planète.
Même si nous sommes dissous, il est hors de question, dans le contexte actuel, de rester silencieux. L’antifascisme se répand et reprend la rue. Il est temps de se soulever.
Ils peuvent nous prendre la victoire,mais jamais notre espoir. pic.twitter.com/wbAfvpVF0Z— Groupe Antifa Lyon 🇵🇸🔻 (@antifa_lyon) June 10, 2024
Ce n’est que le début. Toutes ces municipalités sont de gauche, voire d’extrême-gauche, maintenir une forte mobilisation, surtout chez les étudiants, est importante pour elles politiquement.
Les antifas auront carte blanche pour faire à peu près ce qu’ils veulent contre « les fascistes ». Les « fascistes » selon ces ennemis de la civilisation sont approximativement tous les gens encore sains d’esprit.
Les flics vont pouvoir goûter la fréquentation assidue de ces défenseurs de la république : pédés, gouines, siroteurs de 8,6 tièdes, syndicalistes à dents jaunes, vieilles rombières à nègres, bicots psychotiques, rien ne devrait manquer à l’appel du front du rouge, avant-garde des droits de l’homme.
Reste donc à trouver le front brun qui, hélas, n’est pas à l’ordre du jour du côté de chez Marine Le Pen.
À Ouradour sur Glane, les suppliciés ne sont plus là, mais leur mémoire est plus vivante que jamais, pour nous rappeler 80 ans après ces actes d’inhumanité, toute la barbarie du régime nazi. C’est le cœur serré que nous nous inclinons devant leur martyre.
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) June 10, 2024
Je ne vais pas excessivement blâmer le RN, la situation va se décanter d’elle-même.
Je suis beaucoup plus intéressé par la constitution d’un véritable front fasciste sur le terrain, possiblement sur la base de groupes divers déjà existants en dehors du jeu électoral.
Il faudra bien que les honnêtes gens – devrais-je dire les honnêtes Blancs – se défendent face à la vermine anarchiste coalisée dans les rues. Les flics ne bougeront pas pour eux, ils n’en ont pas les moyens et, le plus souvent, pas l’envie.
C’est le moment de sortir les drapeaux noirs, frappés de croix celtiques ou de têtes de mort et de décréter la mise à mort de la gauche. Le front rouge, lui, a déjà décrété notre mise à mort collective, et d’abord démographiquement.
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