Captain Harlock
Démocratie Participative
30 mai 2019
Ces traînées sont convaincues : elles veulent coucher avec des nègres sidaïques
Des adolescentes blanches, encouragées par un sale prof, s’empressent d’ouvrir les portes aux nègres.
C’est-à-dire, in fine, de leur ouvrir leurs culs.
Une vingtaine d’élèves de seconde du lycée Victor-et-Hélène-Basch, à Rennes, ont réalisé une émission de radio sur L’Aquarius et le travail de SOS Méditerranée. Humaniste et engagé, leur programme est disponible sur le site de l’établissement.
« S’engager » pour le repeuplement de l’Europe par l’Afrique pour complaire à Soros, c’est très audacieux.
Au reste, il est temps de faire litière de ce concept « d’humanisme » à base d’ADN subsaharien.
Soit on combat pour l’humanité, soit on combat pour son abaissement final par la prolifération mortelle du sang nègre.
Ces gauchistes se drapent dans de grands principes en prétendant élever l’humanité, mais dans les faits ils veulent la traîner obsessionnellement dans le caniveau racial.
Quiconque veut sérieusement aider l’humanité doit d’abord savoir l’identifier.
Le nègre n’en fait objectivement pas partie.
Le rythme est prenant, le propos argumenté et l’élocution fluide, quoiqu’un brin juvénile. Ce mercredi matin, à Rennes, un groupe d’élèves du lycée Victor-et-Hélène- Basch découvrait le montage final de l’émission de radio imaginée et enregistrée par leur soin, fruit d’un long travail mené depuis le début de l’année scolaire.
Intitulé Les chemins de l’exil, ce programme d’une petite heure interroge la question migratoire, s’attachant particulièrement à l’histoire de L’Aquarius, bateau de sauvetage de l’ONG SOS Méditerranée, devenu le symbole de la crise migratoire européenne.
Une thématique d’actualité, loin d’être joyeuse, que les élèves ont creusé et se sont approprié au fil des mois. « Je pense qu’on va s’en souvenir toute notre vie. On s’est vraiment tous impliqué, on a appris des choses, on a grandi avec ce projet », réagit Agathe, presque 17 ans, l’une des 25 élèves de seconde concernés.
Agathe est vilaine, pour commencer.
Ce phénotype boursouflé est caractéristique. Dans la cohorte des putes à nègres, on retrouve très fréquemment ce genre de demi-boudins avec des bras aussi larges que mes cuisses.
J’ai acquis une véritable expertise dans ce domaine, tout particulièrement à force d’arpenter les grandes surfaces. Ce genre de tas attire la négraille comme le fumier les mouches vertes.
Vous n’aurez qu’à faire attention.
Je suspecte les nègres de les repérer d’instinct en raison de leur capacité à chier du négrillon à un rythme soutenu.
« Aujourd’hui, on comprend mieux de quoi il est question quand on lit un article ou que l’on entend parler de migration à la télé. On a pu développer un esprit critique», abondent Enora et Ulysse, 15 et 16 ans, les deux animateurs de l’émission.
L’idéalisme critique inculqué à « Enora », « Ulysse » par leur prof de gauche : appeler dogmatiquement au repeuplement de notre pays par le nègre.
Unanimes sur le caractère marquant de leur expérience, menée dans le cadre de l’enseignement d’exploration de littérature et société, les élèves retiennent avant tout les rencontres organisées au cours de l’année.
Celle avec Tugdual, un bénévole de SOS Méditerranée qui a participé aux opérations de sauvetage en mer sur l’Aquarius. Celle avec trois réfugiés installés à Rennes : Adam, Soudanais de 26 ans emprisonné pour avoir critiqué la dictature dans son pays ; Abdoukarim, son compatriote, poursuivi à la suite de sa participation à des manifestations étudiantes ; Habtom, enfin, qui a fui l’Érythrée après avoir croupi un an de prison pour avoir refusé d’intégrer l’armée.
Des déserteurs.
Même selon les standards des trous à rats d’où ils viennent, ces pouilleux sont considérés légalement comme de la vermine.
Quelle formidable entreprise de démolition biologique et culturelle menée par ce ministère criminel de la Rééducation Post-Nationale. Avec le pognon du prolétariat blanc, cela va sans dire.
Des échanges forts, que les lycéens ont nourris par leurs lectures et le visionnage de films et de documentaires, pour aboutir sur la conception de leur propre émission, enregistrée entre le 15 et le 22 mai.
« C’est important pour nous d’avoir pu nous exprimer, reprennent les élèves. On a envie de changer les choses mais c’est difficile de se faire entendre à notre âge, dans le monde dans lequel on vit. »
Mercredi, lors de la séance d’écoute collective, les sourires étaient de mise chez les élèves, comme chez leurs professeurs.
« L’émission n’est pas tombée du ciel. Les élèves sont investis depuis un an pour ce résultat de qualité, qui a du sens », souligne Raphaël Dubreux, enseignant en sciences économiques et sociales, et membre d’Asylum, un collectif de professeurs du lycée Basch qui mènent des projets pour le droit d’asile.Après une revue de presse, des chroniques, billets d’humeur et deux pauses musicales signées Keblack et Bigflo & Oli, l’émission s’est terminée sur une note d’espoir :
« A l’avenir, c’est à nous d’agir pour vivre dans un monde plus tolérant et pour aider ces personnes ».
Certains diront qu’à cet âge, ils ne savent pas ce qu’ils font.
Je peux vous dire qu’à 17 ans, je savais faire la distinction entre un nègre et un maghrébin. Et de très loin.
Bien sûr, ils ont été complètement pris en main par la bande de marxistes qui opère dans ce lycée rennais. Il est tout aussi vrai qu’à la moindre marque d’opposition ou de réticence, la raclure de prof communiste qui supervise le tout persécuterait le fautif.
Le nom de ce prof rouge est Raphaël Dubreux, la fiotte à droite sur la photo.
Le type est un extrémiste notoire. Il a couru un marathon pour empêcher une famille de cafards musulmans d’Albanie d’être expulsée.
Regardez-moi ces faciès dégénérés : la connivence des sous-hommes.
Pas étonnant qu’ils remuent ciel et terre pour faire entrer des divisions entières de nègres hébétés. Ils se voient à leur tête pour étendre l’empire de leur classe d’école merdique à la société entière grâce à ces millions d’abrutis congénitaux.
Ces profs de merde sont notre malheur.