Réjouissez-vous, paysans, la Commission Européenne non-élue instaure la censure totale de l’internet grâce au Digital Services Act !

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 avril 2022

 

Grande nouvelle pour la démocratie : les paysans vont devoir se taire sur les réseaux sociaux.

La Commission Européenne a trouvé un accord pour purger radicalement l’internet de tout ce que la caste au pouvoir n’aime pas.

Comme de juste en démocratie, une femme blanche élue par personne nous en dit plus sur ce formidable outil destiné à traquer les plébéiens et leurs idées interdites.

Commission européenne : « Ce qui est illégal hors ligne est également illégal en ligne.
C’est désormais une réalité – et non plus un slogan.

Voilà ce que nous avons obtenu : un accord sur la #DigitalServicesAct qui est encore meilleur que la proposition que nous avons présentée il y a deux ans. »

Accorder des droits politiques aux femmes finit toujours mal.

C’est exactement ce que les goyim voulaient sans le savoir, ni le demander.

CNews :

Pour parvenir à cet accord à l’échelle européenne, le texte prévoit des mesures spécifiques pour chaque acteur, à savoir les fournisseurs, les plates-formes de moyennes et grandes tailles, ainsi que des moyens mis en œuvre pour limiter la désinformation et la haine en ligne.

L’ensemble des fournisseurs de services numériques dans l’UE auront l’obligation de désigner un représentant légal dans un des 27 Etats membres. Ces derniers devront aussi publier une fois par an un rapport détaillant les actions entreprises pour modérer les contenus, ainsi que leurs délais de réaction après notification de contenus illégaux.

Pour faire appliquer le règlement, chaque Etat membre devra désigner une autorité compétente capable d’enquêter et de sanctionner les mauvaises pratiques. Les 27 autorités désignées coopéreront entre elles.

L’Etat membre dans lequel se situe l’établissement principal du fournisseur de services numériques sera compétent pour faire respecter les obligations, à l’exception des très grandes plates-formes qui seront placées sous la surveillance de la Commission européenne.

D’autres obligations seront imposées aux «très grandes plates-formes en ligne», à savoir celles regroupant plus de 45 millions d’actifs au sein de l’UE, à l’image de Google (Youtube), Meta (Facebook et Instagram), Amazon, Microsoft (LinkedIn), Apple, Twitter et potentiellement TikTok, Booking ou Zalando.

Leur objectif sera d’analyser et atténuer grâce à la modération les risques liées à leur service en matière de diffusion de contenus illégaux, d’atteinte à la vie privée ou à la liberté d’expression, de santé ou de sécurité publique.

Ces plates-formes fourniront au régulateur un accès à leurs données afin qu’il puisse contrôler le respect du règlement. Elles seront également auditées une fois par an par des organismes indépendants pour vérifier le respect de leurs obligations.

Les places de marché et les réseaux sociaux devront se doter d’un système gratuit de réclamations facilitant la contestation des décisions de retrait d’information, de suspension ou de résiliation de compte. Les plates-formes devront aussi informer «promptement» les autorités judiciaires quand elles soupçonnent une «infraction pénale grave» menaçant «la vie ou la sécurité des personnes».

Les plates-formes en ligne devront suspendre les utilisateurs fournissant régulièrement des contenus illégaux, comme des discours de haine ou des annonces frauduleuses. Dans leur rapport annuel, ces dernières devront rendre compte des litiges avec leurs utilisateurs et des sanctions prises (retraits de contenus, suspensions de compte…).

Les plates-formes devront permettre aux utilisateurs de connaître les paramètres utilisés pour les cibler et le financeur de l’annonce. Le Parlement européen souhaite ajouter une interdiction d’exploiter les données «sensibles» des utilisateurs (genre, tendance politique, appartenance religieuse…) pour de la publicité ciblée afin d’empêcher les manipulations d’opinion. Concernant les mineurs, cette interdiction concernera toutes leurs données personnelles.

Au sujet des amendes, ces dernières pourront grimper à hauteur de 6% du chiffre d’affaires annuel et être assorties d’une astreinte allant jusqu’à 5% du chiffre d’affaires quotidien.

Inutile de dire que ce qui est illégal et décrété « haineux » n’est que les informations ou opinions qui remettent en cause la domination de la caste dirigeante.

C’est tellement excellent que même Hillary Clinton rêve de voir le même type de censure totale être mise en place aux Etats-Unis.

Pendant trop longtemps, les plateformes technologiques ont amplifié la désinformation et l’extrémisme sans avoir à rendre de comptes. L’UE est sur le point de faire quelque chose à ce sujet.

Je demande instamment à nos alliés transatlantiques de faire franchir la ligne d’arrivée à la loi sur les services numériques et de soutenir la démocratie mondiale avant qu’il ne soit trop tard.

Même le roi nègre Obama est emballé.

Moment incroyable d’aujourd’hui : @BarackObama présente la loi européenne sur les services numériques #DSA comme un moyen de « réglementer les abus constatés dans les grandes entreprises technologiques ».

Et il appelle les États-Unis à « trouver notre voix dans la conversation mondiale ».

Vous allez me dire que l’internet est déjà totalement verrouillé ou presque en France et que les réseaux sociaux censurent absolument tout ce qui peut dévier d’un centimètre de la ligne officielle du Parti.

Il est interdit de ne pas vouloir une guerre nucléaire contre la Russie, d’être antivax, de faire des blagues sur les fiottes ou le QI des noirs, et bien entendu il est impossible de rappeler que les chambres à gaz sont un mensonge de guerre inventé par les juifs pour justifier la destruction de l’Europe.

Encore récemment, les juifs ont créé un tribunal spécial à Nanterre chargé de persécuter toute forme d’opposition sur internet.

C’est plutôt dans l’intensification de la traque des gens qui pensent des trucs non homologués par l’oligarchie que ça semble se passer.

Par exemple, les paysans devront s’identifier avant de se connecter pour mieux être traînés devant les tribunaux à chaque fois qu’ils manqueront de respect à leurs seigneurs de Davos.

Les démocraties qui financent actuellement la guerre en Ukraine pour lutter contre la Russie supposément dictatoriale n’ont aucun scrupule à mettre en place un système de contrôle de type chinois.

Il n’y a donc pas de différence quant aux méthodes entre ces démocraties et la Chine.

C’est plutôt sur la nature des objectifs qu’il y a une distinction. Et là, le système chinois est infiniment préférable car il ne cherche pas à imposer le règne tyrannique d’une petite clique parasitaire venue de Judée dont la domination barbare repose sur l’invasion de l’Europe par des dizaines de millions de bêtes sauvages du tiers-monde ou la transformation des enfants blancs en travelos.

Le système chinois n’est pas fondé sur la haine de la Chine et des Chinois, contrairement à l’UE juive qui est spécifiquement fondée sur l’anéantissement de la race blanche en Europe.

Dans l’UE, les paysans n’auront que la liberté de remercier la caste globaliste pour le Grand Remplacement et le Great Reset.

Et n’oubliez pas : la censure, c’est la liberté d’expression.

L’accord conclu aujourd’hui sur la #DSA est historique.

Nos nouvelles règles protégeront les utilisateurs en ligne, garantiront la liberté d’expression et offriront des opportunités aux entreprises.

Ce qui est illégal hors ligne sera effectivement illégal en ligne dans l’UE.

C’est un signal fort pour les citoyens, les entreprises et les pays du monde entier.

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