Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 mars 2017
Inutile de leur demander de jouer : l’arrogance du haut de leur médiocrité est innée
Rien d’étonnant à ce que la dépossession des Blancs progresse sous la convergence de deux forces : la démographie allogène et le masochisme de l’intelligentsia communiste indigène.
A l’occasion de la sortie d’un énième film hollywoodien sur le génie africain – cette fois sur la conquête de la lune – une véritable débauche d’antiracisme s’est déversée sur la page de « Sciences et Avenir ». Magazine que l’on devrait plutôt appeler « Magie et négrification ».
J’ai voulu vous livrer un petit florilège de réactions. La première, l’exemple caricatural d’une mulatre travaillée par un puissance complexe d’infériorité mutée en haine raciale pure :
Je ne vais pas m’étendre sur ce cas, il me suffit de montrer son profil Facebook :
Notez que nous sommes près de quatre décennies après la mise en œuvre du plan de négrification le plus radical ayant jamais existé : la « discrimination positive » aux USA. Bien qu’objectivement favorisé à tous les niveaux, nous ne voyons toujours pas le génie africain s’exprimer au plan international.
Cette basse humanité n’admettra jamais son échec en tant que race. Ce ne seront toujours que pulsions d’hystérie, récriminations et menaces sur fond d’impuissance. Car les nègres, en raison même de leur médiocrité, ne pourront jamais mettre en œuvre la seule chose qui les intéresse :
Seuls des Blancs aveuglés par l’idéologie antiraciste et un altruisme pathologique peuvent penser que le rêve du nègre puisse consister à conquérir l’espace. Qu’il faille, en 2017, dénoncer de telles stupidités donne le vertige.
Le nègre est indolent et son horizon se limite à dormir, se reproduire anarchiquement et à manger du poulet et des pastèques, entre deux accès de folie meurtrière.
Lire ce genre de sujets et les commentaires qu’ils déclenchent permet de pénétrer la psychologie des masses telle que façonnée par des décennies d’égalitarisme racial et de misérabilisme tiers-mondiste.
Il est logique que les nègres et autres arabes agressifs utilisent l’arme de la culpabilisation pour subjuguer le Blanc incapable de maîtriser ses émotions. C’est une stratégie du fort au faible comme une autre. La faute incombe toujours au Blanc gavé de science humanitaire offrant sa gorge au premier algérien venu. Et je dois dire que le suivant ne m’a pas déçu :
Waouh. Adrien Delafosse. Delafosse commune, si le monde était régi par les subsahariens mythologiques.
L’idéalisme niaiseux des Blancs en plein déni des réalités raciales peut vraiment produire des morceaux d’anthologie. Et d’une certaine façon, les nègres haineux ont raison sur un point : le paternalisme bienveillant des Blancs antiracistes est une forme bâtarde de l’ère post-coloniale.
Adrien croit vraiment que les nègres étaient à bord de la mission Apollo. En esprit, par procuration, peu importe.
D’autres, qui redoutent que les questions raciales ne commencent à produire des effets indésirables, exigent de passer au tout « colour blind ».
Oui, « les humains ». « L’humanité », monsieur Bouhassoun, « l’Humanité », « l’Humain ».
Je n’ai pas l’impression que lorsque les Chinois envoient leurs hommes dans l’espace, ils le fassent au nom des nègres qui s’entretuent au Congo.
Il est vraiment urgent d’en finir avec cette lèpre de l’égalitarisme racial, de l’empathie avec toutes les sous-races de cette terre. Et à mes yeux, la raison numéro un pour laquelle tous ces nègres mythomanes se gorgent de haine chaque jour qui passe tient en une seule explication : ils vivent désormais sur nos terres.
C’est à notre contact que nait cette jalousie obsédante. C’est à la vue de nos réalisations et de notre génie créatif que ces parasites perdent le dernier soupçon de retenue qu’ils peuvent avoir, s’ils en ont. Ne croyez pas que parce qu’ils arriveraient dans l’ultime village de Sibérie, ils cesseraient de revendiquer des droits sur nous.
L’instinct primordial du nègre le pousse à une chose : tuer les Blancs après un long, très long supplice. Et ensuite bouffer la baraque. C’est une mentalité d’enfant attardé fainéant.
Et ce supplice, pour nous, c’est précisément la coexistence avec les nègres.