La rédaction
Démocratie Participative
12 décembre 2023
Il est temps de dire au revoir à l’Australie.
Dirigée d’une main de fer par l’oligarchie anglo-juive, le pays de 25 millions d’habitants absorbe plus d’un demi-million de migrants par an.
The Australian Financial Review :
Le nombre annuel de migrants en Australie a probablement atteint le chiffre record de 500 000 personnes en septembre, les étudiants internationaux et les travailleurs temporaires étant rentrés en masse, ce qui remet en cause les prévisions officielles selon lesquelles l’immigration diminuera fortement au cours de l’année à venir.
Abul Rizvi, ancien secrétaire adjoint du ministère de l’immigration, estime que la migration nette étrangère a atteint 470 000 personnes au cours de la période de 12 mois se terminant en juin et probablement 500 000 personnes au cours de la période de 12 mois se terminant en septembre.
L’Australie était blanche à 99% en 1946, contre un peu plus de 70% en 2022.
Tout comme au Canada, l’oligarchie qui dirige l’Australie sait exactement ce qu’elle fait, elle veut faire de l’Australie un océan marron de 40 à 50 millions d’habitants d’ici 2060.
La déclaration du Centre pour la population prévoit qu’avec une migration nette de 235 000 personnes par an, l’Australie atteindrait une population de 39,2 millions d’habitants en 2060-61, soit une population moins nombreuse que prévu et plus âgée en moyenne en raison des effets de la pandémie et de l’arrêt des activités de Covid dans le monde.
En revanche, dans le cadre d’un « scénario de forte migration » de 470 000 personnes par an, la population australienne atteindrait 49,3 millions d’habitants en 2060-61, avec un âge médian plus jeune (41 ans) que dans le scénario de base (42,8 ans).
Avec 18 millions de Blancs actuellement en Australie, le pays sera à majorité non-blanche d’ici 2045 avec une immigration de 250,000 individus par an.
Le gouvernement louvoie d’ailleurs, puisqu’il veut revenir à 250,000 migrants par an d’ici 2026.
L’Australie a annoncé lundi qu’elle allait durcir les règles relatives aux visas pour les étudiants étrangers et les travailleurs peu qualifiés, ce qui pourrait réduire de moitié le nombre de migrants accueillis au cours des deux prochaines années, le gouvernement cherchant à remanier ce qu’il a qualifié de système migratoire « défaillant ».
Cette décision intervient alors que l’on s’attendait à ce que l’immigration nette atteigne le chiffre record de 510 000 en 2022-23. Les données officielles montrent qu’elle devrait tomber à environ un quart de million en 2024-25 et 2025-26, ce qui correspond à peu près aux niveaux antérieurs à la loi COVID.
En cas de scénario maximaliste, avec 500,000 migrants par an, l’Australie deviendrait à majorité non-blanche dans la seconde moitié de la prochaine décennie (2035-2040).
En outre, la population blanche vieillit rapidement et les femmes blanches du pays sont déterminées comme ailleurs à faire le moins d’enfants possible pour coucher à droite et à gauche.
L’origine de cette immigration fait rêver : Inde, Irak, Afghanistan, etc.
Les villes australiennes sont déjà des capharnaüms multiethniques d’où les Blancs sont largement évincés.
On les retrouve dans des quartiers en marge des centres urbains ou dans la campagne avoisinante, quand il y a de la campagne, le pays étant pour ainsi dire un vaste désert.
Quand le pays sera devenu une simple projection du Moyen-Orient, du sous-continent indien et des Philippines, plus personne ne voudra y foutre les pieds.
Les non-Blancs ne veulent venir que dans des pays créés par des Blancs qu’ils détruisent par leur seule présence. Il ne viendrait jamais à l’idée d’un irakien d’immigrer aux Philippines ou à un philippin d’immigrer en Irak.
Ce pays si vaste ne pouvait tenir à travers de telles distance que par l’homogénéité de sa petite population anglo-celtique qui le quadrillait grâce à quelques villes.
Ce ne serait pas surprenant de voir ce pays immense se fracturer rapidement, une fois les gens marron de l’Asie entière devenus majoritaires, enfin libres de s’entretuer comme ils ont coutume de le faire dans leurs belles contrées d’origine.
Jusqu’en 1958, l’Australie pratiquait une politique d’immigration blanche exclusive (White Australia Policy). Il a fallu attendre 1975 avec la loi contre « la discrimination raciale » pour que la démocratie australienne interdise la limitation de l’immigration aux seules personnes d’origine européenne.
L’Australie aurait pu être une nation blanche pratiquement parfaite, mais les Anglo-Saxons, très sensibles aux arguments des juifs et à l’appât du gain, ont préféré faire de ce pays un énième bouge du tiers-monde.
Dommage !
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