Reconvertie dans l’animalisme, l’ex-Femen totalement hystérique Solveig Halloin scandalise le juif Castaldi en comparant les abattoirs avec Auschwitz

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 mai 2021

Chez Hanouna hier soir, les juifs se sont payés une magnifique campagne de publicité au détriment des cinglés animalistes.

Une femme blanche hystérique, Solveig Halloin, a longuement défendu l’extension du discours antinazi aux animaux en comparant les abattoirs actuels aux bizarres « camps de la mort » d’Adolf Hitler, sous-entendant que rien ne distingue les juifs des animaux et que l’holocauste aurait bel et bien existé.

Le juif Castaldi-Kaminker a explosé quand Solveig Halloin a prononcé le mot « Treblinka », une gare de transit utilisée par les Allemands durant la guerre en Pologne pour déplacer les juifs vers des usines d’armement. Les juifs aiment à décrire cette gare comme une sorte de chambre à gaz géante.

Si Solveig Halloin avait expliqué que les animaux sont autrement plus dignes que ces démons à forme humaine que sont les juifs, son argumentaire aurait pu faire mouche. Mais Solveig est convaincue que des animaux aussi nobles que les chiens ou les chevaux sont comparables à des juifs.

Pourtant, elle en avait sous les yeux, des juifs.

N’importe qui admettra qu’un cheval est autrement plus beau qu’une créature aussi immonde que Cyril Hanouna.

Les juifs n’avaient rien à faire, juste laisser Solveig donner libre cours à ses problèmes psychiatriques.

Cette hystérie est multi-vectorielle.

Solveig Halloin cherche sa voie depuis un moment. C’est une ex-Femen qui s’était essayée à des accusations de viol contre un acteur célèbre, Philippe Caubère. Elle avait justifié ce truc en déclarant que Caubère l’avait « séduite » et qu’en conséquence elle entendait bien faire reconnaître par les tribunaux le « viol » rétroactif en cas de déception amoureuse.

Cette cinglée est vraiment cinglée.

Elle est aussi odieusement plate.

Dans une société normale, Solveig Halloin serait traitée pour ses troubles mentaux et personne ne parlerait d’elle. C’est ce que faisaient les plus grands docteurs qui soignaient l’hystérie féminine au 19e siècle, comme le Professeur Charcot.

Dans cette société aryenne tombée entre ses mains, le juif s’assure au contraire que les déviances soient normalisées pour mieux détruire toute forme de beauté et d’ordre. Dans une société aryenne, le juif est traditionnellement la créature la plus haïe parce que la plus vile. D’où ses efforts pour la détruire de l’intérieur.

Au passage, comme hier soir, il sait exciter la haine contre tel ou tel si cela lui permet de conforter sa propre position dominante.

Dans cette mise en scène avilissante, le juif s’est habilement fait passer pour l’arbitre raisonnable en caressant dans le sang du poil l’immense majorité des goyim qui réagit avec effarement aux délires des animalistes illuminés tout en rappelant d’où il retire son autorité : le mythe de l’holocauste.

Le juif offre ainsi à des dizaines de millions d’amateurs de steak frites un argument moral pour passer outre la culpabilisation animaliste : le caractère sacré de la chambre à gaz magique. Ce qui permet du même coup au juif de garder le monopole de la culpabilisation des Blancs en tournant en dérision une dangereuse concurrence.

Les animalistes, de par leur conception maximaliste de l’antiracisme juif, représentent une menace parmi les jeunes générations ultra-féminisées qui ont peur de la moindre goutte de sang. Si ces extrémistes parviennent à convaincre cette population sous estrogène qu’un steak Charal est la continuité du Troisième Reich, les juifs éprouveront les plus grandes difficultés à se placer comme les seuls bénéficiaires de la religion de l’holocauste.

Les juifs veulent rappeler qu’il existe un juste milieu : eux.

Nous en revenons à ce que nous avons souvent dit ici, à savoir que la démocratie juive et ses formes hérétiques comme l’animalisme sont indissociables du mythe de l’holocauste.

Un mythe juif absurde qui n’a jamais résisté à une heure d’étude sommaire, ce qui a d’ailleurs poussé les juifs à interdire les gens d’en parler librement sous peine de prison.

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