Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juin 2018
Vous vous êtes probablement déjà demandés, par le passé, pourquoi la presse juive fait toujours si grand cas de la pourriture tzigane, plus que du reste.
C’est très simple et cela n’a rien à voir avec le jeu de guitare au coin du feu, près d’une roulotte. Pour le juif, toute résistance populaire au parasitisme nomade des tziganes signifie, par analogie, que ses propres entreprises de pillage sont menacées à court terme.
Comme toujours, la communauté rom est le laboratoire des politiques xénophobes.
Comme toujours, la mobilisation pour la défendre sera faible tant les préjugés à son égard sont répandus.
Comme toujours, cela finira mal. Et pas que pour les Roms. https://t.co/CupvzxfyTP— Raphael Glucksmann (@rglucks1) 19 juin 2018
Il est très facile de comprendre le fonctionnement du cerveau d’un juif une fois que l’on prend conscience de son caractère d’irréductible parasite nomade. En minorité, mais désireux d’exploiter à outrance les masses productives aryennes, le juif cherche à former une coalition dont le plus petit dénominateur commun est précisément cela : le parasitisme.
Glucksmann entre donc en guerre médiatique contre l’Italie dont il devine qu’elle annonce, avec d’autres nations blanches, le début de la révolution antisémite à venir.
Celle qui est liée à la crise des dettes souveraines dont vit la banque juive internationale.