La rédaction
Démocratie Participative
22 septembre 2023
Avec un dossier originel faiblard, les juifs, via leurs laquais de la gendarmerie française, ont inventé une autre affaire pour justifier l’extradition de Vincent Reynouard, en l’occurrence 8 vidéos YouTube.
La justice écossaise a donc dû se pencher sur ces accusations juives absurdes.
Un juge a été prié d’ordonner l’extradition d’un négationniste français qui se cachait en Écosse.
Cet homme de 54 ans est recherché en France en vertu des lois antinazies et les autorités de son pays d’origine ont demandé son extradition.
Une audience d’extradition complète s’est tenue à la Cour du shérif d’Édimbourg jeudi, et Reynouard a comparu sur le banc des accusés après avoir été placé en détention.
Reynouard a été arrêté dans la région d’Anstruther (Fife) en novembre dernier en vertu d’un mandat d’arrêt.
L’avocat Paul Harvey a déclaré à l’audience que les vidéos de M. Reynouard témoignaient de « l’antisémitisme le plus effroyable ».
M. Harvey a déclaré que les mots prononcés dans chacune des huit vidéos constitueraient un trouble à l’ordre public en vertu du droit écossais.
Reynouard doit avoir commis un crime qui est également un délit en vertu de la loi écossaise pour satisfaire au critère d’extradition.
Mais Fred Mackintosh KC, qui défend Reynouard, a déclaré que les vidéos de Reynouard ne constituaient pas une trouble à l’ordre public car elles n’appelaient pas à l’action de la part d’autres personnes.
Le shérif Chris Dickson a fixé une nouvelle audience au 20 octobre, date à laquelle il espère rendre son verdict dans la bataille de l’extradition.
Le tribunal a appris que Reynouard avait produit des vidéos ignobles sur des sujets tels que « le problème juif » et qu’il avait nié l’existence de l’Holocauste et des chambres à gaz du camp de concentration d’Auschwitz.
M. Harvey a déclaré qu’il n’était pas nécessaire, en vertu du droit écossais, qu’un appel direct à l’action soit nécessaire pour qu’il y ait trouble à l’ordre public.
Le procureur a déclaré que le fait de mettre les vidéos sur YouTube créait un « risque accru de troubles graves » car elles étaient « plus largement et plus durablement disponibles » sur Internet.
M. Harvey a ajouté que les vidéos étaient contraires à la loi sur les communications, car elles étaient « grossièrement offensantes » et remplissaient également les conditions requises pour cette infraction.
Dans ses observations, M. MacIntosh a déclaré que les vidéos de M. Reynouard ne constituaient pas un trouble à l’ordre public car « il n’appelle pas à l’action ».
M. MacIntosh a déclaré que la « négation de l’Holocauste en soi » n’était pas un délit au Royaume-Uni et que les vidéos ne contenaient « aucun encouragement à l’action de la part d’autres personnes ».
Il a ajouté qu’il s’agissait d’une « triste réalité » que la négation de l’Holocauste soit une « caractéristique de notre société ».
M. MacIntosh a déclaré qu’il était « peu probable » que les actions de M. Reynouard entraînent une peine de prison en Écosse et qu’il serait donc « disproportionné de l’extrader« .
Le Français a été condamné en vertu des lois antinazies en vigueur outre-Manche et a écopé d’une peine de quatre mois d’emprisonnement en novembre 2020, puis de six mois supplémentaires en janvier 2021.
La négation de l’Holocauste est une infraction pénale en France depuis 1990, et Reynouard a été condamné à de nombreuses reprises.
Les Français recherchaient Reynouard en vertu de deux mandats d’arrêt. L’audience d’extradition a été informée que le premier mandat était annulé car les Français considéraient que Reynouard avait purgé sa peine pour ce délit dans une prison écossaise.
La presse française a affirmé que M. Reynouard avait travaillé comme professeur particulier tout en vivant sous une fausse identité au Royaume-Uni.
Pour soutenir Vincent Reynouard, cliquez ici.
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