Captain Harlock
Démocratie Participative
16 décembre 2018
Je suis globalement satisfait de la mobilisation d’hier même s’il faut distinguer la situation sur Paris et celle des régions.
En termes de masse, nous sommes grosso modo sur les mêmes volumes de mobilisation que ces deux dernières semaines. Et le mouvement en est à la 5ème semaine.
Par endroit, nous pouvons observer une augmentation de la mobilisation.
Un rapide tour d’horizon :
1/3 Très forte mobilisation des #GiletsJaunes ce #15Décembre à #Avignon. pic.twitter.com/SgDj8u0wBj
— Hervé de Lépinau ن (@HdeLepinau) 15 décembre 2018
#Brest a encore mouillée le #GiletsJaunes aujourd’hui, nous étions au moins 35 d’après #BFMTV #ActeV pic.twitter.com/4U60m8Hn8B
— Erwan Seys (@SeysErwan) 15 décembre 2018
?? MOBILISATION : Plusieurs centaines de #GiletsJaunes manifestent en ce moment à #Lyon en scandant « Macron démission ! ». Ils sont dans le centre ville notamment à #Bellecour / République. Les automobilistes klaxonnent en soutien. #15Decembre #ActeV pic.twitter.com/UVBsxkXuQh
— La Plume Libre (@LPLdirect) 15 décembre 2018
À #Bordeaux, l’immense cortège des #GiletsJaunes arrive devant l’Hotel de Ville.
C’est familial, bon enfant. On chante beaucoup.#Acte5 #ActeV pic.twitter.com/VyRntJSkEL
— Clément Agostini (@ClementAgostini) 15 décembre 2018
Place de l’écluse, des bombes lacrymos tombent sur les #GiletsJaunes #Nantes pic.twitter.com/gceOYxm6nV
— DIRECTPO (@DIRECTPO) 15 décembre 2018
#GiletsJaunes devant l’Hotel des impôts de #Narbonne avec #agriculteurs et #Motards ? pic.twitter.com/WGhkKDHXK5
— Jean-Marc Alric (@jmAlric11) 15 décembre 2018
Il faut ajouter à ces manifestations les différents blocages d’autoroutes. Et les sessions de bricolage en plein air.
#France Incendie confirmé à #Narbonne où le péage est toujours en feu sur l’échangeur de l’#Autoroute #A9 #GiletsJaunes #ActeV #15Decembre pic.twitter.com/9HQgc5uAlg
— Rebecca Rambar (@RebeccaRambar) 15 décembre 2018
Pour ce qui concerne les affrontements, ils ont été généralisés en France. Tous les témoignages concordent pour dire qu’en général, la police anti-émeute a provoqué les clashs.
? Situation tendue en plein centre de Lyon #GiletsJaunes pic.twitter.com/2Lh1iHXweC
— Melchior. (@MelchiorLyon) 15 décembre 2018
Même dans des villes comme Besançon, les flics ont chargé les manifestants.
⚡??VIDÉO – Face à face tendu en cours à #Besançon entre les forces de l’ordre et les #Giletsjaunes. (France Bleu ?@bleubesancon) pic.twitter.com/8JxEzZgLtb
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) 15 décembre 2018
Sur Paris
Sur Paris, la situation est radicalement différente. Pour une simple raison : le gouvernement d’occupation en a bloqué tous les accès.
Des dizaines et des dizaines de stations de métro sont closes, des trains empêchés de partir s’ils embarquent des Gilets Jaunes. Les autoroutes aux abords de Paris sont sous garde policière. Les fouilles dans les gares de la capitale sont massives.
Il y a également le facteur répressif : la débauche d’arrestations, de gazage et de tirs de flashball dans les têtes de la semaine dernière ont bien sûr fait comprendre aux gens que, si par miracle ils arrivaient au centre de Paris, ils seraient tabassés, blessés puis arrêtés par les flics.
C’est que la presse juive appelle « une démobilisation ».
Jamais dans mon souvenir les médias audiovisuels n’auront consacré une telle couverture à suivre 2 200 manifestants dans Paris. Ils jouent à quoi ? Ils espèrent quoi ? https://t.co/5OQCdfz2gt
— Brice Couturier (@briceculturier) 15 décembre 2018
Le gouvernement d’occupation juif a une nouvelle doctrine : l’interdiction de mouvement. Elle remplace l’interdiction de manifester. Les Français se heurtent à la mobilisation des infrastructures, des flics et des médias contre eux. C’est sans précédent.
Donc, oui, vous n’allez pas avoir 100,000 personnes sur les Champs-Elysées. C’est physiquement, matériellement impossible.
Jamais, aussi clairement, des millions de Français n’ont pu voir à quel point cet état juif est en guerre contre eux.
Paradoxalement, il s’agit du point faible de la stratégie gouvernementale : vous avez quelques milliers de Gilets Jaunes dans Paris centre, une débauche de force de police et un centre-ville totalement paralysé.
La presse juive parle ensuite de « démobilisation ». Mais les gens se disent, « pourquoi déploient-ils toujours plus de flics s’il y a de moins en moins de gens mobilisés ? ». La plèbe aryenne commence à saisir la logique mensongère du juif.
Si vous déployez des milliers de CRS autour de la Gay Pride avec pour ordre de tabasser tous ceux qui se pointent, je vous assure que vous aurez une « démobilisation » comme disent ces plumitifs levantins.
Ces 8,000 flics sont en fait le couvercle de la cocotte-minute.
Si les flics baissent la garde, c’est-à-dire s’ils arrêtent de déployer 8,000 hommes pour tenir la rue dans Paris, quelques dizaines de milliers de GJ pourront à nouveau atteindre le centre.
? Sur les marches de l’Opéra de Paris, un des #GiletsJaunes prend la parole au mégaphone :
« Nous exigeons une baisse sérieuse de toutes taxes et impôts, sur les produits de première nécessité, de l’énergie, logement, transports, produits alimentaires, vêtements… » pic.twitter.com/1NH46tzN4A
— LCI (@LCI) 15 décembre 2018
Donc, le coût de cette stratégie d’état de siège, c’est une capitale paralysée en pleine période de fêtes. Le gouvernement juif veut éviter les scènes de chaos qui ruinent son image à l’étranger, tout spécialement auprès de ceux qui investissent en France. Il s’agit d’éviter la fuite des capitaux. Mais en fait, ils empêchent ces zones ultra-touristiques de générer du profit. Sans parler du coût du dispositif sécuritaire.
Quand on pense que l’objectif premier de Macron était de lever plus de taxes pour le compte de la finance internationale, on voit qu’en un mois, il a déjà perdu des dizaines de milliards d’euros avec ses annonces, les pertes de rentrées fiscales et de devises, les destructions, le déploiement policier massif.
Et Macron doit vraiment trouver la différence quelque part. Tactiquement, ses flics parviennent à conserver le contrôle de Paris, mais stratégiquement, au plan économique et politique, ce type est fini.
Le bougnoule magique de Strasbourg
Bonjour, je suis Bougnoule-magique. Je commets des attentats quand c’est le plus commode pour les juifs. Merci.
Et puis nous avons cet attentat bidon de Strasbourg.
Les juifs qui conseillent Macron se doutaient que ses annonces n’allaient pas avoir l’effet escompté.
Ils ont donc sorti cet arabe magique qui, soudainement, a eu la bonne idée d’échapper à son interpellation par la DGSI pour mieux foncer sur la Marché de Noël en dépit de l’alerte lancée contre lui.
Et de passer les barrages de flics.
Xavier Raufer nous est tombé du ciel pour confirmer ce que tout le monde savait.
Et soudainement, le gouvernement d’occupation juif se mobilise et décide de diaboliser Raufer.
Rectificatif : Monsieur Xavier Raufer n’a jamais été Professeur à l’université @AssasParis2 Panthéon-Assas et se prévaut indûment de ce titre. https://t.co/phcvMHzNt6
— Univ Panthéon-Assas (@AssasParis2) 14 décembre 2018
Du genre, « ouais, nan, ce type, on ne sait pas d’où il sort, ce qu’il raconte, il a pas de diplômes, donc, c’est pas intéressant ce qu’il dit. Regardez plutôt le compte Twitter de Castaner ».
Personne n’a jugé utile, dans la presse menteuse juive habituellement occupée à lutter « contre les fake news » (sic), d’expliquer pourquoi un terroriste activement recherché peut passer les barrages de flics en pleine alerte générale.
Ce n’est même pas évoqué.
Si c’était faux, ces juifs se seraient déchaînés contre Raufer. Mais c’est le silence total.
On est prié de croire à cette histoire de super maghrébin qui voit le futur, évite son arrestation avant d’aller calibrer des gens dans la zone la plus gardée de la ville sous le nez des flics qui sont chargés de le trouver.
Avec son terrible flingue de 1898.
Je suppose que la presse juive a raison, tout comme au sujet des djihadistes magiques de Syrie qui sont des combattants de la liberté.
En fait, tout le monde a compris ce qu’il fallait comprendre : les juifs instrumentalisent des égorgeurs d’allah pour conserver le contrôle de la France.
Il suffit de laisser un de ces arabes fous assouvir sa soif de sang. Ils en ont des dizaines de milliers sous la main.
C’est ensuite passé ce qui était prévu.
Les médias se sont livrés, pendant 3 jours, à des débats tous plus rabbiniques les uns que les autres sur les fichés S, les bracelets électroniques, etc.
Tout était bon pour étouffer médiatiquement l’insurrection populaire en cours pour nous parler de ce qu’on sait déjà : des dizaines de milliers de bougnoules prêts à tuer circulent librement en France.
La semaine d’avant, ces mêmes médias juifs s’en accommodaient très bien en dépit des centaines de morts de ces dernières années. Mais soudainement, il fallait interner tout le monde. Du moins, en théorie, car, bien sûr, de ce bruit médiatique, rien n’est sorti.
Ces arabes sont toujours libres et resteront libres. Il s’agissait d’occuper l’esprit des masses.
Triangulation
C’est exactement pourquoi Macron est sorti du bois, lundi, avec son histoire d’immigration et d’identité nationale. Sur conseil du juif Sarközy qui avait déjà fait cette manoeuvre.
La veille de l’acte 4 de la mobilisation des #Giletsjaunes, #Macron a reçu à l’Élysée Nicolas #Sarkozy. Un peu plus tard, il annonçait la mise en place d’une mesure phare de l’ancien Président. Pure coïncidence?https://t.co/ix1cFZaeUV
— Sputnik France (@sputnik_fr) 11 décembre 2018
L’idée, c’est de trianguler. Vous divisez et ensuite vous poussez un camp contre l’autre. En parlant d’immigration et d’identité nationale le même jour qu’il signait le Pacte de Marrakech, Macron trahissait le cynisme de ses maîtres.
Ces gens se sont dits qu’il fallait dévier le débat en opposant « Gilets Jaunes de droite » et « Gilets Jaunes de gauche » avec cette histoire. Parce que le principal danger que représente le mouvement, c’est qu’il unit dans la rue, contre le gouvernement d’occupation juif, des gens qui, d’habitude, sont divisés en partis ou syndicats.
Cette unification dans la rue du populisme est une menace systémique. Réactiver artificiellement les clivages visaient donc à le neutraliser.
Mais personne n’a mordu à l’hameçon. Parce qu’il n’y a plus de « débat » sur l’immigration. 80% des Français veulent foutre les métèques dehors. Cette question est tranchée. Maintenant, la question, c’est comment nous allons conquérir le pouvoir et mettre en oeuvre ce que les Français veulent.
Au total, quand on voit ce à quoi a eu recours le pouvoir judéo-globaliste pour briser le mouvement, on voit qu’il fait preuve d’une très grande résilience.
Le gouvernement a tout utilisé en quelques jours. Absolument tout. Et ça ne suffit toujours pas.
Pour une raison simple : la classe moyenne blanche n’a pas gagné un centime d’euro.
Et quand le peuple demande à pouvoir s’exprimer avec ce Référendum d’Initiative Citoyenne, les juifs lui crachent au visage.
Sur #BFMTV tranquillou le manifestant qui ne représente personne déroule son programme :
– referendum
– destitution du chef de l’Etat
– sortie de l’Europe
– baisse des taxes
C’est quoi la suite ?
Le drapeau bleu, blanc, jaune ?— David Abiker (@DavidAbiker) 15 décembre 2018
En janvier, le prélèvement à la source arrive.
Des millions de Français vont découvrir dans quelle nasse sémitique ils sont tombés.
Je vous assure que ces gens ne vont pas se dire que, finalement, ce n’est pas si problématique de se faire détrousser en plein jour par le fisc, la finance internationale et ces politiciens enjuivés. Après avoir mangé leur bûche de Noël et vidé quelques bouteilles de mousseux le 31, les 3 janvier aura un arrière-goût de pisse
Nous devons tenir 2 semaines contre cette bourgeoisie macroniste.
On va voir ce qui est prévu pour l’Acte 6.