Radio Mille Collines : les nègres appellent à violer la fille âgée d’un an du député Grégoire de Fournas

La rédaction
Démocratie Participative
05 novembre 2022

 

Tous ces noirs de la tolérance qui nous envahissent semblent avoir un fonctionnement très terre à terre, très éloigné de conception enfantine que s’en font les boomers, les gauchistes et les femmes blanches.

Pour eux, l’horizon, c’est le génocide des Blancs, avec toute la sauvagerie dont ces nègres sont capables – du moins, tant que les Blancs ne ripostent pas.

Le calme apparent qui prévaut ne s’explique que par la terreur d’état appliquée aux Blancs pour qu’ils restent passifs face à l’invasion.

Pour une phrase, « qu’ils retournent en Afrique », la température est brusquement montée et les noirs appellent déjà au carnage sur des enfants blancs d’un an.

Ces noirs fonctionnent tous sur le même mode. Ils pensent tous cela, c’est ce qu’ils veulent : assassiner nos enfants.

Ce sont des créatures stupides, ultra violentes, vouées au Diable, qui ne commencent à se tenir à leur place que lorsque l’homme blanc prend son fouet civilisateur pour leur rappeler leur place dans l’échelle de l’évolution.

Ces nègres sont des primates maléfiques, menteurs, fainéants, conçus pour le mal et régis par les entités les plus sombres du monde invisible.

Ils pensent que la situation actuelle, où les Blancs sont soumis à cet état tyrannique aux mains des juifs, ces autres serviteurs du mal, durera éternellement et que c’est là le résultat de leurs prouesses ou de leur puissance.

Ces créatures stupides n’ont aucune idée de ce qui va leur arriver, une fois la machine à imprimer des billets en panne.

Bien qu’ils avouent eux-mêmes avoir été humiliés pendant des siècles dans leurs pays par une poignée d’hommes blancs, ils se livrent à leurs provocations en se croyant désormais intouchables. Mais la passivité des Blancs ne repose que sur une seule chose : la terreur d’état. Libérer l’homme blanc du feu roulant de la terreur antiraciste est le préalable à la guerre de reconquête qui nous attend. Ensuite, tout ira très vite.

Laissez-moi vous en donner un aperçu.

La première mesure consiste à couper l’eau, l’électricité et l’approvisionnement des supermarchés des zones où s’entassent ces sous-hommes.

En un mois, des millions sont déjà morts – et c’est un hors d’oeuvre.

Le seul problème, c’est la paralysie raciale des Blancs induite par les 37,000 journalistes à cartes de presse, les 8,000 magistrats en exercice et les quelques dizaines de milliers de cadres de l’antiracisme social et culturel.

J’ai bon espoir que le conflit en Ukraine dégénère en conflit global, suivi d’un effondrement des démocraties, incapables de mener une telle guerre sans que leurs contradictions internes n’explosent.

Ensuite, les jeux sont ouverts.

Vous verrez des gens que vous n’auriez jamais soupçonnés être capables de faire quoi que ce soit se transformer en héros génocidaires.

Il faut simplement que la mesure soit pleine.

Les dieux de l’antique Gaule exigent des millions de têtes de démons en expiation. Ils entendent les obtenir, peu importe le moyen.

Je veux édifier un gigantesque palais en crânes de nègres dédié au dieu celte de la mort, Arawn.

Il rappellera pour les siècles des siècles ce qu’il en coûte aux races sombres qui déclenchent la colère de l’homme blanc de le provoquer sur ses terres.

Avec les crânes des traîtres, je veux me faire un trône.

Comme les guerriers celtes de jadis, les seigneurs de la guerre sillonneront les terres avec les têtes de ces nègres et de ces bicots attachées à leurs motos, lors de la grande campagne d’épuration ethnique européenne, la plus grande de l’histoire.

Les Celtes, « Quand leurs ennemis tombent, ils leur coupent la tête et l’attachent au cou de leurs chevaux…. » (Diodorus Siculus). Un guerrier celte monté avec ce qui est interprété comme une tête décapitée suspendue au cou de son cheval. De Entremont (oppidum) France.

En attendant, que faire ?

Attiser la colère raciale à outrance, par tous les moyens, et faire confiance aux dieux pour exercer leur terrible châtiment contre les ennemis des Aryens.

Ce qui compte, c’est de plonger les Blancs dans un état de colère incontrôlable.

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