Captain Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2019
Dans la France submergée de 2019 où des violeurs du Rwanda assassinent des Blanches à la chaîne, il existe un fléau : le racisme blanc.
Au plan auditif.
Le racisme auditif.
C’est un nouveau génocide rwandais.
L’Obs :
Après l’Italie et l’Angleterre, la France: le match de Ligue 1 entre Dijon et Amiens a été interrompu plusieurs minutes vendredi en raison de cris racistes visant un joueur noir amiénois, dernière manifestation du racisme qui continue de gangréner le football en Europe.
« Visant un joueur noir amiénois ».
Pourquoi un en particulier ? Ils le sont tous.
C’est du racisme sélectif ?
⚡️ La composition d’équipe choisie par Christophe Pélissier pour ce match à très haute importance !#DFCOASC pic.twitter.com/HGDsf2GKOl
— Amiens SC (@AmiensSC) 12 avril 2019
Techniquement, rien ne prouve que ce soit vrai. Pour l’heure, nous avons juste un nègre qui se dit victime de racisme auditif.
C’est tout ce que l’on sait.
En tout cas, ce qui gangrène le football en Europe, ce n’est pas le racisme.
C’est l’absence de racisme.
Plus exactement, l’antiracisme systémique qui produit, de plus en plus, des équipes de tirailleurs nègres absolument horribles à voir jouer. Du moins, pour ce qui concerne la France.
Le gouvernement d’occupation juif a depuis longtemps compris que le sport de masse est le meilleur moyen d’embrigader implicitement une population totalement dépolitisée et dénationalisée.
Les gens ne sont plus syndiqués ni encartés dans un parti. Ils ne vont plus à l’église. D’une façon générale, tout ce qui est collectif les répugne.
Sauf deux choses :
- Les concerts
- Le sport
C’est tout mais c’est suffisant.
Au ministère des Sports, ils ont une cellule entièrement dédiée à la négrification des fédérations sportives du pays, peu importe lesquelles. Ils ne disent pas négrification, ils disent « diversité ».
Cette fois, c’est le défenseur et capitaine français d’Amiens, Prince Gouano, qui a été victime à Dijon d’« insultes racistes » condamnées dans la foulée par la Ligue de football professionnel (LFP), qui a assuré le soir-même qu’elle allait « étudier les suites judiciaires à donner » à ces faits.
Ils sont obligés de préciser « français » pour essayer de suggérer aux gens que c’est doublement scandaleux. Premièrement parce que c’est un nègre. Deuxièmement parce que ce nègre est notre nègre et celui de personne d’autre.
C’est comme péter un abribus si vous voulez. On est censé criser parce que des politiciens l’ont payé avec nos sous.
Moi, ça me laisse indifférent.
La préfecture ne m’a appelé pour me demander si la perspective de filer des papiers à ce cafre pouvait me séduire ou non. Mais je veux bien admettre que cela énerve des gens.
Dont ceux de ce club qui achète des nègres pour jouer au football.
« Dès ce soir, le club de Dijon a identifié l’auteur des insultes racistes qui a ensuite été interpellé », a ajouté la LFP dans son communiqué, tandis que la commission de discipline « se saisira du dossier » mercredi.
En France, on ne discipline pas ces nègres.
En revanche, on discipline certainement les Blancs. Et presto.
Vendredi soir, après 77 minutes de jeu, Prince Gouano a commencé à quitter le terrain en lançant vers son banc de touche: « C’est fini on joue plus, je ramène mes coéquipiers, on rentre dans le vestiaire ».
« Coéquipiers » veut dire « nègres ».
C’est synonyme en termes footballistiques.
Les joueurs se sont alors arrêtés de jouer et certains, dont Prince Gouano, sont allés parler aux supporters dijonnais avant de revenir sur le terrain.
A l’issue de plusieurs minutes de flottement et une discussion entre les entraîneurs des deux équipes, Antoine Kombouaré et Christophe Pélissier avec l’arbitre du match Karim Abed, ce dernier a demandé au speaker du stade: « Faites bien passer le message, si ça reproduit on arrête ».
L’arbitre est un arabe aussi.
Il a donc des billes dans la partie. C’est ce qu’on appelle la neutralité relative de l’arbitrage.
« On est au XXIe siècle, c’est inadmissible. C’est pourquoi j’ai voulu marquer le coup en demandant d’arrêter le match. On est tous égaux, on est tous des êtres humains », a déclaré Prince Gouano au micro de beIN Sports dès la fin du match.
OUH LA LA
PAUSE
Mon cher nègre, je t’arrête tout de suite.
Tu es un nègre, peu importe le millénaire. Dans 10,000 ans, même planté sur Jupiter, tu seras encore et désespérément un nègre.
Et cette qualité de nègre charrie son lot d’atavismes, à commencer par les nuisances olfactives que vous imposez autour de vous, sans parler de votre stupidité proverbiale et de votre besoin compulsif de violer des Blanches et de dealer de la drogue.
Quand vous ne tapez pas votre cul sur le sol au moindre rythme de tamtam.
Donc, 21ème siècle ou an -1250 avant Jésus-Christ, votre patrimoine génétique demeure aussi inerte.
Ensuite, l’égalité.
Oui.
NON
Le mot égalité, introduit par les Blancs en Afrique, a au moins autant rendu ivres les nègres que l’alcool.
Et pourtant les nègres picolent.
Les nègres en perdent la tête.
Enfin, « êtres humains ».
Alors là, faut pas pousser mémé dans les orties. Cris de singe ou pas cris de singe.
Presque des êtres humains, à l’extrême limite.
Il s’en est fallu de peu, disons. Cela m’attriste car nous n’en serions probablement pas là où nous en sommes aujourd’hui si les cafres avaient été pleinement humains. Mais il manque ces quelques petits pourcents sans lesquels la pâte à gâteau ne peut pas monter à la cuisson.
Et nous nous retrouvons avec ces nègres, tels quels.
Devant la presse, il a ensuite raconté les faits en détails : « Je me suis retourné pour regarder d’où ce bruit provenait et s’il était bien en ma direction. Effectivement, il l’était. Alors dans un premier temps, j’ai décidé d’aller donner une seconde chance au Monsieur en lui demandant si c’était bien à moi qu’il criait cela. Et il a confirmé en continuant ces bruitages-là. Donc, à partir de là, j’ai pris la décision d’arrêter de jouer, car je ne pouvais pas continuer dans ces conditions-là, avec l’accord de l’arbitre, on a décidé d’interrompre le match parce que c’était inadmissible. »
Ces macaques nous saoulent.
Ceci dit, j’accorde un point à ce nègre : il y a quelque chose de malsain à aller voir des nègres courir sur une pelouse tout en voulant les insulter.
C’est même franchement idiot.
Par exemple, moi, je couvre d’injures les nègres en permanence et je le fais depuis mon domicile. Je ne paie pas un billet pour les engraisser.
En 2019, mettre les pieds dans un stade de football est très, très suspect. Du point de vue raciste j’entends.
En France, tout spécialement.
Quelle équipe, hormis peut-être une équipe locale de recrutement indigène, voulez-vous encourager ? Tous ces clubs sont tiers-mondisés.
Regardez-moi l’équipe de Rennes.
Ce serait l’équipe de Prétoria, que ça reviendrait du pareil au même.
Après, je comprends parfaitement qu’on aime se divertir en regardant un match, sans penser à rien. Mais le système le sait et en profite pour bombarder votre rétine avec de la mélanine hyper-concentrée.
Tout est bon pour lancer de nouvelles campagnes de terreur antiblanche.
La rombière roumaine qui sert de ministre des Sports à ce pauvre pays ne sait plus comment hurler sa soif de bite de Casamance.
« Je trouve très bien que les joueurs se soient mobilisés », a salué la ministre des sports. https://t.co/Uash6J3lxF
— RTL France (@RTLFrance) 13 avril 2019
C’est usant.
Franchement, regardez plutôt un championnat où on trouve encore des Européens jouer.
Mais le championnat français, non.