Captain Harlock
Démocratie Participative
24 août 2018
La première des putes à nègre de cette vidéo est une certaine Florence Le Balc’h. La seconde, Caroline Laneyrie, prof.
Cette putes à nègres alcoolo-tabagiques veulent imposer, avec l’aide de la presse gauchiste locale, ces hordes de nègres à la population.
On les retrouvait il y a quelques mois à faire le pied de grue pour exiger la négrification totale de la ville.
La Charia Blanche tout de suite
Nous retrouvons toujours les mêmes profils socio-biologiques : des femelles ménopausées et une poignée de marginaux camés et troués affichant leur soumission aux mâles allogènes. Ces deux catégories se divisent entre parasites dépendant de l’aide sociale et sangsues de la fonction publique, le plus souvent de l’Education Nationale.
Dans 95% des cas, ces éléments antisociaux sont des fonctionnaires. Dans 95% des cas.
Ces traînées fatiguées par la bite et le rosé sont rassemblées au sein d’une association ad hoc, « Le Temps Partagé ». « La bite cafre partagée » serait cependant plus indiquée à la vue du logo qu’affiche leur page Facebook.
Cette soif pathologique de bites africaines de la part de vieilles putains socialement planquées est le principal moteur derrière le chaos qu’elles sèment au pied de la cathédrale de Quimper.
Le quartier général de cette organisation pro-clandestins est située au 33, chemin de Ty Nevez Kerlagatu, à Quimper. Là où réside une certaine Isabelle Gasdon, une vieille peau gauchiste faisant profession, sur deniers du contribuable, de « musicothérapeute ». C’est-à-dire qu’elle est rétribuée pour guérir des sociopathes, des nègres ou des violeurs en leur faisant écouter la radio.
On posera avantageusement des questions à celle qui se livre à ces activités d’infiltration de clandestins ici :
Et à cette structure criminelle ici :
Le moment est venu de stopper cette lèpre vaginocrate qui met en danger la survie de la race blanche.