Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 avril 2018
Trump a finalement donné l’ordre de bombarder des cibles bidon après 3 jours d’attentisme, le temps de laisser l’armée syrienne, les Gardiens de la Révolution iraniens et les Russes sécuriser ce qui devait être protégé.
? De nombreuses explosions dans Damas Syrie
? Les Etats-Unis et leurs alliés ont frappé plus lourdement la Syrie que lors des tirs de missiles d’avril 2017 (chef du Pentagone)#Syrie #Russie #Londres #France #UnitedKingdom #Syria pic.twitter.com/gwHFJpWFgn— ParaFoxTV (@ParafoxTV) 14 avril 2018
Le ministre de la Défense US a immédiatement dit que l’opération était terminée et que tout le monde pouvait retourner à la maison.
Defense Secretary James Mattis: « Right now we have no additional attacks planned. » https://t.co/HDi8MgZXvI pic.twitter.com/QQjhyyvyzZ
— Fox News (@FoxNews) 14 avril 2018
Trump a, en substance, refait le coup d’avril 2017 : un bombardement bidon pour noyer le poisson.
La pression était beaucoup plus forte cette fois et la réponse russe l’était également. Les Russes ont fait savoir que toute opération d’envergure en Syrie se terminerait par la destruction des bases de lancement, américaines y compris.
Macron a fait dans son froc dès mercredi, en expliquant qu’il ne « voulait pas d’escalade » et Mattis n’a pas fait comprendre autre chose au Congrès.
Mattis sait très bien, en tant que général, qu’une guerre avec la Russie n’aurait rien à voir avec le tir au pigeon contre des bougnoules en pyjamas.
Le chef de l’état-major général russe avait dit que si les Américains s’amusaient à obéir aux juifs et bombardaient la Syrie, il y aurait du hamburger en grande quantité sur Fox News dans les 5 minutes qui suiveraient.
Les Américains ont donc négocié pendant des jours une porte de sortie, c’est-à-dire un tir sur des baraques vides pour leurs médias, en se concertant avec les Russes. Les Russes ont accepté et font maintenant mine de gueuler contre ce bombardement.
Mais c’est du kabuki.
Le Monde :
Moins d’une heure après l’intervention du président, le secrétaire à la Défense, James Mattis, et le général Joseph Dunford, chef d’état-major interarmes, ont fait un point sur la situation militaire lors d’un «briefing» au Pentagone. Ils ont annoncé que trois cibles principales avaient été visées: un centre de recherche scientifique dédié au développement et aux tests d’agents chimiques dans la banlieue de Damas, un dépôt d’armes chimiques à l’ouest de Homs et un poste de commandement dans la même zone.
«C’est une frappe unique», a précisé James Mattis, confirmant que les opérations étaient terminées. La «poursuite» des actions militaires évoquée par Trump serait conditionnée à une nouvelle provocation syrienne. «L’année dernière, ils n’avaient pas compris le message», a déclaré le patron du Pentagone, en référence aux 59 missiles Tomahawk tirés contre des bases du régime en avril 2017. «Cette fois-ci nous avons tapé plus fort, a-t-il dit. Je crois que nous avons envoyé un signal très puissant.»
Auparavant, le président américain avait pointé du doigt l’Iran et la Russie en lançant: «Quel genre de nation veut être associée au meurtre de masse d’hommes, de femmes et d’enfants innocents?» L’assaut de vendredi «est le résultat direct du manquement de la Russie à ses promesses», a-t-il rappelé, Moscou s’étant porté garant en 2013 de l’élimination des stocks chimiques syriens. «La Russie doit décider si elle veut continuer sur cette pente sinistre ou si elle veut rejoindre les nations civilisées comme une force de paix et de stabilité», a dit Trump. Il a précisé que, pour sa part, «l’Amérique ne cherche pas à rester indéfiniment en Syrie, en aucune circonstance.»
En résumé : « Blablabla, frappe unique, blablabla, on se barre ».
Cette manoeuvre dilatoire de Trump vise à ménager la chèvre et le chou.
Mais, comme toujours en pareil cas, il ne satisfera personne. Et surtout pas la juiverie qui va rapidement être encore plus frustrée devant le petit jeu de Trump pour sortir de Syrie.
Surtout que les plus tarés des généraux américains doivent se dire, à raison, que les Russes les ont une nouvelle fois dominé diplomatiquement.
Le problème fondamental est que Trump, qui en est parfaitement conscient selon moi, ne dénonce pas cette propagande sémitique sur les chambres à gaz d’Assad pour ce qu’elle est. Cela laisse la porte ouverte à tous coups montés de la juiverie.
Il a tort de finasser. Il devrait dire, « c’est absurde, c’est un coup monté des islamistes pour déstabiliser Assad qui, soyons clair, est un personnage vraiment sinistre, blablabla ». Ce serait fini.
Le juif, ennemi de la paix et des peuples
Quoiqu’il en soit, pour aller au coeur du problème, voici le diagnostic : nous avons le cancer et ce cancer s’appelle le juif. Ce destructeur est déterminé à plonger l’humanité dans une nouvelle guerre mondiale. Le fanatisme de cette engeance démoniaque ne se dément pas, loin s’en faut.
Le juif veut cette guerre, par tous les moyens.
Enfin, Macron, Trump et May frappent les arsenaux chimiques de Bachar. Ils effacent la faute d’Obama. Ils restaurent l’honneur de l’Occident. Mais, surtout, ils sauvent des vies. #Syrie.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 14 avril 2018
Nous ne pouvons pas rester sans réagir face à lui, sinon il nous plongera dans l’abîme.
Ce que nous voyons devant nos yeux n’est rien d’autre que la réédition de la Deuxième Guerre Mondiale. Tout est identique et l’on mesure d’autant mieux ce qui se joue que nous voyons à quel point le juif a pu mentir avec succès pendant 75 ans pour légitimer ses crimes les plus indicibles.
Si le juif devait parvenir à ses fins, la France serait détruite tout comme l’Europe, l’Amérique et même le Moyen-Orient. Sur un vaste cimetière rempli de centaines de millions de victimes, trônerait le génocidaire juif, plus fanatisé et arrogant que jamais.
Pourquoi la presse juive se déchaîne-t-elle contre Hitler, pourtant mort depuis 1945 ?
Parce que la vérité ne meure pas.