Le Libre Panzer
Démocratie Participative
13 octobre 2018
Nos plus grands alliés contre l’islamisation.
JForum :
L’interdiction proposée par le gouvernement de la Coalition Avenir Québec a pour objectif de rendre les institutions publiques québécoises plus laïques et «neutres» sur le plan religieux.
Cela interdirait à la police, aux gardiens de prison, aux enseignants des écoles publiques et à d’autres personnes de porter des kippas, des turbans, des hijabs et des crucifix visibles, sous peine de licenciement pour non-conformité.
Ils disent aussi que le plan est hypocrite, car le nouveau gouvernement, qui prend officiellement le pouvoir le 18 octobre, refuse pour des raisons «patrimoniales» de retirer un grand crucifix suspendu à l’Assemblée législative du Québec depuis 1936. Les Québécois comptent une majorité de catholiques.
Les juifs parlant d’hypocrisie, c’est puissant ça.
Quel rapport entre le catholicisme et le Québec ?
«L’interdiction des symboles religieux et le renvoi éventuel d’employés publics qui expriment librement leurs convictions religieuses constituent une atteinte aux droits et libertés fondamentaux», a déclaré Murray Levine de B’nai Brith Canada.
Les libertés fondamentales, goy.
Oui.
Le rabbin Reuben Poupko du Centre pour les affaires israéliennes et juives a déclaré: «Nous réitérons notre position de longue date selon laquelle la neutralité religieuse devrait être imposée aux institutions publiques et non aux individus.»
« La neutralité religieuse devrait être imposée aux institutions publiques et non aux individus ».
Ces sales québécois catholiques sont vraiment les rois de l’hypocrisie.
L’interdiction proposée était une promesse de campagne électorale de la Coalition, un parti populiste de centre-droit dirigé par l’homme d’affaires François Legault, aujourd’hui premier ministre.
Legault et son parti ont remporté 75 sièges sur 125 lors de l’élection du 1er octobre et ont donné au nouveau gouvernement le pouvoir d’adopter des lois sans craindre d’être évincé lors d’un vote de censure.
Ces goyim pensent que la démocratie consiste à gagner les élections.