Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 octobre 2017
Question d’un lecteur :
Tout d’abord, une question que je me pose de plus en plus : que faire ? Concrètement, pour l’individu lambda, que faire pour apporter sa pierre à l’édifice, au vu de toutes les contraintes légales que nous subissons en France (et même en Europe en général) ? J’admire tous les sacrifices que vous faites (en particulier Gandalf – qui m’a vraiment donné la dernière pilule rouge, je ne pourrai jamais assez vous en remercier), mais nous ne pouvons pas nécessairement tous tout quitter.
Comment donc commencer à construire quelque chose d’utile sans prendre immédiatement un aller simple pour le goulag ? Notre action, notre militantisme doivent-ils essentiellement être numériques ? De quelles pistes d’action économique disposons nous (question d’autant plus importante que la question de l’argent est souvent un tabou chez nous) ? Autant de questions que je me pose depuis un moment et auxquelles je ne vois que des réponses très partielles. Je ne pense pas être le seul dans ce cas, peut être pourriez vous donc nous donner votre avis sur ces questions. Je serais en tout cas très heureux de l’avoir.
Notre réponse :
En effet, nos partisans – c’est-à-dire ceux qui se reconnaissent dans ce qui est dit – ne peuvent pas ou ne veulent pas toujours dire ouvertement ce qu’ils pensent en raison des conséquences sociales ou politiques. Bref, ils ont peur et sont sur la défensive. C’est le résultat de ce que l’on appelle le terrorisme et qui est dans ce cas d’espèce autant un terrorisme d’état qu’un terrorisme factieux.
Cela n’est pas un problème pour nous, compte tenu de nos objectifs immédiats, puisque nous ne recrutons personne au sens habituel du mot, sauf pour notre émission ou notre site.
En revanche, nous recrutons effectivement des milliers de partisans à mesure que notre audience grandit. Ce qui importe, c’est la diffusion de l’idée. Donc, n’importe quel partisan doit à son tour faire connaître l’émission ou le site à d’autres personnes. C’est le plus important à ce stade pour ce qui concerne nos activités : exposer de plus en plus de gens à nos idées.
Pour que notre mouvement augmente, il doit adopter certaines tactiques qui tiennent compte de la situation stratégique actuelle.
Nous n’avons pas accès aux médias conventionnels, ni aux partis et encore moins aux établissements scolaires. Chacun doit bien comprendre que c’est le résultat de l’interdiction de la défense de l’identité blanche et de ses sous-catégories (ici française). Nos lecteurs doivent bien intégrer cette réalité politique : l’État Français est, dans sa forme actuelle, un état ontologiquement antiblanc.
Paralyser le système
Notre objectif, avant de remplacer le système ennemi par notre système, consiste à le paralyser. Quoique fondé sur le principe de l’anéantissement de la race blanche, l’État Français actuel est totalement dépendant de la classe moyenne autochtone pour ses besoins financiers. C’est sa principale contradiction interne : il scie la branche sur laquelle il est assis.
Il ne peut pas compter sur les masses de nègres ou de musulmans pour se financer, bien au contraire. Pour garder ces derniers sous contrôle, il doit acheter leur coopération relative à coup de transferts de crédits colossaux en perpétuelle croissance. C’est l’élément qui va nous mener au pouvoir : la révolution antifiscale dont nous allons faire une révolution raciale.
Un anti-1789 en somme.
Pour y parvenir, nous devons désigner un ennemi unique à la vindicte populaire et pour cela, nous devons détruire la grille de lecture et la narration de l’état communiste. Cet état s’assure toujours de préserver la nomenklatura étatique et ses clientèles diverses et n’aime rien tant que de livrer à la plèbe en colère quelque ennemi abstrait : « les riches », « les milliardaires », « la finance » et bien sûr, « l’extrême-droite » qui pousse les gens « à se tromper de colère ».
Les anarchistes ont déjà par le passé saccagé quelques banques, sans que cette finance internationale ne s’en émeuve outre-mesure. La finance s’anéantira elle-même lorsque l’État Français fera faillite, ayant été assez idiote pour prêter à un gouvernement ruiné.
Il nous faut donc nous assurer que c’est l’ennemi stratégique qui est visé et qu’avec lui, tout le système démocratique/égalitariste s’effondre : l’envahisseur afro-musulman et ses (((maîtres))).
Être un partisan
Pour paralyser le système, il nous faut donc adopter une stratégie permettant d’interrompre le flux de propagande lui permettant de garder captive la classe moyenne blanche. Pour cela, il faut harceler ses lignes de communication.
Ce harcèlement vise, stratégiquement, à le forcer à passer de l’offensive à la défensive et donc à stopper ses attaques contre les Blancs. Tactiquement, cela passe par la destruction de la confiance du public dans les institutions actuelles en discréditant sa narration.
La propagande du système ennemi repose sur la démoralisation. C’est pourquoi il insiste sur le caractère inéluctable de ses projets : à quoi bon lutter quand on est convaincu que tout est déjà perdu ?
Nous devons organiser la transition de la pacification actuelle à l’ouverture du conflit politique, ce qui permet tout à la fois de mobiliser et de démoraliser l’ennemi à son tour.
La culture de l’offensive
Les Blancs sont actuellement paralysés par une rééducation psychologique menée par l’état communiste et qui repose sur un puissant sentiment : la culpabilité. C’est le seul moyen pour l’ennemi d’effectivement nous dominer et nous détruire.
C’est pourquoi aucune action politique n’a de sens si, en parallèle, un traitement radical des causes de notre paralysie actuelle n’est pas entrepris.
Pour vaincre, nous devons remporter la guerre psychologique actuelle et pour cela nous devons déculpabiliser les Blancs. Défaitisme, culpabilisation et délégitimation sont les instruments que privilégie l’ennemi pour obtenir notre neutralisation.
Seule la PMA (Positive Mental Attitude) et l’ironie sont des contre-mesures efficaces.
Tout ce qui est sacré pour le système doit être systématiquement ridiculisé, raillé, moqué, humilié, souillé, avili dans un long éclat de rire. Une fois le prestige de ce qui fonde l’autorité du système détruit, il s’effondrera immanquablement.
Ceux qui ont essayé et essaient encore de gagner sur le terrain choisi par l’ennemi n’ont aucune chance de l’emporter. Un général doit toujours choisir le terrain sur lequel il va livrer bataille et forcer son ennemi à y consentir.
Le terrain, dans cette guerre psychologique, c’est le cadre moral. Quiconque se laisse encager dans les catégories morales de l’ennemi se condamne à la défensive puis à la défaite. Typiquement, il s’agit de contraindre X ou Y de fuir l’accusation de « racisme » ou de « déloyauté antidémocratique », etc.
Le « racisme » n’est pas, pour le système, un terme objectif mais subjectif. Le racisme recouvre tout ce qui relève de la conscience blanche et des intérêts blancs. Est ainsi « raciste » de parler d’Europe Blanche mais parfaitement encouragé de parler d’Afrique Noire.
Pour vaincre, il faut donc amener l’ennemi sur un terrain moral et idéologique qu’il ne connait pas, le privant ainsi de la possibilité de tendre une embuscade à son opposant et ainsi de le contraindre à la défensive. Cela passe par la revendication effective du racisme comme d’une cause noble, c’est-à-dire la défense des intérêts blancs. Quiconque refuse de remettre en cause la subjectivité du terme accepte la supériorité morale de l’ennemi et se résout à livrer une bataille défensive sans fin et sans chance de succès.
Faire du combat contre la haine antiblanche un « antiracisme » comme un autre ne fait que conforter l’ennemi sur ses positions morales premières. Il faut substituer à la présente subjectivité que nous subissons une subjectivité que nous recherchons en y attirant l’ennemi.
Sur cette carte du spectre politique du Twitter US, vous voyez la cartographie du terrain politique digital. En règle générale, il y a deux grandes sphères qui se dégagent et qui fonctionnent comme des chambres d’écho. Nul n’en sort vraiment.
Or, nous devons, systématiquement, rechercher l’offensive par la manœuvre, c’est-à-dire frapper là où l’ennemi ne nous attend pas. Cela veut dire que nous devons atteindre la sphère ennemie en passant la frontière et y semer le chaos. C’est ainsi qu’on le prive de l’initiative – dont il dispose avec le contrôle des grands médias – en portant le conflit sur ses arrières.
Il nous faut toujours ces trois éléments lors d’une attaque : rapidité, agressivité et surprise. Ses trois facteurs agissent en corrélation et démultiplient l’effet de l’attaque. La cible doit être mise à genoux et amenée à la capitulation totale. On doit le repérer en fonction du rapport faiblesse défensive / valeur symbolique et d’identification / potentiel médiatique.
L’effet psychologique sur l’ennemi est dévastateur.
Il faut y ajouter le déraillement des discussions sur les réseaux sociaux, notamment Facebook. Cibler les pages des grands médias, surtout populaires, est impératif. Ne vous embarrassez pas excessivement : repérer par exemple un article de BFMTV pro-nègres ou pro-dégénérescence, copiez-coller une vidéo de nature à transformer les commentaires en affrontements généralisés.
Ce qui importe, c’est qu’aucune discussion sereine n’est lieu au sujet d’un thème imposé par l’ennemi. Cherchez toujours à diviser les commentateurs. Par exemple en forçant un musulman à tenir des propos anti-féministes ou inversement. Exploiter toutes les divisions à cette seule fin : l’affrontement.
Sur Twitter, avec l’aide VPN ou de Tor, allez provoquer les journalistes ennemis de la manière la plus frontale qui soit.
Nazilol et Mythridatisme
Les accusations de racisme, entendues au sens où le conçoit l’ennemi, reposent sur la nazification de toute opposition. Lui résister devient, en soi, du nazisme. La loi de Godwin n’est que la résultante de cette absolutisation du conflit par l’ennemi.
L’individu est placé face à ce choix : la capitulation ou le nazisme. Soit le Blanc capitule et accepte d’être génocidé et il demeure dans le camp du « Bien », soit il s’y refuse et devient de fait un agent du « mal » dont le nazisme est la figure identifiable.
Bien sûr, par définition, on ne peut pas gagner en se revendiquant du camp du mal et c’est le but de l’ennemi : contraindre les Blancs à cesser de vouloir combattre.
Pour neutraliser la diabolisation dont use l’ennemi, il faut rendre immune nos propres partisans à la toxicité de son poison. Ce qui revient, effectivement, à sortir du terrain sur lequel il veut nous affronter.
Comme Mythridate, cela passe par l’entraînement de son système immunitaire aux effets du poison pour que le corps devienne totalement imperméable aux attaques. Il ne s’agit donc pas d’accepter les catégories morales de l’ennemi et de capituler, mais bien de passer à l’offensive en habituant la résistance populaire blanche à ne plus ressentir l’effet recherché par l’inoculation du poison ennemi.
Pour le priver de ce levier, il faut littéralement rire avec Hitler. Culpabilisation, défaitisme et délégitimation ne font plus effet.
C’est le nazilol.
Exposé suffisamment longtemps au nazilol, un individu devient totalement immune aux attaques ennemies. La meilleure façon d’obtenir cet effet et d’attaquer en se parant, précisément, du nazilol.
Notez au surplus que nous sommes des Blancs et à ce titre, notre structure mentale est radicalement différente de celle des nègres ou des sémites. Geindre comme des victimes n’est pas dans notre culture. Bien plutôt, les Blancs aiment à se culpabiliser d’occuper la place qui leur revient naturellement du fait de leurs efforts.
Demeurer dans la cage morale ennemie pour vaincre, c’est croire que les Blancs l’emporteront en se comportant comme des esclaves alors que ce sont des hommes libres qui doivent assumer leur rôle de maîtres assigné par Dieu.
Il s’agit donc d’opérer une véritable libération.
Au surplus, lorsque l’homme blanc redevient lui-même et fait du racisme – c’est-à-dire de sa libération – sa bannière, vous serez surpris de voir à quelle vitesse le prédateur arrogant et sûr de lui devient un être faible et geignard : il sent déjà qu’il s’apprête à retrouver sa place et recourt à sa tactique favorite, abuser de l’altruisme de l’homme blanc.
Notre mouvement
Nous devons créer un mouvement dans lequel se reconnaissent le plus de personnes possible, surtout chez les jeunes. Cela diffère d’un parti, d’une organisation donnée, dont on sait, à ce stade, que les moyens sont excessivement limités et dont le potentiel de développement est faible.
Nous voulons d’abord un mouvement d’idées qui ensuite finira par se convertir concrètement en action. Et plus encore, nous voulons réveiller l’homme blanc et le sortir de sa léthargie.
Pour cela, rien ne vaut l’offensive à outrance contre l’ennemi.